Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
USA Today
par Robert Bianco
Allen n'est pas au meilleur de sa forme artistique ici. Crisis est une babiole, une comédie légère qui démarre lentement (vous êtes prévenus) mais qui nous amène jusqu'à une conclusion drôle et satisfaisante.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
San Jose Mercury News
par Chuck Barney
La bonne nouvelle c'est que Crisis devient plus intéressante sur la fin, mais c'est déjà trop tard. Au lieu de proposer quelque chose de frais au genre de la série, Allen a tourné la série comme si c'était un film, de manière continue, donc les épisodes s'enchaînent très facilement. Parfait pour du binge-watching, si vous aimez ça.
La critique complète est disponible sur le site San Jose Mercury News
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Crisis in Six Scenes n'est pas très bonne. Elle n'est pertinente que sporadiquement et plutôt dans les derniers épisodes, et elle ne peut pas rivaliser avec les nombreuses dramédies actuellement à l'antenne, plus ambitieuses artistiquement comme Louie, Transparent, You're the Worst, Master of None... (...) C'est évident qu'il ne l'a faite que pour l'argent.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Sonia Saraiya
La virée de Woody Allen du côté de la télévision ne ressemble pas à de la télévision; malgré la division en six épisodes, rien ne distingue la série d'un film (trop long) du réalisateur. Les épisodes ne se suffisent pas eux-mêmes individuellement et la sérialisation n'apporte rien à l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Vulture
par Matt Zoller Seitz
C'est constamment mieux réalisé que joué, et mieux joué qu'écrit, comme la plupart des films de Woody Allen depuis les années 2000 (...) Il ne semble pas du tout avoir prêté attention aux exigences de l'écriture sérielle; sa vision de la série télé, c'est celle d'un long-métrage de cinéma haché en petits morceaux de 23 minutes.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
indieWIRE
par Ben Travers
Dire que Crisis in Six Scenes est un désastre serait exagéré (...) Mais il n'y a simplement rien de neuf ou de marquant dans ces six épisodes, dont l'essentiel du temps d'antenne est consacré au recyclage des mêmes vieilles caricatures, philosophies et débats traités dans les films de Woody Allen depuis six décennies (...) On avait besoin du meilleur d'Allen, à la place on a droit à une crise artistique.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Est-ce qu'Allen est persuadé que a un don pour la comédie ? A chacun de se faire son avis. Tout ce que je sais c'est que ce portrait simpliste des années 60 par Allen tente de nous faire rire et de nous rendre nostalgique... mais en vain.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Newsday
par Verne Gay
Bavarde, ennuyeuse, fade, Crisis est un raté.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Wall Street Journal
par Brian P. Kelly
Les projets de Woody Allen sont basiquement des gens qui marchent et qui parlent, donc leur réussite ou leur échec dépend de la force des idées déployées. Celui-ci n'en a aucune.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Salon.com
par Melanie McFarland
Ce babillage à peine cohérent ne va nulle part, dissimulant un scénario anorexique au point où il devient quasi-inexistant.
La critique complète est disponible sur le site Salon.com
USA Today
Allen n'est pas au meilleur de sa forme artistique ici. Crisis est une babiole, une comédie légère qui démarre lentement (vous êtes prévenus) mais qui nous amène jusqu'à une conclusion drôle et satisfaisante.
San Jose Mercury News
La bonne nouvelle c'est que Crisis devient plus intéressante sur la fin, mais c'est déjà trop tard. Au lieu de proposer quelque chose de frais au genre de la série, Allen a tourné la série comme si c'était un film, de manière continue, donc les épisodes s'enchaînent très facilement. Parfait pour du binge-watching, si vous aimez ça.
The Hollywood Reporter
Crisis in Six Scenes n'est pas très bonne. Elle n'est pertinente que sporadiquement et plutôt dans les derniers épisodes, et elle ne peut pas rivaliser avec les nombreuses dramédies actuellement à l'antenne, plus ambitieuses artistiquement comme Louie, Transparent, You're the Worst, Master of None... (...) C'est évident qu'il ne l'a faite que pour l'argent.
Variety
La virée de Woody Allen du côté de la télévision ne ressemble pas à de la télévision; malgré la division en six épisodes, rien ne distingue la série d'un film (trop long) du réalisateur. Les épisodes ne se suffisent pas eux-mêmes individuellement et la sérialisation n'apporte rien à l'histoire.
Vulture
C'est constamment mieux réalisé que joué, et mieux joué qu'écrit, comme la plupart des films de Woody Allen depuis les années 2000 (...) Il ne semble pas du tout avoir prêté attention aux exigences de l'écriture sérielle; sa vision de la série télé, c'est celle d'un long-métrage de cinéma haché en petits morceaux de 23 minutes.
indieWIRE
Dire que Crisis in Six Scenes est un désastre serait exagéré (...) Mais il n'y a simplement rien de neuf ou de marquant dans ces six épisodes, dont l'essentiel du temps d'antenne est consacré au recyclage des mêmes vieilles caricatures, philosophies et débats traités dans les films de Woody Allen depuis six décennies (...) On avait besoin du meilleur d'Allen, à la place on a droit à une crise artistique.
Boston Globe
Est-ce qu'Allen est persuadé que a un don pour la comédie ? A chacun de se faire son avis. Tout ce que je sais c'est que ce portrait simpliste des années 60 par Allen tente de nous faire rire et de nous rendre nostalgique... mais en vain.
Newsday
Bavarde, ennuyeuse, fade, Crisis est un raté.
Wall Street Journal
Les projets de Woody Allen sont basiquement des gens qui marchent et qui parlent, donc leur réussite ou leur échec dépend de la force des idées déployées. Celui-ci n'en a aucune.
Salon.com
Ce babillage à peine cohérent ne va nulle part, dissimulant un scénario anorexique au point où il devient quasi-inexistant.