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Kromaria
17 abonnés
139 critiques
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4,0
Publiée le 16 novembre 2021
Cette saison 3 devient réellement passionnante à partir de l' épisode 3. Clive Owen est absolument bluffant en Bill Clinton et ce même si physiquement il ne lui ressemble pas vraiment, mais par moment suivant le plan, c' est quand même incroyable. J' étais très jeune au moment du Monica gate et pourtant je m' en souviens même ici en France, les JT en avaient beaucoup parlé et je me rend compte en regardant la série que beaucoup chose, compte tenu de mon âge à l' époque m' avaient échappé. C' est pourquoi avoir ce regard adulte sur cette affaire est intéressant. Donc serie passionnante, avec des acteurs bons et impliqués. Alors oui, l' actrice principale ne ressemble pas à la vrai Monica mais c est pas grave,son jeu est très bon. Sarah PAULSON est totalement métamorphosée à telle point que j ai mis un moment avant de la reconnaître. C' est vraiment une actrice très talentueuse. Sur l'histoire en elle même, alors certes Monica LEWINSKI, enfin telle qu' elle est montrée semble un peu névrosée mais à l' époque elle n' avait que 23/24 ans voir plus jeune lorsque sa relation avec Clinton a commencé; elle a été broyée par le système et pourtant et elle s' est bien relevée de tout ça ! Elle fait vraiment de la peine quand on voit ce qu' elle a dû supporter, les moqueries, etc. C est dommage que le rôle d' Hilary Clinton ne soit pas assez étoffé car elle est bien plus que ce qu ils ont montré. Je vous conseille Primary Colors film avec John TRAVOLTA et Emma Thompson qui raconte un peu cette partie de la vie des Clinton même si les noms ont été chargés. Concernant le rôle joué dans cette affaire par Linda TRIPP joué par Sarah PAULSON j' avoue que c est la première fois due j entendais son nom. Tout au long de l' epidode ses intentions sont un peu nébuleuse. Il n' est pas question de jalousie je oense mais un besoin féroce de reconnaissance qui a été destructeur pour la jeune Monica mais aussi pour elle. Saison qui n est pas la meilleur mais qui est plutôt pas mal. Je vous je conseille à 90%.
Cette Saison 3 est clairement orientée. J'ai eu l'impression qu'on ne dit pas réellement les véritables intentions de Monica Levinsky. Elle nous est présentée comme bien trop gentille et dénuée d'intérêt, contre le gros méchant Bill Clinton. Personnellement, je n'ai pas cru au grand Amour que l'on pourrait considérer comme un amour "à genoux", et encore moins à l'improbable raison qui l'a poussé à conserver sa robe immaculée pendant 6 mois. Non, non, Monica ne balance pas les plus petits détails pour mettre à mal le président et gagner son procès, on lui tire les vers du nez, la pauvre... Bref, on nous prend pour des jambons... Ah tiens, certains membres de la famille Levinsky, dont Monica, font partis des producteurs de la saison...
Assumant un parti pris politique et sociétal cette plongée dans les coulisses d'une affaire juridico-médiatique emblématique des dérives du système et des intrications entre sphère publique et sphère privée, portée par des personnages féminins mis en valeur, chacun illustrant une catégorie de victime ou d'actrice de ce drame, manque de nuance dans ses portraits, le manichéisme tissant dangereusement sa toile, jusque dans le choix discutable de Clive Owen, peu charismatique. Pourtant, semblables au public de l'époque, nous suivons avec une gourmande curiosité ce feuilleton révoltant, manifestant la réussite de Ryan Murphy à questionner notre propre rapport à ces faits divers révélateurs. Ambitieux.
Comme d'habitude dans American Crime Story, le traitement de l'histoire est rigoureux, généralement fiable et équilibré, et en même temps suffisamment rythmé pour tenir en haleine jusqu'au bout. Il me semble toutefois que cette 3e saison traîne un peu en longueur, et qu'elle faiblit dans sa deuxième partie, notamment à trop vouloir gonfler la portée historique de l'affaire Lewinsky - elle serait notamment liée de façon souterraine au 11 septembre ou à l'émergence de la droite trumpiste. À voir, tout de même, car ACS continue de faire partie de ces séries qui nous permettent de mieux comprendre le monde. C'est rare.
Dernière en date et mon avis la dernière tout cours étant donner depuis combien de temp la suivante aurait dû être diffusée. Là encore malheureusement nous passons encore à un récit longuet, jeu morose et donnant des envies dormantes tant les longueurs sont reines et l'absence de dynamisme surpuissant. spoiler: Oui c'est un récit très précoce à #MeToo mais soyons franc jeu, 10 épisodes à voir une détresse parfaitement justifiée mais larmoyante, l'obsession journalistique pour les scoop et un FBI attentionner dans ses investigation mais dans un tout très long. Un jeu non dynamique, beaucoup d'allure ralentie et des apparitions de casting donc on ne comprend même pas pourquoi, Cobie Smulders ("MCU"...) en blonde d'investigation qui déboule de nul par sans qu'un aucun moment on ne comprenne ce qu'elle est. Puis la première "vedette" Annaleigh Ashford étant violement remplacée par Beanie Feldstein dans leur liaison respective. On découvre rapidement une et on passe tout aussi vite à l'autre ? Un bug scénaristique mal compris avant que la première ne revienne à la charge mais plus vraiment dans la même ligne optique. Quant à Clive Owen ("Valérian"...), son interprétation très juste du président Clinton lève un voile tellement méconnu pour nombre d'entre nous sur ces "illégales" relations secrète et tonitruante qu'il eu jadis avec des stagiaires. Un voile lever tel une tempête politico-sentimentale et ultra personnelle envers sa légendaire épouse, première dame d'antan Hilary (Edie Falco) dont les scène houleuses démontrent parfaitement les coulisses d'un affrontement personnel comme jamais on aurait pû le penser . Il est certains qu'à la suite de cela, on ne regarde plus le vieux Bill comme avant. Une saison intéressante par moments mais bien trop molle et longues par d'autres qui ne laisse donc pas le meilleur souvenir.
Plus les saisons s'enchaînent moins la série ACS m'intéresse. Ces dix heures de visionnage pour cette fameuse histoire impliquant un président, une stagiaire, une robe tachée et un cigare sont trop longues, le sujet ne méritait pas autant. A moins peut-être d'être un connaisseur de la politique américaine et de son microcosme, ce qui n'est pas mon cas. Le seul véritable intérêt de cette troisième saison aura été de donner la parole à Monica Lewinsky, qui produit cette série, en lui permettant de donner sa version. J'espère que ACS4 consacré au Garage 54, club new-yorkais aux soirées légendaires, sera à la hauteur de mes attentes.
Intéressant de se replonger dans ce moment d'Amérique, qui ne peut être qu'américain. Comme la première saison autour d'OJ Simpson, l'affaire Lewinski, montre un terrible trauma de la société US, une de ses faiblesses exacerbées autour de la morale sexuelle comme de la question raciale. Et c'est en cela que la série est intéressante
En août 1998, après qu'il a confessé publiquement avoir eu des relations sexuelles avec Monica Lewinsky, le Président Clinton fait l'objet d'une procédure de destitution. L'épisode 1 est long à se lancer. Il faut se faire au style et surtout au rythme de la série mais finalement elle devient rapidement passionnante et nous transmet un goût de reviens-y. C'est lent car cela raconte une histoire mais le traitement est rigoureux et cette dernière est bien racontée. C'est parfois compliqué avec les changements d'époques, surtout en début d'épisode où on nous balance une scène obscure, si bien que l'on se demande parfois si on ne s'est pas trompé de série (cf ep 3). Néanmoins c'est impressionnant comment les faits sont scrupuleusement respectés jusque dans les dialogues (Lewinsky a participé au projet en tant que productrice). La série est intelligente : nous ne voyons jamais une scène de sexe, tout est suggéré alors que c'est tout de même le sujet principal de cette histoire. Les acteurs choisis ressemblent (de près ou de loin) aux vrais personnages et ils jouent super bien, que ce soit Beanie Feldstein (Monica Lewinsky), Annaleigh Ashford (Paula Jones), Clive Owen (Bill Clinton), Sarah Paulson (Linda Tripp) ou même Edie Falco (Hillary Clinton). Bill Clinton est percé au grand jour : manipulateur et menteur, en plus d'être un coquin à tendance perverse… Quant à Linda Tripp je n'arrive pas à avoir de la compassion pour elle. Ses justifications ne me convainquent pas : sa haine du Président a pris le dessus sur toute rationalité, et à mon sens, elle a également tenu à flatter son ego. Elle avait un manque de reconnaissance. Mais de là à trahir son amie, la seule qu'elle ait eu. Alors oui au début c'est plus une distraction qu'une amie mais ça l'est devenu et à aucun moment elle n'a songé à ce que Monica allait ressentir, et au retentissement que cela aurait sur elle et sa famille jusqu'au restant de ses jours. Monica est réhabilitée, la vérité éclate au grand jour. Elle était seulement amoureuse et grandement naïve. Elle a été broyée par le système et a dû supporter insultes et quolibets. Linda a-t-elle agi de cette façon pour sauver Monica ? Je ne pense pas. Ses intentions sont nébuleuses. Elle s'est servie de Lewinsky pour se venger de la maison blanche et des démocrates, elle la républicaine, mais aussi pour venger la mort de Vince Foster qu'elle attribue à Clinton. Cette femme a un grand besoin de reconnaissance. Monica fut une victime collatérale. Linda a-t-elle sauvé Monica ? Je ne pense pas non plus. Certes elle l'a retirée de l'emprise de Clinton mais je pense que dans tous les cas elle s'en serait sortie car elle aurait été à New York et puis de toute façon Bill s'éloignait d'elle. Elle n'a peut-être pas gâché sa vie mais elle a changé son existence, assurément ! C'est dommage que le rôle d'Hillary Clinton ne soit pas plus étoffé. De même, la fin est expéditive. J'aurais aimé connaître le devenir des protagonistes dans un générique de fin. C'est bien fait et tout sauf barbant, une adaptation réussie !
Magnifique saison 3 avec l'affaire Lewinsky et la procédure de destitution du président américain de l'époque Bill Clinton. Suspense garanti et une tension à couper au couteau. Je mets un 4,5 comme note car certains acteurs ne sont pas tres ressemblants aux originaux, sinon, tout le reste est parfait.
Autant j'ai beaucoup aimé les deux premières saisons, autant je n'accroche pas du tout à celle-ci. La réalisation est vraiment mauvaise: choix étranges de casting - le directeur du casting doit être aveugle, les actrices ne ressemblent pas du tout aux personnes réelles - scénario décousu. On nous promène d'une situation à l'autre, d'une année à l'autre, d'un personnage à l'autre, sans que l'on comprenne trop le fil conducteur.
Bref, on s'emmerde, faute d'enjeux, d'autant qu'on ne se donne pas la peine de nous livrer les clés de cette affaire, comme si tous les spectateurs devaient en connaître à l'avance tous les personnages et tous les détails, ce qui n'est pas mon cas. Bien sûr, j'ai entendu parler de Monica Lewinski et de ce qui s'est passé entre elle et le président, mais je ne connais pas tout ce qui entoure cette affaire, comme une majorité de spectateur sans doute. Une mise en contexte aurait été appréciée.
Cette saison 3 est incroyable ! Le suspense est insoutenable et le casting est époustouflant. J'ai vraiment adoré et Sarah Paulson est méconnaissable en étant Linda Tripp.
On apprécie comment c'est filmé, angoisse est vraiment prenante par moment. Mais on a du mal à croire en la manière dont c'est raconté. Croire que Monica L. Qui est constamment présentée comme une victime dans la série est mahonnete... Rensenti mitigé. Série un peu partisane dommage, on a un seul angle d'attaque