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    Big Little Lies
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    216 critiques spectateurs

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    ManoCornuta
    ManoCornuta

    272 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 17 septembre 2020
    L'affiche franchement alléchante a fait beaucoup pour le succès de cette série. Après un démarrage plutôt poussif (les tout premiers épisodes laissent un peu perplexe en attendant la suite), la caractérisation croissante des personnages (y compris secondaires) et les intrigues qui se multiplient font prendre corps à la série et apportent du relief, appuyé sur une mise en scène qui joue beaucoup avec le glamour de ses actrices mais parvient aussi à générer la tension avec efficacité. Au fur et à mesure des épisodes, l'histoire s'équilibre et trouve son rythme de croisière, jouant des secrets et mensonges avec habileté. Du bel ouvrage qui appelle une inévitable saison 2...
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    272 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    3,0
    Publiée le 1 octobre 2020
    La série prend une nouvelle tournure après le drame qui clôturait la saison 1. Étonnamment, l'arrivée du personnage campé par Meryl Streep (impeccable comme à son habitude) semble un peu trop forcée, introduisant à toute force un variant dans l'histoire pour la faire déraper, en pensant plus sans doute à renforcer le prestige du casting qu'à développer une intrigue dont les ferments étaient déjà solides. Il y a aussi une volonté à tout crin de donner à chacune un "grand moment", mais ce n'est hélas pas toujours un choix heureux, nuisant à l'homogénéité du casting qui était un point fort jusqu'ici. Zoé Kravitz s'avère ainsi un peu trop limitée, Reese Witherspoon perd un peu le fil, quand Shailene Woodley et surtout Laura Dern se montrent à leur avantage. Certaines options scénaristiques un peu fumeuses sont tout de même compensées par un sens du timing et de petites surprises parsemées avec soin. Reste le plan final dont la logique tend à échapper au spectateur, jouant trop sur le côté "on laisse une porte entrouverte pour l'avenir"...
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    137 abonnés 3 068 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 13 janvier 2024
    Une série bien américaine et féministe de 2017/19 qui ne manque pas d'atouts avec une réalisation recherchée, épaississement de situations conflictuelles, tendues et suspense maximum dans le procédé lui même avec un mort indiqué d'entrée spoiler: qui n'est dévoilé qu'à la fin de la première saison, c'est le plus pourri d'entre tous qui périt
    . De bonnes actrices mais tout cela est bien superficiel et sordide même si tend à être réaliste dans un milieu plutôt de privilégiés. L'essentiel est sur la difficulté d'être en couple et d'avoir des enfants avec certains hommes destructeurs et/ou inconstants et des femmes au caractère exacerbé sans compter les préjugés malsains de beaucoup qui ne sont que jaloux. Un fourbi d'attitudes peu ragoutante dans la démonstration et la valorisation qui leur est donné.
    Vinz1
    Vinz1

    177 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 21 décembre 2021
    Un scénario au diapason d’actrices extraordinaires (Nicole Kidman en tête), des décors somptueux, une ville de rêve (Monterey en Californie) mais aussi une vie de rêve pour ces femmes qui ne travaillent pas ou peu, qui toutefois ont tout, sauf peut-être la tranquillité de l’esprit et c’est bien en cela qu’elles divergent au début pour mieux se retrouver par la suite. Un grand moment de télévision pour cette première saison à la fin inévitable…mais qui laisse une belle porte ouverte pour la saison 2 qu’on espère aussi riche !
    Vinz1
    Vinz1

    177 abonnés 2 429 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    4,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Alors oui, elles sont belles et riches, pourtant elles ne sont pas heureuses. Certaines se sont construites toutes seules, d’autres ont été privilégiées, mais malgré leurs différences, elles sont toutes réunies par un secret commun lourd à garder. Cette deuxième saison est peut-être encore mieux que la première car on les voit toutes évoluer par rapport à ce qu’elles ont vécu à la fin de la précédente et ce, jusqu’à un final grandiose mais inévitable quand on y pense. Des actrices exceptionnelles, aussi bien chez les « nouvelles » (comme Meryl Streep) que chez les « anciennes » (avec Nicole Kidman en tête de distribution), un scénario très bien construit, des protagonistes hyper bien brossés, ainsi qu’une musique de générique envoûtante, ne cherchez pas, c’est une superbe série à (re)voir ou à découvrir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    2,5
    Publiée le 18 août 2019
    Une saison laborieuse et répétitive. L’apparition des grands-mères ressemble à un outil artificiel pour relancer la machine et le scénario se repose sur leurs soupçons de manière tellement systématique qu’on dirait un aveu d’impuissance. Parce qu’à part ça, il faut bien dire que cette saison 2 ne raconte pas grand-chose. Chacune des 5 héroïnes a droit à sa petite backstory, mais la seule qui ait un semblant d’intérêt est celle du personnage de Kidman et elle n’avance vraiment que dans les deux derniers épisodes. A cause de cette impression de vide, les tics de réalisation de Vallée paraissent complètement superflus et ne sécrètent pas le mystère qu’ils produisaient en saison 1. Comme si ça ne suffisait pas, on comprend in fine que les scénaristes nous ont tranquillement (et paresseusement) conduits vers une morale consensuelle selon laquelle la vérité serait une valeur absolue, ce qui aplanit considérablement les enjeux de la saison 1, moralement plus ambiguë, et constitue un programme bien léger pour justifier ce deuxième chapitre. Reste l’atmosphère, cette belle photographie, ces décors qui donnent de la chair au récit et surtout ces actrices, toujours merveilleuses. Meryl Streep n’apporte pas grand-chose avec son jeu très maniéré d’actrice à Oscars, mais ce sont surtout Kidman et la géniale Laura Dern qui tirent leur épingle du jeu et expliquent (presque) à elles seules le plaisir que procure - quand même - la saison 2 de Big Little Lies.
    Deli K.
    Deli K.

    38 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 5 août 2021
    Cette série est soignée. L'histoire est assez simple, voire une peu facile, au fond, mais la narration est plutot de qualité. Quelques détails ici et là peuvent laisser un peu dubitatif, mais dans l'ensemble la série se regarde avec un certain plaisir alors même que les personnages ne sont pas très attachants. On est intrigué et on suit jusqu'à la fin sans souci.
    Choupi C.
    Choupi C.

    23 abonnés 327 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 24 juillet 2021
    Très très intriguante, excellemment joué par les différents acteurs.. musiques superbement choisies.
    Série top! A voir
    Philo
    Philo

    16 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 28 novembre 2020
    Excellente série sociologique qui décrit bien les les travers du milieu californien friqué.
    Un suspense à la construction originale, basé sur le fait qu'un personnage est mort de façon violente, mais on doit chercher à deviner lequel
    J'ai adoré l'interaction adultes enfants.
    Provence
    Provence

    19 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Super numéros d'actrices la bande originale est géniale. Les lieux de tournage dans de superbes propriétés font rêver
    Dx M.
    Dx M.

    62 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 28 janvier 2021
    bien ds l ensemble... l histoire est intéressante... le casting est convaincant... au début de la série on cherche a comprendre qui a été tué pendant cette fameuse fête et surtout pourquoi... puis on devine peu a peu la tournure des évènements au fil des épisodes... la fin est plutôt bien amenée... un peu trop de longueurs inutiles au milieu... ça tourne en rond pour nous faire mariner... aussi un peu trop de messages féministes - girl power - qui relève du pathos a mon goût... sinon c est pas mal...
    Jean Louis L.
    Jean Louis L.

    33 abonnés 439 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 15 septembre 2020
    une série jouée par un quatuo femininr qui tient l'histoire et Meryl qui les rejoint. Kidman est formidable, Witherspoon caricaturale en bourgeoise qui veut en faire de trop .Dern , un vrai personnage de la femme forte mais bafouée les deux surprises Woodley en mère célibataire et Kravitz en femme qui veut être zen . mais c'est une série de femmes pour les femmes qui met en avant autant la brutalité physique que moral. l'homme est un faire valoir qui de plus est malhonnête violeur enfin tous ces mauvais côtés sont ressortis et on se perd dans le dégoût de l'archetype un finish que l'on voit pas arriver dans la saison 1 et un combat physiologique dans la saison 2 avec une Meryl Streep égale à elle même dans son jeu manipulatrice au possible.
    Ceiner M
    Ceiner M

    33 abonnés 204 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 17 septembre 2020
    Difficile de trancher sur une note car il faut rentrer dedans et parfois, il y a des côtés too much ou irritants mais qui finissent pas être contrebalancés...Reese whitherspoon a le rôle le plus clivant ...caricature de la nénette hystérique qui coupe les cheveux en 14000 et qui se mêle de tout au détriment de tous ou femme qui a du mal à gérer ses propres contradictions et son émotivité mais qui a un réel envie d'aider les autres et une réelle empathie mais qui est super maladroite....Parfois, j'ai détesté l'image des femmes que cette série renvoie et le cadre reserré sur le foyer, l'école, les enfants...cela ne parle pas à tout le monde et je trouve cela très réducteur si on veut parler du féminin mais c'est très américain où peu de femmes avec enfants travaillent dans les milieux aisés.. Il y a de l'hystérie, peut-être trop sur au moins 2 personnages ..Heureusement, les 2 -3 autres personnages principaux féminins le sont pas du tout mais du coup...Faisant des figures partagées entre femmes dominantes et femmes dominées...Mais les actrices sont au top, les images de plage et la photo sont magnifiques...Il y adu plaisir et du déplaisir mais on sent que c'est voulu pour faire réfléchir et je crois que ce téléfilm est très pédagogique comment repérer et se sauver en cas de violences conjugales et pour cela, il fait oeuvre très utile
    Nicolas Jeremy A.
    Nicolas Jeremy A.

    20 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Pour commencer parlons du casting 5 étoiles. Avec cette qualité d'acteurs, difficile de ne pas accrocher de suite. Deux acteurs ressortent d'après moi : Nicole Kidman et Alexander Skarsgård qui jouent tellement bien que c'en est parfois dur à regarder. Big Little Lies c'est un peu Desperate Housewives à la sauce HBO, l'histoire de femmes riches sur fond d'un mystérieux meurtre. Le rythme de la série est comme énormément de séries HBO, lent mais juste ce qu'il faut pour faire de chaque épisode quelque chose d'intéressent qui donne envie de savoir la suite. La série adaptée d'un roman populaire américain ne fait que 7 épisodes, à voir !
    Shawn Atreides
    Shawn Atreides

    11 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 27 juin 2024
    Depuis plus de 10 ans, le choix de me lancer dans une série est mûrement réfléchi. Ayant suffisamment de films à regarder pour 5 vies et les séries demandant un investissement temporel souvent trop important à mon goût pour un dispositif trop souvent visible et redondant.

    Au fil des ans, les budgets, la qualité globale ou encore les artistes convoqués à l'élaboration des séries ont rendu la frontière entre le monde des séries et celui du cinéma perméables. Restent que ces deux médiums sont des outils certes complémentaires mais différents dans l'impact sur le spectateur.

    Je venais de découvrir Sharp Objects de Jean-Marc Vallée (Merci Guillaume), série que j'ai vraiment aimée, bien que trop longue d'un ou 2 épisodes je pense (Même si le côté répétitif fait partie intégrante de l'ADN du projet, afin de ressentir au mieux les sentiments de claustrophobie à ciel ouvert et de nausée des personnages tous plus au moins pris au piège.) J'avais été agréablement surpris par le format mini-série, pensée et contenue en une unique saison et réalisée par une vision artistique globale et cohérente d'une seule équipe, dont son réalisateur.

    Je me lance donc dans la foulée, décidé, dans l'expérience précédente de Jean-Marc Vallée, intrigué par l'esthétique et le postulat de base. Pour le coup, l'essai est transformé. Je dois avouer mon effarement face à certaines critiques presses ou non sur deux arguments principalement :

    - Sorte de Desperate Housewives avec des ambitions faussement arty en plus ...

    - Si vous avez envie de vous prendre les états-d'âmes de bourges qui se complaisent dans leur misérabilisme ...

    Mettons-nous d'accord, l'appréhension d'une oeuvre, quelle qu'elle soit est dépendante d'une somme de facteurs : Notre état de fatigue, notre état émotionnel, notre chemin de vie etc... "Les goûts et le couleurs" (tiens... te revoilà toi...)

    Mais réussir à autant être à côté de la plaque dans l'analyse, qui est censée demander une certaine prise de recul. Débat vain du papier trop vite sorti ?

    Mon verdict :

    J'ai adoré cette expérience renouvelée au cours des 7 épisodes de Big Little Lies (Je me suis contenté de la saison 1, pensée comme telle ; un objet unique qui n'avait absolument pas besoin d'une suite sur-explicative et qui va éradiquer toute liberté imaginative et réflective chez le spectateur.)... l'inverse donc de l'ambition originale, pas mal !

    Contrairement aux 2 arguments évoqués ci-dessus par certains détracteurs, le comparatif avec Desperate Housewives tient uniquement au fait que nous suivons principalement les péripéties au travers des yeux de protagonistes féminins évoluant dans un milieu aisé. Pour ce qui est du côté "bourge", je ne comprends pas en quoi cela est problématique d'un point de vue scénaristique ou sociologique : cela semble davantage traduire d'un inconfort vis-à-vis de son propre niveau de vie ou bien d'un rejet tellement catégorique qu'il n'accepte pas que ces gens, plus fortunés... Existent ?

    Pour autant, là où ces arguments sont encore plus inopérants qu'erronés :

    - La série évolue dans un entre-soi toxique, mais bien réel ici aussi dans nos contrés Françaises. Cet univers totalement cloisonné alors qu'il est paradoxalement ouvert sur l'immensité de l'océan est l’objet principal de la critique acerbe, suffisamment distincte, portée par la série. L'équilibre entre thématiques sérieuses, pauses humaines, cynisme et surenchères face à des situations complétement déconnectées de la réalité est dosé de façon subtile.

    - Un groupe de bourges ? En partie, cette série triomphe par le fait de porter un regard universel et donc réconciliateur sur des thématiques qui touchent tout le monde, individus ou couples, quel que soit leur niveau social : spoiler: la difficulté d'être mère célibataire, d'être parent, d'être un couple divorcé, d'être un enfant, un amant, un mari violent, une victime d'agression, de subir le poids des comparaisons, les guerres d'ego, les baisses d'estimes de soi
    , quoi de plus universel ? C'est justement dans l'explosion de ces barrières de classe que la série excelle. Et c'est ne surtout pas comprendre le point de vue exprimé par Jane dont c'est le rôle de témoin extérieur dans ce mode à part. Surement la critique spécialisée, c'était endormi sur ce point pourtant colonne vertébrale de toute la dramaturgie... C'est d'autant plus pertinent, que le fait de faire voler en éclats le vernis brillant du monde idéal des couples fortunés que la série tire son épingle du jeu, en petite sœur directe de Gone Girl aussi bien dans l'approche thématique que son ambiance ambivalente sexy-feutrée-violente-réaliste-psychotique. Le contre-exemple de cette vie dans les lieux reculés existe dans tout bon Americana ou tout simplement dans Sharp Objects du même réalisateur qui va questionner ce rapport de force dans cette Amérique profonde.

    Jamais manichéenne là où pourtant, l'intégralité des sujets évoqués aurait pu facilement noyer le propos dans une somme de poncifs, on aborde ici frontalement et en nuance les perspectives de chacun : 1) Pas de faux féminisme convenu : aucun homme n'est présenté comme uniquement mauvais, aucune femme n'est présentée uniquement comme victime idéale. 2) Pas de caution LGBT au chausse-pieds (communauté pourtant présente), ça change déjà du modèle Disney.

    Comme toujours, on adhère ou non, il y a suffisamment de quoi satisfaire tout le monde dans l'offre audiovisuelle mondiale. Ce qui me gêne en définitive encore une fois, c'est lorsque la critique commente en surface, une proposition qui justement demande de lire entre les lignes.
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