Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Washington Post
par Hank Stuever
Le travail de Stephen King ne voyage pas toujours joyeusement vers les antennes de télévision, mais Hulu marque des points avec une adaptation de 11.22.63 en 8 parties impressionnante et courageuse.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Hitfix
par Alan Sepinwall
Même s’il n’y pas assez de scènes avec Jodie pour procurer davantage d’émotion à cette intrigue policière, la dernière heure de cette mini-série est très intense, et à vrai dire même meilleure que certains aspects du livre.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
L'Obs
par Ursula Michel
La série concentre tous les éléments propres au fantasme télévisuel parfait: une narration au long cours dans un monde codifié (les années 1960 et les faits historiques connus du public), le suspense d’une révélation (le mystère de l’assassinat de Kennedy ayant inauguré l’ère complotiste dans laquelle nous naviguons encore aujourd’hui) et un acteur solide pour tenir sur ses épaules le développement de l’intrigue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Quasiment toute la réussite de 11.22.63 provient de la capacité de Franco à faire passer un concept de bizarre à réaliste, grâce à la grande aide de Cooper, qui est complémentaire à Franco dans les premiers épisodes (et les flashbacks) et donne à cette série cette part nécessaire de crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Wall Street Journal
par Dorothy Rabinowitz
Cette série en 8 parties, basée sur une nouvelle de Stephen King et adaptée pour la télévision par Bridget Carpenter, est remplie de petits et un peu moins petits problèmes de compréhension. Mais il y a sans conteste un attrait fort, en grande partie dû à ce méticuleux travail de reconstitution du début des années 60.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Le Point
par Guerric Poncet
Les épisodes se regardent d'un trait, avec en prime de bons acteurs dont on n'a pour la plupart pas déjà vu le visage mille fois (...) la meilleure adaptation sur petit écran de Stephen King, à des années-lumière des désastres Under the Dome et Dead Zone.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Time
par Daniel D'Addario
8 épisodes, ici, c’est trop. La série s’embarque sur plusieurs fausses pistes avant d’enfin atteindre le lieu du crime. Mais ses meilleurs moments sont ceux pendant lesquels la tension pointe le bout de son nez, de même que ceux pendant lesquels le passé se rebelle contre notre héros, pour essayer de le rebuter.
La critique complète est disponible sur le site Time
Télé Loisirs
par Michel Bessières
Fidèle en cela à Stephen King, la série préfère les histoires à l’Histoire (...) James Franco, sourire désarmant, incarne à la perfection le simple quidam, mal équipé pour influer sur le cours des événements, mais décidé à faire de son mieux et jamais à court d’optimisme.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Rythmé, le récit ne souffre que d'une poignée de scènes longuettes. Franco, électron libre de la fiction américaine, capable du meilleur comme du pire, s'en sort bien. Il navigue élégamment entre l'humour et la romance, dans un registre classique du gars "pas à sa place", qui ne se sent pas l'âme d'un héros.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Brian Lowry
Le résultat de cette mini-série en 8 parties est un tout inégal, avançant par moment sur une voie sinueuse jusqu’à un point frénétique – comme un épisode étiré de Twilight Zone, malaxé et essoré de façon à en obtenir plus, tout en cherchant à inventer des règles en avançant.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Monde
par Pierre Serisier
Au bout d’une heure et demie que dure le premier épisode de 11.22.63, on est presque épuisé par le rythme poussif, par le jeu maladroit de James Franco et par les obsessions de J.J. Abrams qui n’en finit pas de tourner à rond créativement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Washington Post
Le travail de Stephen King ne voyage pas toujours joyeusement vers les antennes de télévision, mais Hulu marque des points avec une adaptation de 11.22.63 en 8 parties impressionnante et courageuse.
Hitfix
Même s’il n’y pas assez de scènes avec Jodie pour procurer davantage d’émotion à cette intrigue policière, la dernière heure de cette mini-série est très intense, et à vrai dire même meilleure que certains aspects du livre.
L'Obs
La série concentre tous les éléments propres au fantasme télévisuel parfait: une narration au long cours dans un monde codifié (les années 1960 et les faits historiques connus du public), le suspense d’une révélation (le mystère de l’assassinat de Kennedy ayant inauguré l’ère complotiste dans laquelle nous naviguons encore aujourd’hui) et un acteur solide pour tenir sur ses épaules le développement de l’intrigue.
The Hollywood Reporter
Quasiment toute la réussite de 11.22.63 provient de la capacité de Franco à faire passer un concept de bizarre à réaliste, grâce à la grande aide de Cooper, qui est complémentaire à Franco dans les premiers épisodes (et les flashbacks) et donne à cette série cette part nécessaire de crédibilité.
Wall Street Journal
Cette série en 8 parties, basée sur une nouvelle de Stephen King et adaptée pour la télévision par Bridget Carpenter, est remplie de petits et un peu moins petits problèmes de compréhension. Mais il y a sans conteste un attrait fort, en grande partie dû à ce méticuleux travail de reconstitution du début des années 60.
Le Point
Les épisodes se regardent d'un trait, avec en prime de bons acteurs dont on n'a pour la plupart pas déjà vu le visage mille fois (...) la meilleure adaptation sur petit écran de Stephen King, à des années-lumière des désastres Under the Dome et Dead Zone.
Time
8 épisodes, ici, c’est trop. La série s’embarque sur plusieurs fausses pistes avant d’enfin atteindre le lieu du crime. Mais ses meilleurs moments sont ceux pendant lesquels la tension pointe le bout de son nez, de même que ceux pendant lesquels le passé se rebelle contre notre héros, pour essayer de le rebuter.
Télé Loisirs
Fidèle en cela à Stephen King, la série préfère les histoires à l’Histoire (...) James Franco, sourire désarmant, incarne à la perfection le simple quidam, mal équipé pour influer sur le cours des événements, mais décidé à faire de son mieux et jamais à court d’optimisme.
Télérama
Rythmé, le récit ne souffre que d'une poignée de scènes longuettes. Franco, électron libre de la fiction américaine, capable du meilleur comme du pire, s'en sort bien. Il navigue élégamment entre l'humour et la romance, dans un registre classique du gars "pas à sa place", qui ne se sent pas l'âme d'un héros.
Variety
Le résultat de cette mini-série en 8 parties est un tout inégal, avançant par moment sur une voie sinueuse jusqu’à un point frénétique – comme un épisode étiré de Twilight Zone, malaxé et essoré de façon à en obtenir plus, tout en cherchant à inventer des règles en avançant.
Le Monde
Au bout d’une heure et demie que dure le premier épisode de 11.22.63, on est presque épuisé par le rythme poussif, par le jeu maladroit de James Franco et par les obsessions de J.J. Abrams qui n’en finit pas de tourner à rond créativement.