Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Figaro
par La Rédaction
Si la série tire un peu en longueur, ressassant les traumatismes de ses personnages, elle est magnifiquement mise en scène. Un monde de violence rendu avec de belle fulgurances : une fusillade dans un bordel qui se transforme en étrange bal masqué au rythme de La Foule de Piaf.
Le Parisien
par Michel Valentin
On l’aura compris : à la fois respectueux et transgressif, fidèle aux codes et moderne, bénéficiant de prestations remarquables (Matthias Schoenaerts en Django crépusculaire, Noomi Rapace en Milady féroce), cette série est une réussite qui donne envie d’enfiler son Stetson et de partir à bride abattue vers le soleil couchant. Et surtout, comme le disait le film de 1971, « Django arrive, préparez vos cercueils » !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par L.B.
Remake d’un western culte de Tarantino, cette série en partie réalisée par Francesca Comencini (Gomorra) nous plonge dans un Far West utopique, à La Nouvelle Babylone, une ville de parias née après la guerre de Sécession. [...] Grand spectacle et grands espaces à la clé.
Première
par Jonathan Blanchet
Tirant parti de sa narration fragmentaire, la série trace des parallèles entre les trajectoires de ses protagonistes pour mieux les croiser. De quoi interroger et creuser l’identité de tout un chacun dans ses moindres recoins. Un traitement que ce western feuilletonnant étend autant à ses personnages qu’au genre qu’il revisite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Câble Sat
par La Rédaction
Un western à l'interprétation grandiose et aux paysages magnifiques.
Télé Loisirs
par La Rédaction
Servie par un scénario astucieux cette fiction estampillée Far West propose une adaptation libre du western culte de Sergio Corbucci. Dans une mise et scène soignée et stylisée, les comédiens livrent une prestation convaincante. Le casting est porté par Matthias Schoenaerts, Nicholas Pinnock ou encore Noomi Rapace.
Le Journal du Dimanche
par Romain Nigita
Si on ne retrouvera pas dans ce Django du XXIè siècle la flamboyance ludique du western spaghetti, c'est bien sur ses thématiques que se crée le pont : à l'instar des westerns des années 1970 qui se faisaient le miroir des bouleversements politiques de l'époque. Un pari audacieux auquel il manque juste un petit grain de folie pour totalement remporter l'adhésion.
Télé 7 Jours
par PH
Cette revisite du film de 1966 de Sergio Corbucci reste dans la lignée des grands westerns italiens tout en proposant une vision plus moderne et féministe.
Téléstar
par La Rédaction
Un western haletant librement inspiré du Django de Sergio Corbucci.
Télérama
par Michel Bezbakh
On confirme : nulle trace de Corbucci ou de Tarantino dans cette série, ni dans les références, ni dans le talent. Francesca Comencini, que l’on avait trouvée plus inspirée dans Gomorra, enrobe son récit d’une mise en scène très lourde, dont les tours de force visuels tombent souvent à côté. L’envie est forte de passer son chemin dès la scène de bagarre qui ouvre le premier épisode, mais l’on se dit : un western aux gros sabots, après tout… Puis la sobriété qui arrive tout doucement peut donner envie d’en savoir davantage sur le passé de ce Django, et même sur son avenir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Si la série tire un peu en longueur, ressassant les traumatismes de ses personnages, elle est magnifiquement mise en scène. Un monde de violence rendu avec de belle fulgurances : une fusillade dans un bordel qui se transforme en étrange bal masqué au rythme de La Foule de Piaf.
Le Parisien
On l’aura compris : à la fois respectueux et transgressif, fidèle aux codes et moderne, bénéficiant de prestations remarquables (Matthias Schoenaerts en Django crépusculaire, Noomi Rapace en Milady féroce), cette série est une réussite qui donne envie d’enfiler son Stetson et de partir à bride abattue vers le soleil couchant. Et surtout, comme le disait le film de 1971, « Django arrive, préparez vos cercueils » !
Les Echos
Remake d’un western culte de Tarantino, cette série en partie réalisée par Francesca Comencini (Gomorra) nous plonge dans un Far West utopique, à La Nouvelle Babylone, une ville de parias née après la guerre de Sécession. [...] Grand spectacle et grands espaces à la clé.
Première
Tirant parti de sa narration fragmentaire, la série trace des parallèles entre les trajectoires de ses protagonistes pour mieux les croiser. De quoi interroger et creuser l’identité de tout un chacun dans ses moindres recoins. Un traitement que ce western feuilletonnant étend autant à ses personnages qu’au genre qu’il revisite.
Télé Câble Sat
Un western à l'interprétation grandiose et aux paysages magnifiques.
Télé Loisirs
Servie par un scénario astucieux cette fiction estampillée Far West propose une adaptation libre du western culte de Sergio Corbucci. Dans une mise et scène soignée et stylisée, les comédiens livrent une prestation convaincante. Le casting est porté par Matthias Schoenaerts, Nicholas Pinnock ou encore Noomi Rapace.
Le Journal du Dimanche
Si on ne retrouvera pas dans ce Django du XXIè siècle la flamboyance ludique du western spaghetti, c'est bien sur ses thématiques que se crée le pont : à l'instar des westerns des années 1970 qui se faisaient le miroir des bouleversements politiques de l'époque. Un pari audacieux auquel il manque juste un petit grain de folie pour totalement remporter l'adhésion.
Télé 7 Jours
Cette revisite du film de 1966 de Sergio Corbucci reste dans la lignée des grands westerns italiens tout en proposant une vision plus moderne et féministe.
Téléstar
Un western haletant librement inspiré du Django de Sergio Corbucci.
Télérama
On confirme : nulle trace de Corbucci ou de Tarantino dans cette série, ni dans les références, ni dans le talent. Francesca Comencini, que l’on avait trouvée plus inspirée dans Gomorra, enrobe son récit d’une mise en scène très lourde, dont les tours de force visuels tombent souvent à côté. L’envie est forte de passer son chemin dès la scène de bagarre qui ouvre le premier épisode, mais l’on se dit : un western aux gros sabots, après tout… Puis la sobriété qui arrive tout doucement peut donner envie d’en savoir davantage sur le passé de ce Django, et même sur son avenir.