Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Marseille n'est ni une catastrophe, ni un scandale, et encore moins une merveille. C'est une série d'une banalité totale. (...) Avec son intrigue cousue de fil blanc, très (trop) lisible et archétypale, Marseille se regarde sans déplaisir. Le programme se déroule selon un cahier des charges dans l'air du temps, avec ses politiciens véreux, ses personnages cyniques, ses quelques scènes de sexe et sa noirceur ostentatoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Nicolas Robert
Lorgnant ostensiblement du côté du drame familial, la série créée par Dan Franck court après de nobles intentions sans se donner les moyens narratifs de les concrétiser.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Constance Jamet
Considérée comme la série la plus attendue de l’année, Marseille peut concourir pour la palme du plus gros rendez-vous manqué de 2016. Le synopsis décrivait une "course à la mairie, une lutte de pouvoir où tous les coups sont permis" avec Dan Franck (Les Hommes de l’ombre) à l’écriture. On se prenait à rêver d’un House of Cards à la française, d’un Baron noir du Sud. On déchante face à un Dallas phocéen érotico-démodé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Amandine Bourgoin
A aucun moment cette plongée dans la violence et les trafics ne nourrit ou étoffe l'intrigue. Marseille et ses vices servent uniquement d'arrière-plan à une histoire aussi profonde qu'un verre de pastis.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Philippe Guedj
La mayonnaise ne prend pas, le bateau Marseille prend l’eau de toute part. Plombée par une écriture fantoche, un excès de mélodrame et des acteurs en roue libre, la série a bien du mal à colmater les brèches de ses dialogues par ses mouvements de caméra rutilants et quelques plans spectaculaires signés Siri.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
20 Minutes
par Annabelle Laurent
Soap, magouilles et cocktails Molotov, la série joue sur tous les tableaux : pourquoi pas, après tout. Le problème, ce sont d’abord ces dialogues explicatifs ou entendus cent fois (…) Mais aussi l’interprétation si peu flatteuse du duo de tête, Depardieu en "gentil" finalement sans relief mais surtout Magimel, souvent ridicule.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Entre trahisons, complots, alliances, mésalliances et trafics, la série se contente de scanner les clichés du polar politique. Elle ajoute un soupçon d’accent local raté, une dose de soleil brûlant, le tout arrosé d’un sexisme de base parfaitement vulgaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Jean-Michel Selva
De la part d’un scénariste de l’envergure de Dan Franck, on pouvait aussi s’attendre à mieux. L’histoire est d’une grande banalité, et son déroulement est cousu de fil blanc. Quant aux dialogues, ils sont d’une pauvreté rare.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Le Monde
par Pierre Sérisier
En fait, la grande faiblesse de Marseille est que cette série ne sait pas ce qu'elle veut être. Au fil des épisodes, elle donne le sentiment de ne pas vouloir être une série, sans parvenir à devenir autre chose.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Langlais
Le résultat, loin d'être la claque espérée, très loin d'annoncer une révolution du PAF, est plus qu'une déception. C'est une débandade artistique, un raté industriel pour Netflix, sans doute son premier navet "maison", qu'on découvre d'abord surpris, puis consterné, enfin hilare face à la pauvreté de son scénario, l'indigence de ses dialogues, la lourdeur de sa mise en scène et la faiblesse de son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Marseille n'est ni une catastrophe, ni un scandale, et encore moins une merveille. C'est une série d'une banalité totale. (...) Avec son intrigue cousue de fil blanc, très (trop) lisible et archétypale, Marseille se regarde sans déplaisir. Le programme se déroule selon un cahier des charges dans l'air du temps, avec ses politiciens véreux, ses personnages cyniques, ses quelques scènes de sexe et sa noirceur ostentatoire.
L'Express
Lorgnant ostensiblement du côté du drame familial, la série créée par Dan Franck court après de nobles intentions sans se donner les moyens narratifs de les concrétiser.
Le Figaro
Considérée comme la série la plus attendue de l’année, Marseille peut concourir pour la palme du plus gros rendez-vous manqué de 2016. Le synopsis décrivait une "course à la mairie, une lutte de pouvoir où tous les coups sont permis" avec Dan Franck (Les Hommes de l’ombre) à l’écriture. On se prenait à rêver d’un House of Cards à la française, d’un Baron noir du Sud. On déchante face à un Dallas phocéen érotico-démodé.
Paris Match
A aucun moment cette plongée dans la violence et les trafics ne nourrit ou étoffe l'intrigue. Marseille et ses vices servent uniquement d'arrière-plan à une histoire aussi profonde qu'un verre de pastis.
Télé Loisirs
La mayonnaise ne prend pas, le bateau Marseille prend l’eau de toute part. Plombée par une écriture fantoche, un excès de mélodrame et des acteurs en roue libre, la série a bien du mal à colmater les brèches de ses dialogues par ses mouvements de caméra rutilants et quelques plans spectaculaires signés Siri.
20 Minutes
Soap, magouilles et cocktails Molotov, la série joue sur tous les tableaux : pourquoi pas, après tout. Le problème, ce sont d’abord ces dialogues explicatifs ou entendus cent fois (…) Mais aussi l’interprétation si peu flatteuse du duo de tête, Depardieu en "gentil" finalement sans relief mais surtout Magimel, souvent ridicule.
Les Inrockuptibles
Entre trahisons, complots, alliances, mésalliances et trafics, la série se contente de scanner les clichés du polar politique. Elle ajoute un soupçon d’accent local raté, une dose de soleil brûlant, le tout arrosé d’un sexisme de base parfaitement vulgaire.
Ouest France
De la part d’un scénariste de l’envergure de Dan Franck, on pouvait aussi s’attendre à mieux. L’histoire est d’une grande banalité, et son déroulement est cousu de fil blanc. Quant aux dialogues, ils sont d’une pauvreté rare.
Le Monde
En fait, la grande faiblesse de Marseille est que cette série ne sait pas ce qu'elle veut être. Au fil des épisodes, elle donne le sentiment de ne pas vouloir être une série, sans parvenir à devenir autre chose.
Télérama
Le résultat, loin d'être la claque espérée, très loin d'annoncer une révolution du PAF, est plus qu'une déception. C'est une débandade artistique, un raté industriel pour Netflix, sans doute son premier navet "maison", qu'on découvre d'abord surpris, puis consterné, enfin hilare face à la pauvreté de son scénario, l'indigence de ses dialogues, la lourdeur de sa mise en scène et la faiblesse de son interprétation.