La Fête à la maison : 20 ans après : Critiques de la presse
La Fête à la maison : 20 ans après
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
2,4
16 titres de presse
Newsday
Los Angeles Times
Boston Herald
Sioux City Journal
Uncle Barky
Le Figaro
Paris Match
Variety
Brain Damaged
Metro
Slate
Télérama
Entertainment weekly
Libération
San Francisco Chronicle
The Hollywood Reporter
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Newsday
par Verne Gay
Envisagez comme une version 2.0 de . Même pitch, même tonalité et quasiment les mêmes acteurs (...) Cette série est en réalité le "DJ, Stéphanie, Kimmy Show". Elles sont désormais grandes mais elles ont conservé ce charme un peu fantasque. Elles ont désormais une franchise à porter par elles-mêmes. Mon pressentiment : elles peuvent y arriver.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Il n'y a aucun mal à vouloir être ambitieux, mais toutes les séries ne sont pas obligées d'avoir de tels objectifs (...) Certains acteurs livrent de belles performances, et notamment (...) Si la série a un défaut, c'est de toujours faire en sorte que les plus jeunes personnages soient constamment mignons (...) Oui cette série est artificielle au possible mais pour des générations de téléspectateurs des séries de Disney Channel et Nickelodeon, elle a un ton totalement naturel.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Boston Herald
par Mark Perigard
La suite de par Netflix est le triomphe de la stratégie sur la créativité (...) Le pilote d'une durée de 40 minutes est le meilleur fan service qu'un reboot ait jamais proposé, tout le cast original, ou presque, est réuni et chacun a droit à "sa" scène.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
Sioux City Journal
par Bruce R. Miller
est comme un sandwich au fromage servi avec une tasse de soupe à la tomate. Ce n'est pas exactement formidable mais forcément réconfortant (...) Fuller House a des difficultés à être pertinent de nos jours tout en offrant cet humour un peu gnangnan de la série originale.
La critique complète est disponible sur le site Sioux City Journal
Uncle Barky
par Ed Bark
Ce n'est pas en étant exactement ce que son aînée était que va remporter des récompenses (...) Netflix a de nombreuses séries "intelligentes" en catalogue, y compris et . Mais le jeune public ne peut simplement pas regarder ces shows destinés aux adultes, à moins d'avoir des parents terriblement permissifs ou absents. Tout le monde, ou presque, peut regarder Fuller House, et ce type de série a toute sa place.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Le Figaro
par Constance Jamet
Hormis les bons mots sur Donald Trump, ce nouveau tome désarçonne par son côté daté : rires enregistrés assourdissants et bons sentiments à la pelle (…) Un optimisme assumé qui tranche avec la réflexion sociale et engagée d'un Modern Family. Les fans de la première heure se régaleront, les novices seront décontenancés
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Amandine Bourgoin
La fête à la maison : 20 ans après nous amène exactement où on l'attendait. C'est toujours une série familiale pleine de bons sentiments, politiquement correcte (…) Ça marchait il y a 20 ans, mais en 2016, on aurait aimé être surpris avec des intrigues si ce n'est plus profondes au moins construites sur des problématiques actuelles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Variety
par Maureen Ryan
Chaque reboot de série devrait prouver l'intérêt de sa résurrection. Malgré le charme de et quelques répliques bien senties, ne passe pas ce test (...) Il se dégage parfois une vraie affection de cette série, mais elle est trop criarde et laborieusement fabriquée.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Tout est là pour nous rappeler le bon vieux temps, et faire retomber les chanceux trentenaires, qui n’avaient pas plus de dix ans quand ils ont découvert la série, dans le passé, back à l’époque des fringues flashy et des Walkmans qui n’étaient pas auto-reverse. A croire que tous les personnages sont restés coincés dans une bulle spatio-temporelle qui engloberait la maisonnée Tanner.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Metro
par Romain Cheyron
À peine lancée, Fuller House (le titre original, NDLR) vieillit déjà mal. Les situations ne sont pas originales et sont donc toutes prévisibles, autant que les rires enregistrés. Nous avons grandi avec La fête à la maison, et nous aurions aimé que ça reste ainsi.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Slate
par Willa Paskin
est un fac similé très fidèle à la série originale, avec une mise à jour très légère qui lui permet d'éviter à peine d'être démodée (...) Avec cette série, Netflix ajoute à son catalogue une série pour pré-adolescents que les parents connaissent et pourraient même regarder.
La critique complète est disponible sur le site Slate
Télérama
par Pierre Langlais
Evidemment, la nostalgie fait un peu effet (…) Mais la fadeur, la mièvrerie du propos, la médiocrité des dialogues et des jeux de mots (…) et les rires enregistrés assommants, font de Fuller House une série franchement dispensable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Entertainment weekly
par Jeff Jensen
tente de vous divertir mais elle échoue. Gravement. Cet effort paresseux ne vaut ni votre temps, ni votre affection.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Libération
par Nora Bouazzouni
Les premières images de cette suite, dont les rires du public nous font frissonner de dégoût, exhalent le parfum d’une nostalgie teintée de malaise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Personne ne s'attendait à ce que soit du même niveau que d'autres séries de Netflix comme ou . Mais quand elle n'arrive même pas à égaler la qualité de la série originale, il y a un problème.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
The Hollywood Reporter
par Daniel Fienberg
Il est hautement improbable qu'en 2016 un épisode soit plus pénible que le pilote de La Fête à la maison : 20 ans après (...) Cet épisode n'est qu'une longue litanie de références à la série originale et de scènes d'exposition de remplissage, s'achevant en apothéose sur un hommage au pilote original, en mettant en parallèle des images des deux séries. Ce nouveau show n'a aucune ambition d'avoir sa propre identité et cette tendance se confirme dans les épisodes suivants.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Newsday
Envisagez comme une version 2.0 de . Même pitch, même tonalité et quasiment les mêmes acteurs (...) Cette série est en réalité le "DJ, Stéphanie, Kimmy Show". Elles sont désormais grandes mais elles ont conservé ce charme un peu fantasque. Elles ont désormais une franchise à porter par elles-mêmes. Mon pressentiment : elles peuvent y arriver.
Los Angeles Times
Il n'y a aucun mal à vouloir être ambitieux, mais toutes les séries ne sont pas obligées d'avoir de tels objectifs (...) Certains acteurs livrent de belles performances, et notamment (...) Si la série a un défaut, c'est de toujours faire en sorte que les plus jeunes personnages soient constamment mignons (...) Oui cette série est artificielle au possible mais pour des générations de téléspectateurs des séries de Disney Channel et Nickelodeon, elle a un ton totalement naturel.
Boston Herald
La suite de par Netflix est le triomphe de la stratégie sur la créativité (...) Le pilote d'une durée de 40 minutes est le meilleur fan service qu'un reboot ait jamais proposé, tout le cast original, ou presque, est réuni et chacun a droit à "sa" scène.
Sioux City Journal
est comme un sandwich au fromage servi avec une tasse de soupe à la tomate. Ce n'est pas exactement formidable mais forcément réconfortant (...) Fuller House a des difficultés à être pertinent de nos jours tout en offrant cet humour un peu gnangnan de la série originale.
Uncle Barky
Ce n'est pas en étant exactement ce que son aînée était que va remporter des récompenses (...) Netflix a de nombreuses séries "intelligentes" en catalogue, y compris et . Mais le jeune public ne peut simplement pas regarder ces shows destinés aux adultes, à moins d'avoir des parents terriblement permissifs ou absents. Tout le monde, ou presque, peut regarder Fuller House, et ce type de série a toute sa place.
Le Figaro
Hormis les bons mots sur Donald Trump, ce nouveau tome désarçonne par son côté daté : rires enregistrés assourdissants et bons sentiments à la pelle (…) Un optimisme assumé qui tranche avec la réflexion sociale et engagée d'un Modern Family. Les fans de la première heure se régaleront, les novices seront décontenancés
Paris Match
La fête à la maison : 20 ans après nous amène exactement où on l'attendait. C'est toujours une série familiale pleine de bons sentiments, politiquement correcte (…) Ça marchait il y a 20 ans, mais en 2016, on aurait aimé être surpris avec des intrigues si ce n'est plus profondes au moins construites sur des problématiques actuelles.
Variety
Chaque reboot de série devrait prouver l'intérêt de sa résurrection. Malgré le charme de et quelques répliques bien senties, ne passe pas ce test (...) Il se dégage parfois une vraie affection de cette série, mais elle est trop criarde et laborieusement fabriquée.
Brain Damaged
Tout est là pour nous rappeler le bon vieux temps, et faire retomber les chanceux trentenaires, qui n’avaient pas plus de dix ans quand ils ont découvert la série, dans le passé, back à l’époque des fringues flashy et des Walkmans qui n’étaient pas auto-reverse. A croire que tous les personnages sont restés coincés dans une bulle spatio-temporelle qui engloberait la maisonnée Tanner.
Metro
À peine lancée, Fuller House (le titre original, NDLR) vieillit déjà mal. Les situations ne sont pas originales et sont donc toutes prévisibles, autant que les rires enregistrés. Nous avons grandi avec La fête à la maison, et nous aurions aimé que ça reste ainsi.
Slate
est un fac similé très fidèle à la série originale, avec une mise à jour très légère qui lui permet d'éviter à peine d'être démodée (...) Avec cette série, Netflix ajoute à son catalogue une série pour pré-adolescents que les parents connaissent et pourraient même regarder.
Télérama
Evidemment, la nostalgie fait un peu effet (…) Mais la fadeur, la mièvrerie du propos, la médiocrité des dialogues et des jeux de mots (…) et les rires enregistrés assommants, font de Fuller House une série franchement dispensable.
Entertainment weekly
tente de vous divertir mais elle échoue. Gravement. Cet effort paresseux ne vaut ni votre temps, ni votre affection.
Libération
Les premières images de cette suite, dont les rires du public nous font frissonner de dégoût, exhalent le parfum d’une nostalgie teintée de malaise.
San Francisco Chronicle
Personne ne s'attendait à ce que soit du même niveau que d'autres séries de Netflix comme ou . Mais quand elle n'arrive même pas à égaler la qualité de la série originale, il y a un problème.
The Hollywood Reporter
Il est hautement improbable qu'en 2016 un épisode soit plus pénible que le pilote de La Fête à la maison : 20 ans après (...) Cet épisode n'est qu'une longue litanie de références à la série originale et de scènes d'exposition de remplissage, s'achevant en apothéose sur un hommage au pilote original, en mettant en parallèle des images des deux séries. Ce nouveau show n'a aucune ambition d'avoir sa propre identité et cette tendance se confirme dans les épisodes suivants.