Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Télé 7 Jours
par Adeline Quittot
France 2 signe ici une mini série de six épisodes de 52 minutes d'une qualité époustouflante. Des décors au scénario en passant par la bande son, tout est parfaitement ficelé pour nous faire plonger dans l'univers des années 60 où l'on distingue les prémices de l'émancipation de la femme. Mention spéciale pour le générique qui est un véritable bijou !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télé Loisirs
par Katia de la Ballina
Les six épisodes offrent une immersion captivante dans une époque en pleine mutation, portée par une distribution impeccable, Marie Guillain et Guillaume de Tonquédec en tête. Mention spéciale également à l’élégante mise en scène et à l’impressionnant travail sur les décors et les costumes : les tailleurs, les studios de la rue de la Cognac Jay, les voitures, le design intérieur… la reconstitution des sixties est bluffante.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Critictoo
par Thibaut
Au final, Speakerine mérite largement le coup d’œil. Elle se penche intelligemment sur une époque riche d’un point de vue politique tout en offrant un assez beau portrait de femme en pleine émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Elle
par Paul Sigognac
Aborder la libération de la femme et celle de l'info à travers l'histoire de Christine Beauval, star de la télé des années 1960, c'est le pari réussi de Speakerine. Une série thriller addictive !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ouest France
par Céline Martin
Même si on peut regretter une série de facture un peu trop classique, la chaîne évite l'odeur de naphtaline. Et puis, on aime l'ambiance sixties, soulignée par les petites touches cuivrées du trompettiste Erik Truffaz.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Franceinfo Culture
par Laure Narlian
Speakerine aborde le statut des femmes, un sujet brûlant, mais il s'agit aussi d'un thriller haletant. Deux raisons de la voir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Benoît Daragon
Cette série, qui met un peu de temps à démarrer, est aussi un intelligent plaidoyer féministe. (…) L’évolution des personnages féminins permet à Speakerine de ne pas rester une jolie carte postale vintage mais d’être bigrement d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Express
par Igor Hansen-Love
La liste des qualités de cette série est longue. Et puis, étrangement, à partir du quatrième épisode, le récit part en vrille. Complètement. On ne révélera rien ici mais l'intrigue principale est abandonnée au profit d'une autre, nettement moins intéressante et franchement moins crédible (…) Au terme du dernier épisode, l'ensemble donne l'impression d'être un peu bâclé. C'est dommage, ce feuilleton démarrait si bien. C'est même un peu énervant d'ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Anne Sogno
Une direction artistique qui s’inspire de façon appuyée de Mad Men, mais un pitch qui ne tient pas ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Cécile Jaurès
Récit d’une émancipation féminine, Speakerine aborde sans détour les problèmes politiques et sociétaux de l’époque : travail des femmes, avortement clandestin, télévision aux ordres du pouvoir, racisme policier, activisme meurtrier de l’OAS…Malheureusement, ces thèmes sont, pour la plupart, survolés ou dilués dans une intrigue policière peu consistante. Servis par une distribution inégale (avec Marie Gillain et Guillaume de Tonquédec dans le rôle du couple phare), les dialogues manquent d’humour et de piquant et la mise en scène de rythme pour élever la série à la hauteur de son modèle Mad Men, de Matthew Weiner, brillante évocation d’une agence de publicité dans le New York des années 1960.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Iris Brey
Une direction artistique qui s’inspire de façon appuyée de Mad Men, mais un pitch qui ne tient pas ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
France 2 signe ici une mini série de six épisodes de 52 minutes d'une qualité époustouflante. Des décors au scénario en passant par la bande son, tout est parfaitement ficelé pour nous faire plonger dans l'univers des années 60 où l'on distingue les prémices de l'émancipation de la femme. Mention spéciale pour le générique qui est un véritable bijou !
Télé Loisirs
Les six épisodes offrent une immersion captivante dans une époque en pleine mutation, portée par une distribution impeccable, Marie Guillain et Guillaume de Tonquédec en tête. Mention spéciale également à l’élégante mise en scène et à l’impressionnant travail sur les décors et les costumes : les tailleurs, les studios de la rue de la Cognac Jay, les voitures, le design intérieur… la reconstitution des sixties est bluffante.
Critictoo
Au final, Speakerine mérite largement le coup d’œil. Elle se penche intelligemment sur une époque riche d’un point de vue politique tout en offrant un assez beau portrait de femme en pleine émancipation.
Elle
Aborder la libération de la femme et celle de l'info à travers l'histoire de Christine Beauval, star de la télé des années 1960, c'est le pari réussi de Speakerine. Une série thriller addictive !
Ouest France
Même si on peut regretter une série de facture un peu trop classique, la chaîne évite l'odeur de naphtaline. Et puis, on aime l'ambiance sixties, soulignée par les petites touches cuivrées du trompettiste Erik Truffaz.
Franceinfo Culture
Speakerine aborde le statut des femmes, un sujet brûlant, mais il s'agit aussi d'un thriller haletant. Deux raisons de la voir.
Le Parisien
Cette série, qui met un peu de temps à démarrer, est aussi un intelligent plaidoyer féministe. (…) L’évolution des personnages féminins permet à Speakerine de ne pas rester une jolie carte postale vintage mais d’être bigrement d’actualité.
L'Express
La liste des qualités de cette série est longue. Et puis, étrangement, à partir du quatrième épisode, le récit part en vrille. Complètement. On ne révélera rien ici mais l'intrigue principale est abandonnée au profit d'une autre, nettement moins intéressante et franchement moins crédible (…) Au terme du dernier épisode, l'ensemble donne l'impression d'être un peu bâclé. C'est dommage, ce feuilleton démarrait si bien. C'est même un peu énervant d'ailleurs.
L'Obs
Une direction artistique qui s’inspire de façon appuyée de Mad Men, mais un pitch qui ne tient pas ses promesses.
La Croix
Récit d’une émancipation féminine, Speakerine aborde sans détour les problèmes politiques et sociétaux de l’époque : travail des femmes, avortement clandestin, télévision aux ordres du pouvoir, racisme policier, activisme meurtrier de l’OAS…Malheureusement, ces thèmes sont, pour la plupart, survolés ou dilués dans une intrigue policière peu consistante. Servis par une distribution inégale (avec Marie Gillain et Guillaume de Tonquédec dans le rôle du couple phare), les dialogues manquent d’humour et de piquant et la mise en scène de rythme pour élever la série à la hauteur de son modèle Mad Men, de Matthew Weiner, brillante évocation d’une agence de publicité dans le New York des années 1960.
Les Inrockuptibles
Une direction artistique qui s’inspire de façon appuyée de Mad Men, mais un pitch qui ne tient pas ses promesses.