Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Figaro
par Constance Jamet
Le créateur de Downton Abbey Julian Fellowes offre une savoureuse chronique des rivalités entre nouveaux riches et vieille élite dans le New York de 1880. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
par Anne Demoulin
Avec les dialogues érudits et tranchants de Julian Fellowes et sa valeur d’apparat hérité de Downton Abbey, son casting époustouflant et son propre mélange capiteux d’opulence, de romance et de coups de poignards, The Gilded Age risque bien d’être une nouvelle mine d’or pour le créateur !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Oui, à certains égards, "The Gilded Age" pourrait se résumer à "Downton Abbey va à New York", mais il y a une saveur typiquement américaine dans les barrières de classe légèrement plus poreuses, et dans la façon dont les Russell croient de manière réaliste qu'ils peuvent acheter leur place dans la noblesse.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
CNN
par Brian Lowry
Fellowes a jeté les bases d'un feuilleton d'époque au potentiel élevé, dans ce qui est déjà une série proche de Downton Abbey très attrayante.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Le Monde
par Thomas Sotinel
Julian Fellowes, à qui HBO n’a apparemment rien refusé, met en scène l’affrontement entre la vieille aristocratie financière new-yorkaise emmenée par la dynastie Astor et les nouveaux riches qui ont fait fortune en posant des voies de chemin de fer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Katia De La Ballina
Quand le ballet des ambitions croise le bûcher des vanités…
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Variety
par Daniel D’Addario
Pour emprunter une expression, la série a une ambition qui revient à écrire un chèque que, grâce à un jeu d'acteur élégant et à une attention particulière aux détails, "The Gilded Age" peut encaisser.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Il faut donc un peu de temps pour être réellement pris dans ce qui s’annonce être une nouvelle grande fresque historique, où les ambitions, les secrets et les rivalités de chacun promettent du beau spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Les personnages ne sont pas non plus aussi attachants que l'étaient l'envoûtante Mary (Michelle Dockery) et l'inénarrable Lady Violet (Maggie Smith). Pourtant, Christine Baranski est capable de faire (un peu) oublier cette dernière si tant est qu'on lui en donne l'occasion…
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Ce sont les personnages parallèles qui font le sel de la série. Elle reste édifiante sur une période méconnue dont la reconstitution impressionne par son luxe de détails et de décors.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
Le créateur de Downton Abbey Julian Fellowes offre une savoureuse chronique des rivalités entre nouveaux riches et vieille élite dans le New York de 1880. Une réussite.
20 Minutes
Avec les dialogues érudits et tranchants de Julian Fellowes et sa valeur d’apparat hérité de Downton Abbey, son casting époustouflant et son propre mélange capiteux d’opulence, de romance et de coups de poignards, The Gilded Age risque bien d’être une nouvelle mine d’or pour le créateur !
Boston Globe
Oui, à certains égards, "The Gilded Age" pourrait se résumer à "Downton Abbey va à New York", mais il y a une saveur typiquement américaine dans les barrières de classe légèrement plus poreuses, et dans la façon dont les Russell croient de manière réaliste qu'ils peuvent acheter leur place dans la noblesse.
CNN
Fellowes a jeté les bases d'un feuilleton d'époque au potentiel élevé, dans ce qui est déjà une série proche de Downton Abbey très attrayante.
Le Monde
Julian Fellowes, à qui HBO n’a apparemment rien refusé, met en scène l’affrontement entre la vieille aristocratie financière new-yorkaise emmenée par la dynastie Astor et les nouveaux riches qui ont fait fortune en posant des voies de chemin de fer.
Télé Loisirs
Quand le ballet des ambitions croise le bûcher des vanités…
Variety
Pour emprunter une expression, la série a une ambition qui revient à écrire un chèque que, grâce à un jeu d'acteur élégant et à une attention particulière aux détails, "The Gilded Age" peut encaisser.
Le Parisien
Il faut donc un peu de temps pour être réellement pris dans ce qui s’annonce être une nouvelle grande fresque historique, où les ambitions, les secrets et les rivalités de chacun promettent du beau spectacle.
Les Echos
Les personnages ne sont pas non plus aussi attachants que l'étaient l'envoûtante Mary (Michelle Dockery) et l'inénarrable Lady Violet (Maggie Smith). Pourtant, Christine Baranski est capable de faire (un peu) oublier cette dernière si tant est qu'on lui en donne l'occasion…
La Croix
Ce sont les personnages parallèles qui font le sel de la série. Elle reste édifiante sur une période méconnue dont la reconstitution impressionne par son luxe de détails et de décors.