Panthers / The Last Panthers : Critiques de la presse
Panthers / The Last Panthers
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,4
8 titres de presse
Elle
Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
GQ
Libération
Première
Télé 7 Jours
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Elle
par La rédaction
Ample et costaude, Panthers est une série polyglotte qui mêle les bandits à kalachnikov aux truands de la finance. Une fresque testostéronée, dont la structure ramifiée rappelle la série Sur écoute.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Les dégâts du libéralisme le plus radical se font sentir dans chacun des six épisodes, où les coupables ne sont pas toujours ceux qui tiennent les flingues. Une leçon assez éclairante sur les impasses d'un continent.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par La rédaction
Un casting de haut niveau, une mise en scène soignée, et un sujet traité sous un angle original, le premier opus pose remarquablement la trame de cette série.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
GQ
par Toma Clarac
La série ne recule devant aucun ressort dramatique, quitte à en payer parfois le prix (…) Il y avait sans doute là de la place pour plus de 6 épisodes. Mais ces approximations traduisent avant tout une ambition inédite dans la fiction française, qui trouve à l'échelle de l'Europe un terrain de jeu joliment éclaté et polyglotte.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Libération
par Clémentine Gaillot
Panthers évacue rapidement les scènes de cambriolages pour se resserrer sur son trio de personnages pris dans l’écheveau d’une chasse à l’homme transfrontalière (…) A mesure que le récit choral se déploie, tissant une vaste toile qui se resserre au sixième épisode, cette ambition se révèle à double tranchant, tant la peinture d’une Europe élargie se fait au détriment d’une vision par moments complotiste et paranoïaque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Jonathan Blanchet
Un drame fascinant une fois l'intrigue entièrement déroulée, mais qui n'accroche pas immédiatement, avec ses storylines à géométrie variable qui comptent quelques lignes de dialogues mal dégrossies et usent maladroitement des flashbacks, avant que la série ne se rattrape dans un épisode 5 entièrement dédié au passé des principaux protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par TG
Librement inspiré de l'histoire vraie du gang des Balkans baptisé les Pink Panthers, cette série à l'ambiance (forcément) sombre démarre sur les chapeaux de roue (…) Panthers joue dans le registre "coup de poing". Mais aussi "humain".
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Pierre Langlais
Documentée, grâce au travail du journaliste et écrivain Jérôme Pierrat, la fiction tarde malheureusement à émouvoir, à révéler sa richesse intimiste et la complexité de son sous-texte. Elle ne le fait vraiment que dans ses deux derniers épisodes, intenses, où la puissance tragique de cette histoire chorale s'exprime enfin pleinement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
Ample et costaude, Panthers est une série polyglotte qui mêle les bandits à kalachnikov aux truands de la finance. Une fresque testostéronée, dont la structure ramifiée rappelle la série Sur écoute.
Les Inrockuptibles
Les dégâts du libéralisme le plus radical se font sentir dans chacun des six épisodes, où les coupables ne sont pas toujours ceux qui tiennent les flingues. Une leçon assez éclairante sur les impasses d'un continent.
Télé Loisirs
Un casting de haut niveau, une mise en scène soignée, et un sujet traité sous un angle original, le premier opus pose remarquablement la trame de cette série.
GQ
La série ne recule devant aucun ressort dramatique, quitte à en payer parfois le prix (…) Il y avait sans doute là de la place pour plus de 6 épisodes. Mais ces approximations traduisent avant tout une ambition inédite dans la fiction française, qui trouve à l'échelle de l'Europe un terrain de jeu joliment éclaté et polyglotte.
Libération
Panthers évacue rapidement les scènes de cambriolages pour se resserrer sur son trio de personnages pris dans l’écheveau d’une chasse à l’homme transfrontalière (…) A mesure que le récit choral se déploie, tissant une vaste toile qui se resserre au sixième épisode, cette ambition se révèle à double tranchant, tant la peinture d’une Europe élargie se fait au détriment d’une vision par moments complotiste et paranoïaque.
Première
Un drame fascinant une fois l'intrigue entièrement déroulée, mais qui n'accroche pas immédiatement, avec ses storylines à géométrie variable qui comptent quelques lignes de dialogues mal dégrossies et usent maladroitement des flashbacks, avant que la série ne se rattrape dans un épisode 5 entièrement dédié au passé des principaux protagonistes.
Télé 7 Jours
Librement inspiré de l'histoire vraie du gang des Balkans baptisé les Pink Panthers, cette série à l'ambiance (forcément) sombre démarre sur les chapeaux de roue (…) Panthers joue dans le registre "coup de poing". Mais aussi "humain".
Télérama
Documentée, grâce au travail du journaliste et écrivain Jérôme Pierrat, la fiction tarde malheureusement à émouvoir, à révéler sa richesse intimiste et la complexité de son sous-texte. Elle ne le fait vraiment que dans ses deux derniers épisodes, intenses, où la puissance tragique de cette histoire chorale s'exprime enfin pleinement.