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    DC's Legends of Tomorrow
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    3,6
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    2 critiques spectateurs

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    AlexLaloix
    AlexLaloix

    121 abonnés 1 037 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2021
    Cette cinquième saison de DC’s Legends of Tomorrow est légèrement meilleure que les deux précédentes. Bien qu’elle reste encore très parodique et ridicule, elle retrouve un certain intérêt et une ambiance qu’on apprend à réapprécier. Même si l’intrigue n’est pas exceptionnelle, elle est toutefois assez rythmée de rebondissements et d’aventures pour qu’on reste accrocher du début à la fin. En revanche, les personnages sont assez décevants, peu d’évolution pour la plupart d’entre eux dont ils ne semblent plus rien avoir à montrer. Cependant, le casting reste toujours très performant et convaincant à l’image de la réalisation qui maintient son excellente qualité depuis le début de la série. Le cliffhanger de fin de saison est assez intriguant, en espérant que la sixième saison soit plus sensationnelle que celle-ci.
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    14/20
    Critique sur DC’s Legends of Tomorrow (saison 5)
    Vue du 15 au 21.01.2021 sur Netflix
    RealPrime
    RealPrime

    88 abonnés 1 766 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 février 2021
    Première saison d'une des séries dérivées de l'Arrow-verse se déroulant après le final d'Arrow (que je n'ai encore pas vu pour raison stratégique), elle débute à savoir pourquoi, par la dernière partie du cross-over évènement ayant tant fait parler de prt son ampleur jamais vu à la télé. Un cross-over qui justement me parait complètement dérégler niveau ordre de diffusion, comme les précédents d'ailleurs. Pourquoi ne pas commencer par "Arrow", puis "Flash" et "Legend" puis "Supergirl et enfin "Batgirl" ? Au lieu de ça ils commencent dans un désordre total...

    Bref, j'en revient à cette dernière saison connue des Legend ou ces dernières sauvent toujours le monde ou plutôt le multivers des démons et autres anomalies temporelles. Des beugues historiques ayant un grand points fort cette saison, ils sont tous mêler à des démons de l'enfer qui eux-mêmes en profite pour parvenir à la surface et mettre le chao. Des missions rondement mener ou encore comme la précédente saison, les scénaristes ont largement rendu hommages aux très nombreux programmes télés des années 80, mais aussi et c'est hyper ingénieux et jamais j'aurais cru pouvoir voir ça, mêler l'ennemie principal à savoir, les 3 sœurs créatrices du destin dans la mythologie grecque, aux démons de l'enfer chrétien. La croyance mythologique grecque rencontrant les récits biblique. Un mélange extrêmement astucieux rend on n'peux plus prenant cette série qui perdait d'intensité et de sa qualité visuelle depuis la 3ème. Une saison emmenée habillement par son casting féminin qui ne cesse d'être épatant. spoiler: Entre Charlie de la précédente saison, sous les traits d'Amaya qui poursuit son caractère et comportement hyper rock et super sexy, à la nouvelle Zari d'une toute autre dimension ne comprenant rien et étant tous du long troublée par Nathaniel lui dévorant le regard... En parlant de cette dernière justement, son caractère de top modèle et ultra influenceuse des réseaux là rend ultra sexy dans toutes ses tenues, qui furent limite, choisies sur mesure pour elle. 2 Zari pour 2 univers opposés.
    Un acteur aussi se détache une foix encore, Matt Ryan en John Costantine toujours si percutant et mordant par son charisme. Autre point fort, la vision de l'enfer. Montré par une version détruite et enflammée de Los Angeles, ses ruelles sombres et teintées de cendres pétillante, des démons sous traits de simples habitants, des clubs de strip-tease et bars rock... Une vision "peu infernale" d'un haut lieu de l'agonie. Le final avec encore, cette vision du métier à tisser grecque est surprenant, mais la salle principale fut magnifique, le numérique aussi. Mais il y à une superbe moralité et connotation scénaristique avec ces personnages, celui de scénariste justement. En effet dans la mythologie, ces dernières créent le destin de chaque humains sur Terre, de sa naissance à sa mort, ici elles le font sous forme d'une ribambelle de séries nostalgique (avant-dernier épisode), ce qui fait à la fois un superbe lien entre leur fonction mythologique, et leur fonction rendue moderne de scénariste télé. Une superbe manière de démocratiser les mythes, en plus que le biblique en cette 5ème saison, se donne presque une allure de peureuse face à cela. L'ensemble de ce final fut donc, pour résumer, très bien penser. Mick Rory évolue enfin avec ce retour au rôle de père et sa fille, totalement délaissée de l'absence de ce dernier durant des dizaines d'années. Une très bonne évolution pour lui. Une saison sonnant une nouvelle période globale, tous comme les autres poursuivant leur route après l'ère "Arrow". Un premier épisode à découvrir prochainement pour une autres série à découvrir avec envie et nostalgie à coup sûr. Les Legend peuvent poursuivre ainsi, elles se recycles très bien.
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