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Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,6
8 titres de presse
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indieWIRE
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Entertainment weekly
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New York Times
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New Yorker
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The Hollywood Reporter
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Variety
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Collider
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New York Post
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
indieWIRE
[You] évoque les plus grandes qualités de Gone Girl de David Fincher et l'adaptation de American Psycho par Mary Harron. (...) Alors que l'on est imprégnés du point de vue de Joe depuis le début, l'écriture et la performance de Badgley font juste ce qu'il faut pour ce ne soit pas une expérience confortable.
Entertainment weekly
Effrayant, drôle, tendu, dans l'esprit soap, You ressemble un peu aux réseaux sociaux : ce n’est peut-être pas la façon la plus édifiante de passer votre temps, mais c'est très, très difficile d'arrêter.
New York Times
You est un thriller vicieux ; intelligent et méchant de la meilleure manière qui soit, avec une sensibilité diabolique, un pessimisme brillant et attrayant (...).
New Yorker
Thriller-comédie tranchant, You est une série-snack effrayante et délicieuse, un peu comme si Dexter rencontrait Younger.
The Hollywood Reporter
Une histoire de stalker tout à fait regardable. (...) Le rythme effréné pourrait bien en faire un plaisir coupable et juteux pour de nombreux téléspectateurs, mais il n'est pas à la hauteur du genre de réflexion qui aurait pu le rendre exceptionnel.
Variety
You a des idées percutantes sur les réseaux sociaux, même si elles sont parfois exprimées avec un manque flagrant de subtilité ; il a un argument intéressant ; l'environnement jeunesse hipster intello de Manhattan est presque aussi correct que celui de Gossip Girl et les écarts avec la réalité finissent par rendre [le show] rafraîchissant et amusant, mais il n’a pas tout à fait le courage de ses convictions.
Collider
You a un sujet intrigant, bien que ce ne soit certainement pas la tasse de thé de tout le monde. Jusqu'à présent, en cinq épisodes, c’est assez malin.
New York Post
La majeure partie de la narration est relayée par les monologues internes de Joe (une autre forme de harcèlement), mais on dira ceci : la série, tout en étant risible et prévisible, reste également regardable.