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4,0
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Votre avis sur The OA ?
5
112 critiques
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83 critiques
3
27 critiques
2
30 critiques
1
27 critiques
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Une vrai série comme je les aime , une vraie profondeur et plein d'émotions à la fin, un régal même si je ne crois pas à la vie après la mort le film peut faire douter
Jusqu'au dernier épisode tout va bien. Arrivent les dernières minutes de la saison et là... Je n'ai toujours pas compris
spoiler:
comment ni pourquoi, partant de là où on partait, on finit dans Bowling for Columbine !
Franchement, j'ai adoré cette série !!! J'ai dévoré chaque épisodes, elle est vraiment captivante, envoûtante et pleines de mystères. Les acteurs sont vraiment géniaux, les images sont super belles et le scénario est vraiment super bien écrits. Seul bémol pour moi, j'ai eu un peu de mal à comprendre le dernier épisode mais ça n'enlève rien au fait que cette série est un pur chef d'oeuvre !!! Aussi captivante que Stranger things. Franchement Netflix sort de très bonne séries. Pourvu que ça dure et vivement la suite !!!
Alors, j'ai adoré cette saison 1 mais alors j'espère qu'il va y avoir une deuxième saison, parce la fin est incompréhensible !!
La première saison ne comporte que 8 épisodes mais c'est déjà de trop. 3 ou 4 auraient été plus que suffisants car Prairie
spoiler:
( alias OA )
a voulu se la jouer "Père Castor" en racontant son histoire et, bien que l'idée soit sympa ua début, à la longue ça devient plus que saoulant.
J'ai bien cru m'être perdu par moment sur Arte...
a voulu se la jouer "Père Castor" en racontant son histoire et, bien que l'idée soit sympa ua début, à la longue ça devient plus que saoulant.
J'ai bien cru m'être perdu par moment sur Arte...
Alerte spoil!
spoiler: Prairie, l’héroïne (hommage au bovin de scénariste et à la drogue), a disparu et est de retour. Ça va exploser la baraque... Le premier épisode est sympa. On se demande quand même certaines choses. Pourquoi une scène de "nichons" dès le début (qui a l'air gratos et n'amène rien à l'histoire)? Pourquoi Houaaa (OA pour les intimes ou Prairie pour les amateurs d'écologie bobologique et naturopathe) va-t-elle trouver la "prof" d'un bad guy avec des réponses qui peuvent tomber hors sujet ("Pourquoi vouliez-vous être prof?" Ben, pour les jours de congé" et le bidule aurait déjà pris l'eau...dans la réalité). Pourquoi Houaaa se ridiculise dans une pseudo scène de dispute avec le clebs du "bad boys" (à mourir de rire si j'ose le pléonasme). Bonne surprise dans la narration, le générique (presque à la fin de l'épisode) nous invite en Russie grâce à une petite musique entraînante. Mais c'est hélas pour se rendre compte que la campagne enneigée ne va pas servir à grand chose par la suite. Dans le premier épisode, toujours, Prairie va attirer près d'elle, via une vidéo Youtube (pub à donf pour Safari et Google), visible par "le monde" entier, mais que seulement les voisins regardent (sinon c'est une invitation aux tarés de la planète toute entière) dans une maison à l'abandon les cinq protagonistes de l'histoire. C'est-à-dire : Homo sapiens (un gars intello, mais homo), Testos (une ado qui veut avoir celle de mon oncle via les hormones que lui donne bad guy), la prof (qui n'arrive pas à se remettre de la mort de son frère), bad guy (un gentil méchant avec le QI d'une huître) et machin l'invisible que j’appelle "Vitre" tellement il est, ben, transparent). Bref, Houaaa raconte dans les épisodes suivants comment elle s'est faite enlever par Lucius Malfoy, anesthésiste de son état, si pas anesthésiant. La demoiselle cherche après son oligarge russe de papa en jouant de l'accordéon dans le métro. Ce, car elle est revenue d'entre les morts étant enfant et que Lucius étudie les "zombies", comme tous les bons psychopathes, ses sujets, à la manière de Josef Mengele. Elle va donc déconner durant les épisodes restants et conter comment les autres captifs sont morts et rereremorts avant de comprendre que leurs intelligences respectives ne sont pas faites pour réfléchir, alors qu'ils ont eu 152 fois l'occasion de prendre la poudre d'escampette. Il décide donc de faire appel à Karma (hommage à Earl) la vioque qui vit dans une cabane au milieu d'écrans plasma diffusant les images du satellite Hubble et qui joue le rôle de la mort qui conseille les gens à compréhension différée (une vieille dame affublée d'un sari vintage). Je passe les trucs sur le moi intérieur et la vision globale du machin. Vous trouverez toute la doc chez votre gourou ou dans les boutiques new-age. On va encore accélérer car ça devient chiant. La chamane des écrans Samsung leur fait bouffer des bestioles dans leur mort et les quartes gus prisonniers, il y a eu un "cinquième élément depuis", font des danses à la con qui ramène les chat crad(os) à leur puces. Houaaa trouve la combinaison des cinq bidules et arrive à se casser de sa prison sans toilettes avec l'objectif de revenir libérer ses codétenus. On va vraiment finir là, je suis à bout de ces conneries! Grâce à un trou scénaristique, la mission change de but. Les cinq fantastiques du départ (homo, testos, prof, etc.) vont lutter contre un américain lambda texan et ado qui vient liquider ses camarades de classe à la cantine du lycée après son voyage gastronomique en Europe. Le gars veut vraiment la peau du cuistot. Plutôt que de fuir, les bovins (les élèves américains) se jettent sous les tables en appelant maman. Quand le tireur rentre dans l'école (ultra-sécurisée; il y a même des gardes à l'entrée) par la porte de secours de derrière avec son dernier modèle de FN, les couillons se lèvent et commencent la danse pathétique que Houaaa leur a appris. Vous avez déjà eu de la peine en regardant quelqu'un se vautrer? Ben, c'est la gène qu'on ressent dans la scène finale où les coupains dansent comme des grues dégingandées au milieu de la cafeteria et arrivent à créer une rupture d'anévrisme chez le tireur fou qui convulse devant le ridicule de cette mascarade tribale. Malheureusement, Houaaaa se prend une balle dans le sternum à cause des convulsions du tireur. Mais, elle s'en sort.
FiN.
spoiler: Prairie, l’héroïne (hommage au bovin de scénariste et à la drogue), a disparu et est de retour. Ça va exploser la baraque... Le premier épisode est sympa. On se demande quand même certaines choses. Pourquoi une scène de "nichons" dès le début (qui a l'air gratos et n'amène rien à l'histoire)? Pourquoi Houaaa (OA pour les intimes ou Prairie pour les amateurs d'écologie bobologique et naturopathe) va-t-elle trouver la "prof" d'un bad guy avec des réponses qui peuvent tomber hors sujet ("Pourquoi vouliez-vous être prof?" Ben, pour les jours de congé" et le bidule aurait déjà pris l'eau...dans la réalité). Pourquoi Houaaa se ridiculise dans une pseudo scène de dispute avec le clebs du "bad boys" (à mourir de rire si j'ose le pléonasme). Bonne surprise dans la narration, le générique (presque à la fin de l'épisode) nous invite en Russie grâce à une petite musique entraînante. Mais c'est hélas pour se rendre compte que la campagne enneigée ne va pas servir à grand chose par la suite. Dans le premier épisode, toujours, Prairie va attirer près d'elle, via une vidéo Youtube (pub à donf pour Safari et Google), visible par "le monde" entier, mais que seulement les voisins regardent (sinon c'est une invitation aux tarés de la planète toute entière) dans une maison à l'abandon les cinq protagonistes de l'histoire. C'est-à-dire : Homo sapiens (un gars intello, mais homo), Testos (une ado qui veut avoir celle de mon oncle via les hormones que lui donne bad guy), la prof (qui n'arrive pas à se remettre de la mort de son frère), bad guy (un gentil méchant avec le QI d'une huître) et machin l'invisible que j’appelle "Vitre" tellement il est, ben, transparent). Bref, Houaaa raconte dans les épisodes suivants comment elle s'est faite enlever par Lucius Malfoy, anesthésiste de son état, si pas anesthésiant. La demoiselle cherche après son oligarge russe de papa en jouant de l'accordéon dans le métro. Ce, car elle est revenue d'entre les morts étant enfant et que Lucius étudie les "zombies", comme tous les bons psychopathes, ses sujets, à la manière de Josef Mengele. Elle va donc déconner durant les épisodes restants et conter comment les autres captifs sont morts et rereremorts avant de comprendre que leurs intelligences respectives ne sont pas faites pour réfléchir, alors qu'ils ont eu 152 fois l'occasion de prendre la poudre d'escampette. Il décide donc de faire appel à Karma (hommage à Earl) la vioque qui vit dans une cabane au milieu d'écrans plasma diffusant les images du satellite Hubble et qui joue le rôle de la mort qui conseille les gens à compréhension différée (une vieille dame affublée d'un sari vintage). Je passe les trucs sur le moi intérieur et la vision globale du machin. Vous trouverez toute la doc chez votre gourou ou dans les boutiques new-age. On va encore accélérer car ça devient chiant. La chamane des écrans Samsung leur fait bouffer des bestioles dans leur mort et les quartes gus prisonniers, il y a eu un "cinquième élément depuis", font des danses à la con qui ramène les chat crad(os) à leur puces. Houaaa trouve la combinaison des cinq bidules et arrive à se casser de sa prison sans toilettes avec l'objectif de revenir libérer ses codétenus. On va vraiment finir là, je suis à bout de ces conneries! Grâce à un trou scénaristique, la mission change de but. Les cinq fantastiques du départ (homo, testos, prof, etc.) vont lutter contre un américain lambda texan et ado qui vient liquider ses camarades de classe à la cantine du lycée après son voyage gastronomique en Europe. Le gars veut vraiment la peau du cuistot. Plutôt que de fuir, les bovins (les élèves américains) se jettent sous les tables en appelant maman. Quand le tireur rentre dans l'école (ultra-sécurisée; il y a même des gardes à l'entrée) par la porte de secours de derrière avec son dernier modèle de FN, les couillons se lèvent et commencent la danse pathétique que Houaaa leur a appris. Vous avez déjà eu de la peine en regardant quelqu'un se vautrer? Ben, c'est la gène qu'on ressent dans la scène finale où les coupains dansent comme des grues dégingandées au milieu de la cafeteria et arrivent à créer une rupture d'anévrisme chez le tireur fou qui convulse devant le ridicule de cette mascarade tribale. Malheureusement, Houaaaa se prend une balle dans le sternum à cause des convulsions du tireur. Mais, elle s'en sort.
FiN.
Bonne série dans l'ensemble mais avec un épisode final qui m'a déçu... en espérant qu'il redresse le tir avec une saison 2.
Visuellement sublime, scénaristiquement envoûtante, la nouvelle création Netflix nous entraîne sur les sentiers de la science-fiction et de la quête spirituelle avec une merveilleuse audace. Magnifique !
Mais que c'est long!
Dès les premières images, le pire est à craindre, pseudo vidéo volé d'un smartphone laisse présager que cette série souffre d'une abondance de d'jeunisme caractéristique au millésime post 2015. Ça ne rate pas, tout les clichés y sont. Mais malheureusement ce n'est pas avec cela qu'on fait une bonne histoire.
A vite oublier en espérant ne plus la revoir
Dès les premières images, le pire est à craindre, pseudo vidéo volé d'un smartphone laisse présager que cette série souffre d'une abondance de d'jeunisme caractéristique au millésime post 2015. Ça ne rate pas, tout les clichés y sont. Mais malheureusement ce n'est pas avec cela qu'on fait une bonne histoire.
A vite oublier en espérant ne plus la revoir
J'ai moyennement aimé. Il y a un bon début, mais par la suite, on ne sait pas bien où la série veut nous emmener. L'approche scientifique et les expériences sont intéressantes, surtout quand on arrive à ne pas trouver les "mouvements" ridicules. Cela n'avance pas très vite et bien souvent, on a l'impression de tourner en rond. Il y a un bon potentiel à exploiter sur l'au-delà. Nous verrons si la saison deux saura exploiter le filon. Pour le moment, je reste très mitigé malgré les bonnes idées scénaristiques.
Première fois que je ressens ça en regardant une série. Cette série vous prend aux tripes et vous aide à chercher le sens de la vie...
série sans intérêt, histoire sans queue ni tète une perte de temps a regarder, déception pour une série netflix qui habituellement a des bon programmes
J'ai découvert cette série par hasard et ce fut une réelle surprise, à tel point que j'ai eu du mal à ne pas pas regarder tous les épisodes d'un coup.
Je ne sais que dire devant une série aussi bien réalisé, avec des acteurs fabuleux dont celle qui me passionne depuis toujours " Brit Marling " , je vais faire simple foncé ! Un scénario magnifique, avec des décors originaux, totalement fan 👌
Bon, après 2 épisodes on en sait encore moins qu'au début et le scenario na toujours pas pris de direction claire. Je continue pour Brit Marling mais c'est limite limite ennuyeux parfois....j'imagine une suite avec les captifs mais j'espère que cela ne va pas être ça!!! il faut que ça décolle au troisième episode sinon ce sera sans moi....