En 1984, Alec Jeffreys révolutionna le travail de la police. Ce généticien britannique développa les techniques d'empreintes génétiques alors qu'il travaillait à l'université de Leicester.
C'est une mini-série anglaise policière en 3 épisodes qui décrit dans les années 80 les premiers travaux scientifiques menés par le docteur Jeffreys sur les marqueurs ADN et leur identification pour en déduire la signature ADN unique de chaque individu pour ensuite l'appliquer à des tests de paternité mais surtout à la résolution de crimes. Ce n'est pas ultra palpitant mais la série se regarde facilement. A voir.
1 Critique Spectateur
Les épisodes de la saison 1
S01E01
En 1983, le corps sans vie de Lynda Mann est retrouvé sur un sentier, près de Leicester. L'enquête conduite par l'inspecteur David Baker n'aboutit pas. Cependant, à l'université, le scientifique Alec Jeffreys développe une méthode permettant de lire le code génétique d'un individu. La méthode, appliquée au cas d'un jeune Ghanéen, prouve un lien de parenté qui le sauve de l'expulsion. Dès lors, le laboratoire de Jeffreys est submergé de demandes pour résoudre de nombreuses affaires d'immigration et de recherche en paternité. Au cours de l'été 1986, Dawn Ashworth, une adolescente, est portée disparue. Elle a été vue pour la dernière fois non loin du lieu où le corps de Lynda Mann avait été retrouvé trois ans plus tôt...
S01E02
Lorsque le corps sans vie de Dawn Ashworth est découvert, David Baker a la conviction que le meurtrier est le même que celui de la jeune Lynda Mann. Gavin Hopkirk, un adolescent au comportement suspect, finit par avouer le meurtre de Dawn Ashworth, mais nie avoir tué Lynda Mann. David Baker, prenant connaissance des travaux de Jeffreys, décide d'aller le rencontrer. Jeffreys parvient à isoler une séquence génétique du meurtrier qui innocente d'emblée Gavin Hopkirk. David Baker lance alors la première chasse à l'homme à partir du code génétique du tueur...
S01E03
Alec Jeffreys et David Baker ont obtenu des fonds du ministère pour organiser une campagne de prélèvements sanguins. Ils espèrent ainsi mettre la main sur le coupable en comparant son empreinte génétique avec l’ADN des hommes de 18 à 34 ans vivant dans les environs de Narborough. Les volontaires se présentent en masse aux dépistages, tandis que les réfractaires sont interrogés. Mais plusieurs mois après, le meurtrier n’a toujours pas été identifié. David Baker subit des pressions de plus en plus directes de sa hiérarchie. Alec Jeffreys, lui, redoute un échec qui pourrait discréditer les tests ADN. En septembre 1987, un témoignage donne un coup d’accélérateur à l’enquête : une boulangère a entendu un homme se vanter d’avoir donné son sang à la place d’un autre…