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    Mr. Robot
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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 28 juillet 2016
    J'ai même pas envie de me justifier. Cette série est magnifique, elle montre tout ce dont nous avons besoin. Ce n'est pas la premiere fois que je la note d'ailleurs. Le bemol je crois c'est qu'un épisode oar semaine ça peut faire défaut à la série, j'ai regardé la saison 1 d'un trait du coup l'adrénaline était bien là, mais là en une semaine on a le temps de se perdre un peu. Voilà. Smail, merci
    gunbuster
    gunbuster

    387 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 9 septembre 2015
    Nous voici avec une série qui s'écarte très librement des chemins battus par les séries américaines.
    La série se permet d'aborder avec justesse de nombreux thèmes fort, dont le hacking, la solitude des sociétés technologiques, la drogue, le monde de l'entreprise, la dette monétaire et des réflexions sur le sens de la vie et de la place de l'individu dans la société.
    Ne vous inquiétez pas, vous ne serez pas totalement dépaysé. La série reprends les codes des thrillers à tiroir, où chaque épisode finit sur un cliffhanger.
    Car c'est l'une de ses qualités, la série est mise en scène uniquement du point de vue du personnage principal , Elliot. Et comme pour l'excellent Fenêtre Secrète, on comprends au fur et à mesure que ce qu'il voit n'est pas forcément la réalité, mais une vision déformée de la réalité, son psyché réinterprétant une partie des évènements.
    Les acteurs sont justes, même le désespérant Christian Slater arrive à nous convaincre, enfin!
    Le scénario réussit toujours à nous surprendre, à justifier les très nombreux rebondissement de l'intrigue, tout en abordant l'histoire personnelle d'Elliot et d'Angela, et en restant crédible. L'univers de l'informatique et de la sécurité logicielle est plausible (on est loin du nullissime Hackers de 1995).
    La mise en scène surprends, on est à des années-lumières des drama feuilletonnant. La réalisation rappelant la direction artistique britannique, tout en ayant cette touche de modernité et de réalisme, ici, avec pour décor la ville de New York, bien loin des sites touristiques.
    Une série de qualité, qui sort de l'ordinaire et nous laisse en suspens après son final. À l'année prochaine pour la suite.
    gunbuster
    gunbuster

    387 abonnés 1 626 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2016
    Cette seconde saison reprends là où la précédente s'arrêtait subitement mais pas tout à fait.
    Si le quotidien d'Elliot et la continuité de Fsociety donne le sentiment que les personnages et le Monde tente de s'en remettre. Il s'agit d'une illusion entretenue la première moitié de la série.
    Et le choc vient lorsque l'on comprend qu'on nous a berné depuis le début, et que les apparences sont trompeuses.
    L'une des intrigues en sommeil pendant la saison qui prend de l'ampleur dans le final est la partie enquête du FBI menée par l'enquêtrice retors et bourreau du travail Dom' DiPierro (Grace Summer).
    Le show garde toujours des cartes en main, et nous laisse pantois sur le sort des personnages, quand ils réapparaissent de manière décontractée, en décalage total avec la tension et l'évocation de leur disparition forcée.
    Le talent et l'audace du showrunner se remarquent par le fait qu'il a le luxe de faire des allers et retours entre les différentes intrigues tout en gardant une cohérence d'ensemble, sans jamais s'appesantir sur la situation d'un personnage ou les conséquences d'une décision, et qu'il est capable de manipuler le public en faisant une mise en scène focalisée qui joue avec ce que vont imaginer les téléspectateurs.
    Les personnages, de cette histoire réaliste et folle, marquent par la qualité de leur jeu d'acteur et leur richesse psychologique :
    Mention à Portia Doubleday dans son rôle glaçant d'Angela Moss, incarnation de la cadre de grande entreprise déshumanisée à l'extrême,
    Michael Cristofer en génial PDG manipulateur et corrompu Phillip Price, à l'égo démesuré et capable de manipuler sans effort le gouvernement américain, les médias et la population,
    ou la performance hallucinante de BD Wong alias l'inclassable Whiterose, travesti, chef de la Dark Army et marionnettiste tirant les ficelles en coulisses.
    Et comme pour la première saison, celle-ci s'achève brutalement sur de nombreuses révélations, qui seront au centre de la prochaine saison.
    NB : le show atteint sa place au panthéon des séries TV dans l'épisode 6, quand il rend un hommage absurde et à mourir de rires aux sitcoms des années 80.
    halou
    halou

    118 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 1 novembre 2020
    Une série complexe, scénaristiquement touffue, avec des personnages charismatiques et un univers sombre et original. L'acteur principal campe à merveille son personnage trituré avec sa voix off narrative apportant beaucoup pour le spectateur. L'atmosphère sombre et complotiste mêlée à une écriture complexe au niveau scénario en fait une série passionnante sans tomber dans certaines facilités et stéréotypes.
    Toto INF
    Toto INF

    36 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 20 août 2016
    Une série vraiment très surprenante, tant dans sa construction que dans les thèmes abordés. Cette série aura eu le mérite de me faire pas mal cogiter, mais d'une manière très viscérale. Prenant pour thème le hacking, mais développant des thématiques comme la société capitaliste dans ses plus grandes limites, ainsi que la psychologie au sens large du terme, la série a le mérite d'être original à souhait. Nul part ailleurs vous serez happez dans un tel univers. Un vrai plaisir de découvrir cette série montante, et qui ne prend pas son spectateur pour un débile. Concernant le plan technique, le scénario est en béton armé, étudié, riche, soigné, intelligent, réflexif. La bande son est très bonne, stylé tout en étant classe et intégrée au récit. Les jeux de lumières, de caméra, et de mise en scènes sont très bien étudiés et intégrées à l'image, et enfin les personnages sont, peu être un peu cliché, encore que plus original que bon nombre d'autre séries, et leur développement a déjà été vu ailleurs, notamment dans des classiques du cinéma, mais ils suffisent à servir le propos de l'histoire et nous donner envie de les suivre dans cette dernière. Bref, Mr.Robot est une série au top, à regarder plus que n'importe quoi d'autre en ce moment.
    Unc-Scrooge
    Unc-Scrooge

    51 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 30 janvier 2016
    Grand vainqueur des derniers Golden Globes Séries, Mr.Robot est en effet une petite pépite qui propulse un nouvel acteur du marché des séries US (Amazon) directement dans la cours des plus grands. Et pourtant, ici, pas de débauches d’effets spéciaux ou de costumes, pire encore, une histoire de hacker dans la big apple qui a de quoi faire douter pas mal le spectateur. Et pourtant, malgré des épisodes 2 et 3 un ton en dessous, Mr Robot est une petit pépite de la télévision, porté par un énorme Rami malek, habilement monté et bénéficiant d’une bande sonore prenant vraiment aux tripes. Surtout, Mr Robot, par delà son histoire moderne, amène à une réflexion profonde sur la société moderne et la crise financière. Bref, à voir de toute urgence
    DJchedar
    DJchedar

    13 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 15 août 2018
    Une purge, j'ai fini par regardé jusqu'au bout par curiosité malsaine, pour mesurer la profondeur d'incohérence, de cliché, que pouvait comporter le scénario. Les clichés passent encore: c'est la base les méchants parce qu'ils sont méchant et ils ont beaucoup d'argent parce qu'ils ont beaucoup d'argent, ils savent ce que le héro va faire 8 épisodes à l'avance....
    Là ou ca devient innommable c'est à partir du 2eme épisodes, 4 twist par épisodes sensés être scotchant mais qui tiennent plus du mauvais théâtre de boulevard genre on apprend que le chat de la voisine était en faite l'héritière de la tante du héros ou bien le héro retrouve ses photo de ses vacance au club Marmara alors qu'il pensait avoir été au club med.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 juillet 2015
    Un série prenante, un personnage très intéressant et très bien développé, un plot qui soulève une situation toujours plus d'actualité, cette série est parfaite pour tous les amateur de bon travail à l'écran.
    Je la recommande vivement.
    StiPaN
    StiPaN

    2 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    0,5
    Publiée le 11 octobre 2016
    Pour faire court cette saison est à l'opposée de ce qu'était la 1er. C'est lent, la trame est sans intérêt et on tourne en rond sans avoir la moindre envie de poursuivre les épisodes suivants alors on se force. Pour moi l'aventure s'arrête ici!
    Jiminou76
    Jiminou76

    6 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 3
    4,5
    Publiée le 29 décembre 2017
    La série décide de remettre Eliott et son entourage au centre des événements. Evidemment, ce côté "messie" peut énerver, mais c'est retrouver des personnages superbement écrits qu'on avaient appris à tant apprécier lors de la saison 1. De plus la série est bien plus claire dans son propos et permet de lier définitivement l'intrigue : spoiler: Eliott voulait une révolution économique mais en difficulté lors de la saison 1 il contacte la Dark Army et son formidable réseau - pouvoir de frappe. Derrière la Dark Army se cache en réalité la Chine qui cherche à redorer son économie tout en brisant le directeur d'E Corp dont l'insolence avait vexé Whiterose. E corp survit grâce à l'E coin, monnaie virtuelle ayant permis de stopper l'inflation du dollars en faisant pression sur le gouvernement US et en recevant un important fond monétaire de la Chine. En échange de cette remise à flot, les USA ne contraient un vote à l'ONU permettant l'annexion économique du Congo par la Chine. Il ne reste plus qu'à Whiterose à arranger la délocalisation de la fameuse centrale implantée aux USA ayant coûté la vie aux parents d'Eliott ou Angela. Son importance reste un mystère. Eliott voit sa schyzophrénie empirer. Mr Robot a prévu une 2eme étape au plan d'attaque contre E Corp : la destruction des archives papiers. Il fait centraliser les dossiers dans un même batiment qu'il souhaite faire sauter. Eliott refuse de tuer qui que ce soit et s'y oppose. Ce combat pour éviter l'explosion du batiment masque la réalité de Dark Army qui fait sauter de nombreux batiments d'E Corp. De là Mr Robot refait équipe avec Eliott suite à cette tromperie. Angela, qui oeuvrait avec Mr Robot car fascinée par Whiterose et sa promesse de pouvoir faire comme si la mort de sa mère ne s'était jamais produite. Angela, consciente du nombre de mort qu'à entrainé son acte, glisse doucement vers la folie. Une folie que la révélation finale, le fait que Price soit son père, n'arrange pas mais explique son obsession pour elle dès la première rencontre. Pour finir, la Dark Army doit empêcher Eliott de restaurer les fichiers d'E Corp. Celui ci y tient pour permettre aux USA de se reconstruire, et ainsi mieux se concentrer sur la destruction de l'E Coin et donc d'E Corp. Kidnappé avec sa soeur, il doit accepté de travailler avec la Dark Army sur le transfert de la centrale au Congo que Price cherche à ralentir pour s'en sortir vivant. Au final, Eliott et DiPierro travaillent désormais pour la Dark Army sans le souhaiter réelement, cette dernière prenant la place du patron du FBI éxécuté sur ordre de la Dark Army car trop raleur. Tyrell enfin, après avoir cherché à stopper l'attaque de l'étape 2 comprenant les implications, s'est livré au FBI. Blanchi après avoir donné des informations, il est réhabiliter à E Corp par Price, pour arrondir les angles avec la Dark Army qui a ainsi un nouveau pion bien placé dans l'entreprise. Mais Tyrell déteste désormais Price pour le ton condescendant qu'il a éternellement avec lui, refusant cette faiblesse avec la mort de sa femme, tuée par son nouveau petit ami. La Dark Army a fait éliminer deux anciens du groupe d'Eliott pour incriminer l'Iran (via un drapeau et un faux plan d'attaque sur le réseau aérien américian) et ainsi détourner l'attention de l'attaque du 2e plan.
    Au delà du scénario dense, la réalisation est superbe, entre un épisode - plan séquence (avec quelques raccords numériques) sur l'attaque d'un batiment et une interprétation d'Eliott schizophrène remarquable.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 1 juin 2015
    Très bonne surprise. Le sujet est intéressant, les acteurs sont justes, la mise en scène est prenante et l'intrigue nous donne envie d'enchaîner la saison d'une traite... dommage qu'il n'y ait qu'un épisode pour le moment! Gros succès en perspective!!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    4,5
    Publiée le 3 septembre 2015
    Excellent ! Une série que je n'avais pas vu venir, car très peu médiatisé. En plus d'être vraiment bien foutue, elle reste très accessible pour les néophytes en informatiques car les termes compliqués sont expliqués. Un joute psychologique, un peu à la façon de Fight Club (sans le sang, et les coups) dont la série ne se cache pas spoiler: avec notamment un clin d'oeil dans l'avant dernier épisode
    . En bref, une très bonne surprise pour cette saison 1 ! Je recommande vivement :).
    deelight
    deelight

    6 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2015
    Depuis le temps qu'on attendait un série (ou un film) où les scénaristes prendraient la peine de se documenter un peu ou de consulter de vrais experts en informatique pour créer une intrigue techniquement réaliste... Il a fallu patienter quelques décennies, mais c'est fait ! Enfin ! Espérons que Mr. Robot fera date et que le temps du charabia technique absurde au cinéma est définitivement révolu. Je suis encore pessimiste, mais il restera au moins Mr. Robot pour prouver que c'est possible !
    robinou20
    robinou20

    2 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 2 septembre 2015
    Très bonne série jusqu'à maintenant. J'espère que la suite confirmera ce beau succès estival, dans le genre "fight club". En tout les cas, beaucoup de dialogues c'est plaisant et intéressant.

    Après avoir vu la saison 1, je parlerait presque de chef d'oeuvre. Tout du moins, c'est la série de l'année 2015 pour ma part. Chaque épisode est détonnant, scénaristiquement parfait, dialogues sublimes.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 21 septembre 2015
    image

    12/09/2015 Bon je m’excuse rapidement de mon manque de contenu récent (vacances+rentrée obligent) pour arriver rapidement au vif du sujet, à savoir : MR. ROOOOOBOOOOOOOOOOT *applaudissement* . Je ne pense pas abuser quand je dis que depuis le jour de l’an, il n’y a pas meilleure série qui soit sortie. Déjà le pitch : Elliot, un jeune justicier asocial (et: bi/plus_encore.mp4) est contacté par un groupe de hackers nommé fsociety00.dat (les anonymous de la série quoi) afin de “sauver le monde” grossièrement.

    Résumé la série d’une telle sorte est à la limite de l’insolence tant l’intrigue est complexe et les personnages att4chants (ou pas),réalistes et surtout UNIQUES EN LEUR GENRE à un point rarement atteint. Quand on lance le pilote, on croit que c’est un pseudo-Watch Dogs ou Person of Interest, mais c’est loin d’en être le cas car l’influence principale de cette série est … Fight Club de Fincher. Que ce soit au niveau de l’intrigue - très, mais alors TRÈS FORTEMENT inspiré du film - ou au niveau de l’esthétique jaunâtre en passant par les cadres particuliers mais soigné avec un jeu sur les focus très intéressant, Sam Esmail (le showrunner) élève sa série au rang de produit esthétique cinématographique de qualité. Mais il y a deux choses que l’on retient au niveau de la forme : déjà, la voix off du personnage principale, on est dans sa tête, il interagit avec nous et cela donne lieu à des façons de mises en scènes inédites avec des effets de montages ultra dynamiques. Enfin, la B.O envoûtante, électrisante, lancinante, et addictive, dans le même style que le récent Ex Machina. J’espère vraiment qui vont diffuser la soundtrack par un moyen ou un autre parce qu’elle est dans mon top 5 de l’année série et film confondus (voire même plus).

    Il y a d’autres choses que j’adore au niveau de l’intrigue : déjà le rythme extrêmement soutenu comme quand on approche d’un Breaking Bad season finale. Ces situations ou les personnages sont pris dans des engrenages infernaux et cette frénésie qui se fait sentir chez le spectateur, autant dire que cela nous marque. Associez à tout cela, le fait que chaque épisode aborde un thème en particulier, c-à-d qu’ils sont chacun une oeuvre à part entière faisant parti d’un tout. Je vous rassure chaque épisode font énormément avancer l’intrigue, ce n’est pas du tout un truc à la Dr.House, Arrow et *insérer_série_policière_à_la_con* où dans chaque épisode on a un nouvel objectif, un nouvel ennemi et des nouveaux enjeux. Très loin de là. Une fois de plus, on à la des réflexions et thèmes propre à l’épisode que l’on regarde accompagné d’une problématique de fond que l’on a tout au long de la saison (que l’on binge watch, bien entendu). Parfaite transition pour m’attarder sur le fond.

    C’est une série qui remets en cause l’existence du capitalisme actuelle, pose différentes interrogations sur notre véritable place au sein de la société, l’âme humaine et sa complexité, ainsi que nos rapports avec les autres avec les nouvelles technologies et les réseaux sociaux, l’abrutissement des populations par les compagnies tout en passant par des petites choses comme la drogue, la solitude, la culpabilité, la dépression … Vous l’aurez compris, içi les questions graves et existentielles sont à l’honneur, du monde impitoyable des conglomérats d’hommes d’affaires et des entreprises, aux coulisses d’une révolution 2.0, vous en sortirez réfléchi et ému. En trois mots : Intimiste. Electrique. Intelligent. 18.5/20.

    20:41 : Je me suis renseigné et la série fait tellement dans les petits détails, que le vocabulaire technique d’informatique est bien accordé aux situations et ce que les persos font devants leurs écrans sont crédibles et pas juste du bidouillage sur clavier ou des termes à la va-vite “pour faire genre”.
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