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Highmore incarne le rôle principal à la quasi-perfection. (...). L'histoire offre de nombreuses possibilités, sur plusieurs plans, dans ce qui est certainement le meilleur drama médical d'un network depuis Hugh Laurie et son House.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
C'est l'émotion qui fait avancer l'histoire. Le visage et l'attitude de Highmore. La foi de Schiff et le poids moral. La curiosité et la générosité de Thomas. C'est ce qui distingue [The Good Doctor] de House.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Les retours sur le passé tragique de Shaun semblent s'appuyer sur de grosses ficelles scénaristiques (...) et c'est un soulagement lorsque se dessine l'aspect du show plus proche de Grey's Anatomy, avec la jeune médecin incarnée par Antonia Thomas, ambitieuse et empathique, et le chirurgien à l'inverse assez antipathique campé par Nicholas Gonzalez.
The Good Doctor ne prend pas de pincettes en matière de manipulation émotionnelle, allant jusqu'à invoquer un lapin mort. On essaie de résister à l'appel des violons, mais aussi poussive soit la série, sortez vos mouchoirs (...).
The Good Doctor s'efforce d'équilibrer le ton. Dans sa volonté de faire en sorte que Shaun ne soit pas le dindon de la farce, The Good Doctor va trop loin dans les bons sentiments. (...) Toutefois, on entrevoit dans le pilote les germes d'un projet engageant.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Le problème de The Good Doctor, c'est de ne pas faire assez confiances aux qualités de jeu et à la subtilité de Freddie Highmore. Tout le reste du show est grossier et simpliste, comme s'il fallait vraiment que le spectateur s'attache à Shaun coûte que coûte.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Uncle Barky
Highmore incarne le rôle principal à la quasi-perfection. (...). L'histoire offre de nombreuses possibilités, sur plusieurs plans, dans ce qui est certainement le meilleur drama médical d'un network depuis Hugh Laurie et son House.
Newsday
C'est l'émotion qui fait avancer l'histoire. Le visage et l'attitude de Highmore. La foi de Schiff et le poids moral. La curiosité et la générosité de Thomas. C'est ce qui distingue [The Good Doctor] de House.
Entertainment weekly
Les retours sur le passé tragique de Shaun semblent s'appuyer sur de grosses ficelles scénaristiques (...) et c'est un soulagement lorsque se dessine l'aspect du show plus proche de Grey's Anatomy, avec la jeune médecin incarnée par Antonia Thomas, ambitieuse et empathique, et le chirurgien à l'inverse assez antipathique campé par Nicholas Gonzalez.
Los Angeles Times
The Good Doctor démarre fort.
Pittsburg Post-Gazette
Chaque fois que M. Highmore est à l'écran, The Good Doctor convainc, mais il est entouré de personnages et d'intrigues médicales trop standard.
San Francisco Chronicle
The Good Doctor ne prend pas de pincettes en matière de manipulation émotionnelle, allant jusqu'à invoquer un lapin mort. On essaie de résister à l'appel des violons, mais aussi poussive soit la série, sortez vos mouchoirs (...).
USA Today
The Good Doctor s'efforce d'équilibrer le ton. Dans sa volonté de faire en sorte que Shaun ne soit pas le dindon de la farce, The Good Doctor va trop loin dans les bons sentiments. (...) Toutefois, on entrevoit dans le pilote les germes d'un projet engageant.
Variety
Le problème de The Good Doctor, c'est de ne pas faire assez confiances aux qualités de jeu et à la subtilité de Freddie Highmore. Tout le reste du show est grossier et simpliste, comme s'il fallait vraiment que le spectateur s'attache à Shaun coûte que coûte.
Collider
Pour une série qui veut que l'on respecte l'intelligence de Shaun, The Good Doctor a vraiment peu de respect pour l'intelligence des téléspectateurs.