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réaliste, sombre, une intrigue digne des plus grands polars...
j'suis archi fan!!!!
vivement fin 2018 pour découvrir le sujet de la saison 2.
j'suis archi fan!!!!
vivement fin 2018 pour découvrir le sujet de la saison 2.
Je suis vraiment déçue moi qui adore les productions nordiques, leur trouvant un charme bien particulier, novateur, exemptes des gros tics qui caractérisent la plupart des séries américaines, une sorte de fraîcheur( sans vilain jeux de mots) sans doute en raison de la jeune expérience du cinéma et des séries nordiques. Mais alors là, c'est d'un ennui! Ca traîne d'épisode en épisode, c'est mou du genou et puis alors au niveau de la traduc, ils auraient du changer les noms des personnages qui se terminent tous de la même façon par ce qu'on a du mal à situer qui est qui ; Rocvaldur, Zigundur, Guermundur et encore deux ou trois comme ça du coup, impossible de deviner de qui parlent les deux flics. Une histoire sans interêt, des personnages peu attachants, ouais vraiment déçue.
Certes, cette séries ne réinvente pas le genre car l'histoire se basant dans une ville isolée d'Islande avec un tueur en série n'est pas l'idée la plus originale du genre.
L'ensemble de la série est malgré tout très réussie surtout le décors de l'Islande qui est l'un des principal atouts de cette entre Milénium et The walkin Dead.
Certains reprocheront aux acteurs de manquer de charisme mais leur distance et surtout la gestion du regard permet de garder de l'intérêt pour les spectateurs.
On est loin des chefs d'oeuvre du genre mais les dix épisodes de cette série se suite avec un réel plaisir sans pour autant être révolutionnaire.
L'ensemble de la série est malgré tout très réussie surtout le décors de l'Islande qui est l'un des principal atouts de cette entre Milénium et The walkin Dead.
Certains reprocheront aux acteurs de manquer de charisme mais leur distance et surtout la gestion du regard permet de garder de l'intérêt pour les spectateurs.
On est loin des chefs d'oeuvre du genre mais les dix épisodes de cette série se suite avec un réel plaisir sans pour autant être révolutionnaire.
Comme c'est la première fois que je me suis surprise à m'assoupir devant une série "nordique", je ne dirais pas qu'elle est pour moi plutôt ratée, ça serait bien exagérer ma critique, mais je n'ai pas attendu avec impatience la suite de l'histoire d'un épisode sur l'autre....
Je m'attendais je pense à une série au rythme plus enlevé.
L'intrigue en elle même est bien pensée, l'histoire est correctement ficelée, l'interprétation très juste, les paysages toujours autant "dépaysants", mais il y a eu, à mon goût, trop d'à-côtés dont je me serais dispensée. J'y ai trouvé aussi beaucoup de longueurs, qui ont par conséquent pénalisé l'ensemble.
Ce n'est pas une série que je déconseillerais de voir, d'autant que tous les goûts sont dans la nature et qu'il vaut mieux faire toujours sa propre opinion, mais personnellement, je ne la mets pas tout en haut du panier des séries "nordiques".
Je m'attendais je pense à une série au rythme plus enlevé.
L'intrigue en elle même est bien pensée, l'histoire est correctement ficelée, l'interprétation très juste, les paysages toujours autant "dépaysants", mais il y a eu, à mon goût, trop d'à-côtés dont je me serais dispensée. J'y ai trouvé aussi beaucoup de longueurs, qui ont par conséquent pénalisé l'ensemble.
Ce n'est pas une série que je déconseillerais de voir, d'autant que tous les goûts sont dans la nature et qu'il vaut mieux faire toujours sa propre opinion, mais personnellement, je ne la mets pas tout en haut du panier des séries "nordiques".
Une bonne série, glaçante à souhait...... Des paysages somptueux et une photo magnifique (je connais un peu l'Islande, mais l'été bien sûr).... Sauf que c'est très lent, parfois mou et que les noms des personnages sont très compliqués pour nous, ce qui fait que l'on a du mal à se repérer. Intrigue à multiples tiroirs..... La seconde diffusion (les 3 derniers épisodes) un peu plus palpitants que les tout premiers au cours desquels je me suis endormie (eh oui).... Pourtant, la série ne manque ni de charme ni d'intérêt....
Attendons le dénouement....
Attendons le dénouement....
Une bande annonce glaciale, une couleur froide, un grand viking hirsute, des personnages à la mine grave et un corps démembré, telle est la bande annonce que j’aperçu sur France 2 après le final de Castle. Elle annonçait la série Trapped et rien que par cette bande annonce, j’ai accroché et voulu voir ça.
Alors voilà, l’Islande, le genre d’endroit où l’on se demande pourquoi l’homme a décidé de s’y implanter. En plus, le petit village où se focalise l’intrigue se trouve au nord de l’ile et est balayé par les vents et les tempêtes. Rien de mieux comme lieu pour y poser une intrigue avec en son cœur, un corps complètement démembré. Pour le synopsis, on est plutôt pas mal et moins aseptisé que les séries américaines (détail révélateur : oh mon dieu le corps a un sexe visible !!! alors qu’aux US, cette zone est toujours baignée de la lumière).
C’est avec ce genre de détails réalistes que la série attraie, tout semble y être possible. Pas de fusillade à tout va, pas de méga course poursuite, juste de l’enquête et des personnages plus ou moins troubles.
C’est la deuxième œuvre islandaise que je vois en toute connaissance de cause après Jar City (tout aussi prenant d’ailleurs) et en plus, c’est le même réalisateur. On se doute que le gars a un peu trop subit les hivers rigoureux. Et en voyant les personnages aussi peu enjouasse à la rigolade, on se demanderait presque si l’Islandais aime se marrer.
En tout cas, tout comme Jar City, cette série se regarderait bien d’une traite s’il n’y avait les coupures des diffusions télévisées, les épisodes s’enchainent sans broncher et on réclame la suite pour enfin savoir ce qu’il en retourne. L’histoire est bien ficelée et les différents nœuds qui la composent se croisent et se recroisent sans se marcher dessus.
Bref, c’était excellent. Bien filmé, bien joué (surtout de la part d’Ólafur Darri Ólafsson) et bien écrit, un vrai bonheur de très bonne série à voir. J’espère qu’une éventuelle saison deux ne viendra pas tout gâcher pour que l’on reste sur cette excellent souvenir.
Alors voilà, l’Islande, le genre d’endroit où l’on se demande pourquoi l’homme a décidé de s’y implanter. En plus, le petit village où se focalise l’intrigue se trouve au nord de l’ile et est balayé par les vents et les tempêtes. Rien de mieux comme lieu pour y poser une intrigue avec en son cœur, un corps complètement démembré. Pour le synopsis, on est plutôt pas mal et moins aseptisé que les séries américaines (détail révélateur : oh mon dieu le corps a un sexe visible !!! alors qu’aux US, cette zone est toujours baignée de la lumière).
C’est avec ce genre de détails réalistes que la série attraie, tout semble y être possible. Pas de fusillade à tout va, pas de méga course poursuite, juste de l’enquête et des personnages plus ou moins troubles.
C’est la deuxième œuvre islandaise que je vois en toute connaissance de cause après Jar City (tout aussi prenant d’ailleurs) et en plus, c’est le même réalisateur. On se doute que le gars a un peu trop subit les hivers rigoureux. Et en voyant les personnages aussi peu enjouasse à la rigolade, on se demanderait presque si l’Islandais aime se marrer.
En tout cas, tout comme Jar City, cette série se regarderait bien d’une traite s’il n’y avait les coupures des diffusions télévisées, les épisodes s’enchainent sans broncher et on réclame la suite pour enfin savoir ce qu’il en retourne. L’histoire est bien ficelée et les différents nœuds qui la composent se croisent et se recroisent sans se marcher dessus.
Bref, c’était excellent. Bien filmé, bien joué (surtout de la part d’Ólafur Darri Ólafsson) et bien écrit, un vrai bonheur de très bonne série à voir. J’espère qu’une éventuelle saison deux ne viendra pas tout gâcher pour que l’on reste sur cette excellent souvenir.
Un vrai coup de coeur. ça manque de vigueur mais l'intrigue est prenante. ça monte crescendo. j'adore
une série islandaise qui certes manque de rythme mais dont l'intrigue est prenante du début à la fin, l'ambiance est froide comme l'Islande et je remercie antenne 2 de l'avoir programmée en prime time.
je pense qu'une suite est prévue et j'ai hâte
je pense qu'une suite est prévue et j'ai hâte
Cette série islandaise est un policier, certes, glacial car il ne fait pas chaud en Islande et la tempête qui s'annonce semble compliquer l'enquête en cours.
Le principal atout de cette série est le dépaysement, on a pas souvent la chance de voir de tels paysages dans les fictions télévisées. Outre l'aspect rafraîchissant (c'est le cas de la dire) de l'Islande, ce pays constitue par le biais des décors un personnage à part entière plutôt bien exploité, permettant l'instauration d'un climat anxiogène et d'un sentiment de huit-clos polaire. À cette atmosphère-là s'ajoute une histoire assez sordide aux multiples ramifications, témoignage de l'inégalité de la série dans le traitement de ses thèmes. En effet, en mélangeant pas mal de choses dès le départ, la série parvient à être très intrigante, ménage pas mal de rebondissements (du plus classique au plus surprenant) mais s'avère aussi un peu brouillonne par moments et se rate quelque peu à certains niveaux (l'esclavage humain ou bien le port maritime, 2 sujets trop survolés). Sinon, les personnages sont plutôt bien dépeints, notamment le flic principal. Techniquement, Trapped est assez bien réalisée malgré des lenteurs évidentes et un rythme irrégulier (l'épisode 5 est trop lent, les 3 derniers très vitaminés en revanche). Enfin, je ne sais pas si ça vient de la VF ou du doublage français, mais certains dialogues apparaissent faiblards. Au final, la série est convaincante pour son atmosphère et la richesse de son intrigue, moins en termes de rythme et d'équilibre de traitement entre les sujets.
Excellent !!! Rythme parfait. Intrigue à rebondissement sans excès. Ambiance et décors superbes. La série policière islandaise nous change des productions américaines suffisantes.
Série policière islandaise impeccablement orchestrée, Trapped marque un énième retour au pays pour le plus célèbre cinéaste du cru, Baltazar Kormakur. Ce dernier, officiant désormais comme faiseur de grosses productions américaines, plus ou moins, n’est jamais meilleur que lorsqu’il revient sur ses terres d’origine, comme j’ai pu le noter lors de la sortie de Survivre. Quand bien même le réalisateur n’officiera techniquement que sur le pilote, il est l’homme derrière la série, un drame policier que beaucoup auront pu découvrir sur une certaine chaîne publique cette année même. La froideur scandinave, dans tous les sens du terme, une certaine notion du communautarisme façon Twin Peaks, pour citer une référence, une forte inspiration des romans policiers nordiques, une immersion grandiose dans les alentours d’une petite bourgade de cette île si féérique et si hostile, et le tour et joué, la production réussit son pari.
Ajoutons à cela un scénario sans failles, sans discontinuité, sans détour, un modèle du genre quand bien même la partition semble connue. On s’appuie sur l’usuel, dans le domaine du drama policier, en immergeant le public dans un environnement on ne peut plus exotique. La tempête, les bourrasques et la dureté du peuple islandais, des provinciaux qui semblent dépendre de leur capitale dès que les choses se gâtent. Et pourtant. Dramatique, évidemment éprouvant pour chacun des protagonistes, le manège sanglant orchestré par les scénaristes ne souffre d’aucune anicroche. Lorsqu’une petite communauté si paisible connaît meurtres, trafics et disparitions, sans compter sur la corruption, les choses virent au combat. Mais on connaît ça sur le bout des doigts, ce qui n’empêchera pas le public de se satisfaire, voire même mieux, de ce qui propose Trapped.
Bref, une nouvelle bonne surprise venue du nord, des terres si particulières d’une île si peu peuplée que le mérite en est décuplé. Alors que l’on vient de nous annoncer qu’une seconde saison est désormais prévue pour l’an prochain, on ne peu finalement que rapprocher, qualitativement s’entend, Trapped de Braodchurch, deux excellents produits télévisuels européens qui nous font un peu oublier les grosses machines américaines. A ne pas manquer, même si technique la série a ses limites. 15/20
Ajoutons à cela un scénario sans failles, sans discontinuité, sans détour, un modèle du genre quand bien même la partition semble connue. On s’appuie sur l’usuel, dans le domaine du drama policier, en immergeant le public dans un environnement on ne peut plus exotique. La tempête, les bourrasques et la dureté du peuple islandais, des provinciaux qui semblent dépendre de leur capitale dès que les choses se gâtent. Et pourtant. Dramatique, évidemment éprouvant pour chacun des protagonistes, le manège sanglant orchestré par les scénaristes ne souffre d’aucune anicroche. Lorsqu’une petite communauté si paisible connaît meurtres, trafics et disparitions, sans compter sur la corruption, les choses virent au combat. Mais on connaît ça sur le bout des doigts, ce qui n’empêchera pas le public de se satisfaire, voire même mieux, de ce qui propose Trapped.
Bref, une nouvelle bonne surprise venue du nord, des terres si particulières d’une île si peu peuplée que le mérite en est décuplé. Alors que l’on vient de nous annoncer qu’une seconde saison est désormais prévue pour l’an prochain, on ne peu finalement que rapprocher, qualitativement s’entend, Trapped de Braodchurch, deux excellents produits télévisuels européens qui nous font un peu oublier les grosses machines américaines. A ne pas manquer, même si technique la série a ses limites. 15/20
il faut quelques épisodes pour se mettre dans l'ambiance mais depuis j'attends chaque diffusion avec impatience, on s'attache aux personnages
Cette série islandaise est remarquable par sa qualité et son ambiance glauque et austère. On se croit dans une tempête de neige du débit à la fin de la saison.
L'ambiance de cette série est assez unique - sombre et mystérieuse - et l'intrigue est bien menée. En revanche, le manque de rythme, s'il contribue au style de la série, est parfois pesant et les noms islandais n'aident pas à suivre les multiples intrigues (il faut d'abord réfléchir pendant une heure pour savoir de qui on parle !).