Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
The A.V. Club
par Erik Adams
Love transmet l'honnêteté visée par ses créateurs, ne serait-ce que pour la façon crédible dont elle rassemble Gus et Mickey à travers le temps, l'espace et leurs propres insécurités. Consacrez du temps à Love, et ce temps sera récompensé.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Hitfix
par Alan Sepinwall
Apatow, Arfin et Rust font un bon travail en équilibrant la relation, et en exploitant la grande alchimie entre Rust et Jacobs.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Uncle Barky
par Ed Bark
Où que Gus et Mickey aille, ce long voyage en vaut la peine. Love possède plusieurs axes. Mais ses côtés tour à tour lisses et aiguisés maintiennent [la série] dans un sillon.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Blabla-Séries
par Julien Dufresne-Lamy
La série reprend là où Hello Ladies s'était malheureusement arrêtée sur HBO. Quand le célibataire ringard parvient enfin à conquérir la jeune fille populaire. Sauf qu'entre Hello Ladies et Love, il y a un monde. Pas de cruauté chez Love, de cynisme féroce, de désenchantement acharné, seulement cette peur tenace de l'engagement que l'on retrouve formidablement dans Girls.
La critique complète est disponible sur le site Blabla-Séries
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Aucun des thèmes courants de cette série ne fonctionnerait sans le couple idéal en son sein, et Rust et Jacobs s'en tirent merveilleusement bien. Ils font preuve d'une énorme alchimie en dépit de leurs différences superficielles.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Libération
par Clélia Cohen
La série est plutôt une sorte de suite possible à Freaks and Geeks, la chronique des années lycée jadis conçue par le réalisateur de Crazy Amy avec Paul Feig (…) plutôt qu’une série sur l’Amour, Love est surtout une longue (et drôle) variation sur l’attente amoureuse, la vraie, celle qui vous fait regarder votre portable à la moindre vibration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
New York Times
par James Poniewozik
Love est une version drôle et victorieuse du format, et le casting est au diapason. La Mickey de Gillian Jacobs dégage une mélancholie épineuse, comme une version plus naturaliste de la Britta de Community. Paul Rust est bien casté dans le rôle du nerd connaisseur.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Time
par Daniel D'Addario
Avec un sens de l'observation aiguisé, la série nous emmène à travers le processus familier qui consiste à apprendre à connaître quelqu'un.
La critique complète est disponible sur le site Time
GQ
par Toma Clarac
Dans la lumière un peu carbonisée de LA, les trajets incessants irriguent l’intrigue d’une douce absurdité. L'absurdité du sentiment amoureux-même, et de son cours fluctuant.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Igor Hansen-Love
Il est touchant mais ordinaire, elle est drôle mais égoïste. Rarement la rencontre amoureuse a été filmée avec une telle honnêteté.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Newsday
par Verne Gay
Une comédie amusante qui prend le temps de s'échauffer.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Paris Match
par Amandine Bourgoin
Si le duo Gillian Jacobs/Paul Rust fonctionne parfaitement dans les meilleurs moments comme les pires, les personnages sont plus captivants lorsqu'ils sont chacun de leur côté (…) Ils se dévoilent sans filtre, sont capables d'évoluer indépendamment de l'autre nous permettant de faire une pause de cette relation parfois étouffante et frustrante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Philadelphia Daily News
par Ellen Gray
Love n'atteint pas les sommets comique de You're the Worst mais fait preuve d'humour, la plupart du temps assuré par Claudia O'Doherty (Crazy Amy) dans le rôle de la colocatrice australienne de Mickey.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Daily News
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Il y a quelques moments de complaisance du côté des scénaristes (...) mais rien qui ne blesse sérieusement la série (...) Jacobs et Rust sont si bons qu'ils vous rendent indifférente au fait que Love soit un autre show incestueusement situé dans l'industrie du divertissement.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
The Detroit News
par Adam Graham
Comme Master of None, Love privilégie les observations d'une romance moderne aux rires francs. [La série] ne suit pas le rythme habituel de la télévision (...) mais il y a des moments où l'on a envie de lui dire d'avancer.
La critique complète est disponible sur le site The Detroit News
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
La majorité de Love ne paraît pas nouvelle, mais c'est sérieux et si l'on part du fait qu'une douzaine de séries fait les mêmes choix et que vous parvenez à vous attacher aux plus irrititables, mais réalistes des personnages, il y a beaucoup à apprécier, voire aimer.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
The Wrap
par Tim Grierson
Les épisodes suivants [le pilote] s'embourbent dans des sous-intrigues qui paraissent destinées à garder les personnages séparés, et il n'y a peut-être pas de révélations majeures sur les relations amoureuses des trentenaires dans la série. Mais les mésaventures modestes et hésitantes de Love sont charmantes à leur façon.
La critique complète est disponible sur le site The Wrap
Télérama
par Pierre Langlais
Love est une cousine, un poil plus optimiste, de Girls. Avec une nuance de poids : il n'est plus question ici de vingtenaires qui se cherchent, mais de trentenaires qui en ont vu d'autres (…) et c'est quand Love touche à tout ce qui n'est, justement, pas exactement de l'amour, qu'elle excelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Vulture
par Margaret Lyons
La réalisation est impeccable et la série incroyablement immersive. Son étrangeté peut être virulente, et lorsque ses personnages sont sur le point de basculer dans la véritable introspection, on peut voir le potentiel rayonnant au sein du show (...) Mais contrairement à ses camarades, Love ne donne pas l'impression d'avoir beaucoup de choses à dire.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Boston Herald
par Mark A. Perigard
Love est tout ce que vous pouvez attendre de Judd Apatow - lascif, rude, rustre et gonflé avec des blagues sur la drogue, des gags sur le sexe et sans doute plus de 'Fuck' que dans n'importe quelle autre série... Pendant ses dix épisodes, Love prend le temps de mettre ses deux personnages principaux ensemble, ce qui est bien.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
C'est parfaitement appréciable sans être excessivement mémorable. La comédie de Love repose beaucoup trop sur des situations de sitcom.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
TV Guide
par Matt Roush
C'est parfait pour du binge-watching, car il faut du temps pour que cette histoire de contraires qui s'attirent n'avance.
Variety
par Brian Lowry
Bien qu'il ait été assez facile, et plutôt agréable, d'enchaîner les dix épisodes (...), il paraît compliqué de faire preuve de beaucoup d'enthousiasme à l'idée de consacrer deux heures de plus - et encore moins cinq - à voir où ce conte moderne de "Quand Gus rencontre Mickey" va à partir de là, maintenant que nous avons vu la longue introduction de leur histoire.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Monde
par Pierre Serisier
Love, nouvelle série de Netflix, est une énième déclinaison de ce phénomène générationnel que Lena Dunham a épuisé en une ou deux saisons avec Girls (…) On a d'abord envie de les plaindre. Et après réflexion, on préfère les abandonner à leur sort. Ils le valent bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
The A.V. Club
Love transmet l'honnêteté visée par ses créateurs, ne serait-ce que pour la façon crédible dont elle rassemble Gus et Mickey à travers le temps, l'espace et leurs propres insécurités. Consacrez du temps à Love, et ce temps sera récompensé.
Hitfix
Apatow, Arfin et Rust font un bon travail en équilibrant la relation, et en exploitant la grande alchimie entre Rust et Jacobs.
Uncle Barky
Où que Gus et Mickey aille, ce long voyage en vaut la peine. Love possède plusieurs axes. Mais ses côtés tour à tour lisses et aiguisés maintiennent [la série] dans un sillon.
Blabla-Séries
La série reprend là où Hello Ladies s'était malheureusement arrêtée sur HBO. Quand le célibataire ringard parvient enfin à conquérir la jeune fille populaire. Sauf qu'entre Hello Ladies et Love, il y a un monde. Pas de cruauté chez Love, de cynisme féroce, de désenchantement acharné, seulement cette peur tenace de l'engagement que l'on retrouve formidablement dans Girls.
Boston Globe
Aucun des thèmes courants de cette série ne fonctionnerait sans le couple idéal en son sein, et Rust et Jacobs s'en tirent merveilleusement bien. Ils font preuve d'une énorme alchimie en dépit de leurs différences superficielles.
Libération
La série est plutôt une sorte de suite possible à Freaks and Geeks, la chronique des années lycée jadis conçue par le réalisateur de Crazy Amy avec Paul Feig (…) plutôt qu’une série sur l’Amour, Love est surtout une longue (et drôle) variation sur l’attente amoureuse, la vraie, celle qui vous fait regarder votre portable à la moindre vibration.
New York Times
Love est une version drôle et victorieuse du format, et le casting est au diapason. La Mickey de Gillian Jacobs dégage une mélancholie épineuse, comme une version plus naturaliste de la Britta de Community. Paul Rust est bien casté dans le rôle du nerd connaisseur.
Time
Avec un sens de l'observation aiguisé, la série nous emmène à travers le processus familier qui consiste à apprendre à connaître quelqu'un.
GQ
Dans la lumière un peu carbonisée de LA, les trajets incessants irriguent l’intrigue d’une douce absurdité. L'absurdité du sentiment amoureux-même, et de son cours fluctuant.
L'Express
Il est touchant mais ordinaire, elle est drôle mais égoïste. Rarement la rencontre amoureuse a été filmée avec une telle honnêteté.
Newsday
Une comédie amusante qui prend le temps de s'échauffer.
Paris Match
Si le duo Gillian Jacobs/Paul Rust fonctionne parfaitement dans les meilleurs moments comme les pires, les personnages sont plus captivants lorsqu'ils sont chacun de leur côté (…) Ils se dévoilent sans filtre, sont capables d'évoluer indépendamment de l'autre nous permettant de faire une pause de cette relation parfois étouffante et frustrante.
Philadelphia Daily News
Love n'atteint pas les sommets comique de You're the Worst mais fait preuve d'humour, la plupart du temps assuré par Claudia O'Doherty (Crazy Amy) dans le rôle de la colocatrice australienne de Mickey.
San Francisco Chronicle
Il y a quelques moments de complaisance du côté des scénaristes (...) mais rien qui ne blesse sérieusement la série (...) Jacobs et Rust sont si bons qu'ils vous rendent indifférente au fait que Love soit un autre show incestueusement situé dans l'industrie du divertissement.
The Detroit News
Comme Master of None, Love privilégie les observations d'une romance moderne aux rires francs. [La série] ne suit pas le rythme habituel de la télévision (...) mais il y a des moments où l'on a envie de lui dire d'avancer.
The Hollywood Reporter
La majorité de Love ne paraît pas nouvelle, mais c'est sérieux et si l'on part du fait qu'une douzaine de séries fait les mêmes choix et que vous parvenez à vous attacher aux plus irrititables, mais réalistes des personnages, il y a beaucoup à apprécier, voire aimer.
The Wrap
Les épisodes suivants [le pilote] s'embourbent dans des sous-intrigues qui paraissent destinées à garder les personnages séparés, et il n'y a peut-être pas de révélations majeures sur les relations amoureuses des trentenaires dans la série. Mais les mésaventures modestes et hésitantes de Love sont charmantes à leur façon.
Télérama
Love est une cousine, un poil plus optimiste, de Girls. Avec une nuance de poids : il n'est plus question ici de vingtenaires qui se cherchent, mais de trentenaires qui en ont vu d'autres (…) et c'est quand Love touche à tout ce qui n'est, justement, pas exactement de l'amour, qu'elle excelle.
Vulture
La réalisation est impeccable et la série incroyablement immersive. Son étrangeté peut être virulente, et lorsque ses personnages sont sur le point de basculer dans la véritable introspection, on peut voir le potentiel rayonnant au sein du show (...) Mais contrairement à ses camarades, Love ne donne pas l'impression d'avoir beaucoup de choses à dire.
Boston Herald
Love est tout ce que vous pouvez attendre de Judd Apatow - lascif, rude, rustre et gonflé avec des blagues sur la drogue, des gags sur le sexe et sans doute plus de 'Fuck' que dans n'importe quelle autre série... Pendant ses dix épisodes, Love prend le temps de mettre ses deux personnages principaux ensemble, ce qui est bien.
RogerEbert.com
C'est parfaitement appréciable sans être excessivement mémorable. La comédie de Love repose beaucoup trop sur des situations de sitcom.
TV Guide
C'est parfait pour du binge-watching, car il faut du temps pour que cette histoire de contraires qui s'attirent n'avance.
Variety
Bien qu'il ait été assez facile, et plutôt agréable, d'enchaîner les dix épisodes (...), il paraît compliqué de faire preuve de beaucoup d'enthousiasme à l'idée de consacrer deux heures de plus - et encore moins cinq - à voir où ce conte moderne de "Quand Gus rencontre Mickey" va à partir de là, maintenant que nous avons vu la longue introduction de leur histoire.
Le Monde
Love, nouvelle série de Netflix, est une énième déclinaison de ce phénomène générationnel que Lena Dunham a épuisé en une ou deux saisons avec Girls (…) On a d'abord envie de les plaindre. Et après réflexion, on préfère les abandonner à leur sort. Ils le valent bien.