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    Speakerine
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    25 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Parfait, un plaisir, à la fois sur l'écriture, les décors lumières et costumes, du travail pour les métiers du cinéma.
    Les rôles sont bien posés dès le départ, Marie Gillain et Guillaume de Tonquédec sont impecs, les autres sont "dans leurs roues".
    Ça sent la gauloise jaune et la bleu sans filtre, l'OAS et ORTF, nous y sommes, une bonne manière de parler, simplement, de cette partie de l'histoire qui est toujours à vif, pas facile, mais de ce cas, réussis.

    De même , le rapport entre nous, les bipèdes, le genre qui les fait, vraiment et l'autre qui les regardes, situation intemporel, pas facile non plus, réussis aussi.

    Une chouette série, on attend la suite.

    Les anglais et autres pays du nord doivent bien se tenir, saine compétition.
    Fabien S.
    Fabien S.

    562 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Une très bonne série sur les speakerines des années 60 avec Marie Gillain et Guillaume de Tonquédec
    Zipzap
    Zipzap

    12 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    2,0
    Publiée le 2 mai 2018
    Au départ, je fus séduit par la thématique et la période concernée. La retranscription de l'époque est d'ailleurs réussie. Avec un titre comme "Speakerine", je m'attendais à une série sur la télévision des années 60, sur la quête de liberté journalistique. Mais voilà, il n'est est (presque) rien. On y parle de parties fines, d'OAS, de combat féministe… pourquoi pas, me direz-vous ? Qu'une série soit le témoin d'une époque, quoi de plus normal. Mais la télé dans tout ça ? Ah oui, la première mondovision… qui va être relégué au second plan - comme tout le reste - et utilisé de façon abracadabrante comme ressort scénaristique au sein de ce qu'est réellement Speakerine : spoiler: un simili thriller !


    En fait, on nous a menti sur la marchandise. Et si on peut être diverti sans problème par les 6 épisodes (à la condition ultime d'encaisser le grotesque du final), la volonté claire des scénaristes de perdre les spectateurs dans de multiples histoires parallèles n'offre pas un fil narratif assez fort pour nous tenir totalement en haleine.

    J'aurais pu pardonner. Mais les dialogues sont inégaux, la psychologie de chaque personnage ne sort pas de l'ornière dans laquelle on l'a précipitée, les incohérences et facilités de scénario s'enchainent à bon rythme. Je ne vais prendre qu'un exemple : spoiler: Madame Beauval tourne une interview avec une équipe de l'ORTF et fait le montage de son reportage dans des locaux qui lui sont pourtant interdits après son renvoi. Et la scènes d'après, l'Elysée impose au directeur de l'ORTF de la reprendre.
    Les gars, vous avez pas un problème de chronologie ? C'est moi qui me suis assoupi ?

    Mais je ne peux m'empêcher de prendre un autre exemple : spoiler: Le machino, amant d'Isabelle, commence à avoir des scrupules. Il trouve qu'avec le rapt," cela commence à aller trop loin". Bin oui mon gars, mais t'as déjà tué un mec dans le premier épisode. Et là, déjà, t'étais pas allé trop loin ?
    . Je crois qu'à ce moment même, j'ai dû m'esclaffer devant mon écran. Et des dialogues et situations improbables, il y en a comme ça à la pelle.

    A trop vouloir raconter de choses, à trop vouloir embrouiller le spectateur pour mieux le surprendre, les auteurs et réalisateur se sont perdus eux-mêmes. Speakerine n'est pas indigne mais reste un beau gâchis, que tous les étudiants en cinéma devraient analyser à la loupe. On est ici très loin de la qualité d'écriture (et d'interprétation) des "hommes de l'ombre" ou de "Dix pour cent".
    Hypaepa
    Hypaepa

    25 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 22 mai 2018
    3,5/5
    Une série dans une France de la IVe république, en pleine extension de la télévision dans les (riches) foyers français. Les speakerines sont des stars et surtout Christine Beauval qui suscitent toutes les convoitises.
    La série démarre très fort, on est immédiatement immergée dans cette époque rétro, la condition féminine, les jupes plissées, les DS. Bref un vrai régal, la photographie est très belle.
    La série souffre d'une petite baisse de régime dès le 3ème épisode (sur 6) pour reprendre un petit coup de fouet rapide à la fin de la saison. Espérons qu'il y aura une saison 2, car cette époque mérite d'être à nouveau traitée, mais avec un scénario moins fourre-tout et plus rythmé. spoiler: Car on ne sait toujours pas qui a tué la jeune fille soit dit en passant.
    Maryane75
    Maryane75

    19 abonnés 453 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 1 mai 2018
    Je suis née sous de Gaulle et ce téléfilm a été un bain de jouvence malgré de vraies invraisemblances qui auraient dû être évitées car la plupart des scénaristes ont connu cette époque.
    Le scénario, et peut être aussi la mise en scène de Laurent Tuel, a été bâclé et c'est regrettable.
    En 1964 Noëlle Noblecourt a été licenciée, sur le champs, parce qu'on avait vu brièvement un peu de ses genoux à l'écran.
    Par conséquent... la speakerine en grand décolleté du premier épisode était absolument IMPOSSIBLE à l'époque !!
    Marie Gillain est excellente dans son rôle contrairement à Guillaume de Tonquédec qui est, pour ma part, une erreur de casting.
    Je ne l'ai jamais trouvé crédible.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 5 décembre 2019
    Une mini-série captivante grâce à une reconstitution à la fois sobre (qui fait penser au films de Demy ou Godard) et juste des sixties, emporté par un scénario très bien écrit et dont les messages s'insère bien dans l'époque, mais aussi une intrigue policière attirante qui fait penser aux romans d' Agatha Christie, de belles histoires d'amour, le tout porter par les belles interprétation de Marie Gillain et Guillaume de Tondequec mais aussi Barbara Probst génial en méchante. On aurait pas dit non à une seconde saison pour conclure la série !
    Robert Camus
    Robert Camus

    9 abonnés 1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 1 mai 2018
    J'ai adoré (l'époque bien rendue , tant physiquement que psychologiquement, la mise en scène et le jeu des acteurs...on y croit !.. )...dommage qu'aucune suite ne soit prévue .
    Paprika-Choco
    Paprika-Choco

    8 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 21 mai 2018
    Le début était assez intéressant et semblait promettre une bonne saison grâce à une ambiance d'époque convaincante malgré déjà quelques lourdeurs de dialogue et des personnages assez caricaturaux. Mais au fil des épisodes, les incohérences scénaristiques s'accumulent au point de mener à une fin qui laisse pas mal de blanc dans l'intrigue spoiler: ( on ne sais pas pourquoi la jeune fille du départ a été tuée, ce qui est tout de même l'un des points essentiels de la série, il me semble; on a du mal à comprendre comment Isabelle qui a su si bien manipuler tout le monde en gardant une parfaite maîtrise d'elle même peut totalement péter un plomb à la fin ( une belle caricature de "la folle hystérique"), le fait qu'on passe sur le viol d'une jeune fille sans y revenir et qu'au final, pour une série qui se ferait presque passer pour féministe, c'est une femme la grande méchante et que les politicard et les hauts placés mêlé à l'affaire s'en tirent sans problème sans que la série ne revienne dessus, les faisant même passer pour des victimes, les incohérence également sur les tenus des speakerines dont quelqu'un a déjà parler dans une autres critiques, etc etc etc...
    . Le dernier épisode en particulier a vraiment tout gâché tant il met en exergue les incohérences manifestes d'un scenario paresseux.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 10 mai 2018
    A intervalles réguliers, le monde du cinéma se met lui-même en scène dans des films le plus souvent intransigeants sur le regard porté par leurs réalisateurs sur une industrie qui a pour mauvais penchant de quelquefois dévorer ses propres enfants. Le ton souvent dramatique comme dans "Sunset Boulevard" (Billy Wilder en 1959) pour le plus célèbre d'entre eux ou comme dans "Maps to the stars" (David Cronenberg en 2014) pour un des tous derniers peut aussi revêtir la férocité de la satire au vitriol avec des iconoclastes comme Robert Altman ("The player" en 1992) ou les frères Coen ("Barton Fink" en 1991 puis "Ave Cesar" en 2016). La télévision n'a jamais vraiment eu ce recul sur elle-même. Le regain pour les séries depuis la fin années 1990 et la quête de sujets qu'elle induit devait fatalement entraîner cette introspection. La France se lance donc dans ce genre inexploré avec "Speakerine" qui plonge le spectateur en 1962, au bon temps de l'ORTF où sur l'unique chaîne télévisée de l'époque, les visages de Catherine Langeais, Jacqueline Huet, Anne-Marie Peysson et Jacqueline Caurat étaient le lien indispensable entre les téléspectateurs encore novices et celle qu'on nommait alors l'étrange lucarne. Le scénario de Nicole Jamet utilise certes l'univers de la télévision comme cadre à une intrigue policière plus qu'il ne cherche à nous immerger en son sein mais il n'en dénonce pas moins le lien direct entre le pouvoir politique et ce nouveau média, tout à la fois formidable outil de propagande mais aussi possible vecteur d'éveil des consciences et de contestation s'il n'est pas parfaitement cadenassé. De manière subtile avec des acteurs très impliqués et convaincants, Laurent Tuel arbitre fort bien entre les différents ingrédients de cette série normalement appelée à se poursuivre si l'on s'en tient à sa qualité générale. On saluera donc la performance de Marie Gillain qui ne semble plus trouver au cinéma les rôles que devraient lui apporter sa toute récente maturité et son immense talent. Quant à Guillaume Le Tonquédec à contre-emploi, on ne peut s'empêcher à certains moments et sous certains angles de lui trouver une ressemblance évidente avec le grand Jack Lemmon. Une comparaison qui en dit long sur les possibilités de cet acteur dont la popularité tardive ne devrait pas lui interdire un épanouissement qu'on lui souhaite aussi fécond que celui d'un Philippe Noiret.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 509 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Une série élégante à l’excellent casting. La reconstitution historique des années 60 lui donne un cachet particulier. L’intrigue à tiroir est efficace sans être très originale (dommage que les éléments concernant l’OAS n’aillent pas très loin) et la réflexion sur la place de la femme est d’actualité.
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 29 août 2018
    3 étoiles pour la reconstitution de l'époque tant au niveau des costumes, des coiffures, des voitures ou des décors.
    Une bonne interprétation de Marie Gillain et un rôle à contre emploi pour guillaume de toncquedec
    On a plaisir à revivre les moments de l'ORTF
    Dommage pour les quelques longueurs
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 691 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 30 avril 2018
    Série française de qualité situant l'action dans les années 60 avec les problèmes liés à l'Algérie. On assiste aux magouilles en haut lieu, avec les ballets roses, l'OAS qui mène la guerre contre le Général de Gaulle, la présence du ministère de l'information qui muselait la TV, et le rôle des speakerines. Bref, on se retrouve plus de 50 ans en arrière, avec une reconstitution d'époque particulièrement soignée. Ajouté à cela les histoires d'amour, de couple, de rivalité et on ne peut qu'applaudir à la minutie du scénario. Tous les acteurs sont particulièrement excellents. Seul un côté parfois caricatural entache l'histoire (cette manie française des dérapages qu'on ne trouve guère dans les séries anglaises) mais on passe malgré tout un très bon moment.
    ptitmayo
    ptitmayo

    37 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 3 mai 2018
    Avec "Speakerine", France 2 nous offre une série d'époque comme on en voit rarement à la télévision française, surtout pour cette période pré-Mai 68.

    J'ai été en premier lieu très convaincu par la qualité de la reconstitution historique (musiques, décors, costumes, coiffures, voitures, la cigarette (même si ça fume moins que dans Mad Men)) malgré un budget limité pour les plans extérieurs, par l'ambiance générale (le générique très OSS 117 donne le ton), et par l'aspect historique affirmé, que ce soit la Guerre d'Algérie spoiler: (à travers le fils de Christine, Jean-Claude, opposé à son père, recruté par l'OAS (avec un kidnapping test à la clé), informateur sur l'attentat raté contre De Gaulle, poseur de bombe dans le restaurant, menacé de mort et obligé de s'engager dans la Légion)
    , le monde de la télé spoiler: (la première émission Intervilles)
    , l'arrivée de la Mondovision avec les américains, la haine des communistes spoiler: (incarnée par Pierre)
    , la puissance de la religion spoiler: (Pierre et le couvent ou le "non" à l'avortement)
    , la cruauté de la politique spoiler: (la mutation aux Outre-mer)
    ou bien encore les conflits d'intérêts entre journaliste, politique et flic spoiler: (le chef de la police qui bâcle l'enquête pour satisfaire le ministre; le journaliste et sa source chez les flics, Pierre et Darnet qui suivent les désirs du ministre de l'information).


    Néanmoins, la thématique centrale de la série reste la dénonciation du machisme ambiant et par écho l'émancipation des femmes à cette période spoiler: (Michèle est lesbienne par exemple)
    . Christine symbolise ce changement sociétal majeur spoiler: (elle boit seule dans un bar, elle remet en cause son mariage, fait du chantage à Darnet, diffuse des messages militants à la télé, propose une émission féministe, envisage l'avortement pour sa fille et dénonce son rôle tout attribué de femme ne devant s'occuper que des courses, des enfants et de la cuisine au détriment de sa carrière et de sa vie privée)
    quand la série se montre acerbe avec l'attitude des hommes à l'égard des femmes spoiler: (le journaliste macho; le flic condescendant par rapport à Christine; Darnet qui remplace, piège et vire Christine comme bon lui chante; Pierre qui tue le projet de carrière de sa femme au profit de sa promotion et de sa réussite; Pierre qui reproche à cette dernière sa manière d'éduquer les enfants; la phrase horripilante "tu dois contrôler ta femme"; Darnet qui mate les fesses des jeunes femmes et ressemble un peu à DSK; la promotion canapé comme seul espoir de succès pour les femmes; Pierre qui traite sa femme comme si c'était une fille légère; la réplique "tu es une speakerine, tu joues le rôle du pot de fleur"; la réflexion sur les filles des îles qui sont chaudes).

    Pour renforcer son propos, la série utilise assez bien Philippe Lefebvre, incarnant l'homme moderne à l'écoute des femmes spoiler: (et de Christine dont il est fou amoureux)
    et un allié professionnel de qualité. Je regrette juste la fin un peu facile et paresseuse donnée à cette relation Christine-Philippe, spoiler: (la première émission Intervilles) 0


    Au milieu de cela, "Speakerine" introduit une enquête dense spoiler: (la première émission Intervilles) 1
    aux ramifications importantes. On peut dire que ce choix scénaristique alourdit parfois l'ensemble et éparpille le déroulé, mais elle permet aussi de traiter de nombreux sujets forts spoiler: (la première émission Intervilles) 2
    , sans compter que la série maîtrise son côté thriller, avec des twists solides à chaque fin d'épisode spoiler: (la première émission Intervilles) 3
    , de bons éléments d'investigation spoiler: (la première émission Intervilles) 4
    et une méchante parfaite spoiler: (la première émission Intervilles) 5

    Mon gros bémol là-dedans serait spoiler: (la première émission Intervilles) 6
    , pas indispensable et plutôt lourde à la longue, pour un intérêt limité et tiré par les cheveux sur la suite.

    Niveau casting, aucune fausse note, Marie Gillain porte la série avec une aisance et un charme indéniables, Guillaume de Tonquédec est parfait en macho, Jean-Yves Chatelais joue à merveille le rôle du salaud (sa ressemblance physique avec DSK est troublante) et Barbara Probst est une sacrée découverte.
    Enfin, Laurent Tuel délivre une réalisation léchée et dynamique, pour une série réussie.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    118 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 1 mai 2018
    Excellente mini-série française qui confirme le talent des cinéastes et créateurs de série français, y compris dans l'audiovisuel public. Le scénario est efficace pour maintenir le suspense à chaque fin d'épisode, même si le principal reproche à lui faire serait que ça fait quand même beaucoup de fils entremêlés pour si peu de personnes. Mais cette période et ce sujet, la France post guerre d'Algérie, sont rarement abordés dans le paysage cinématique et audiovisuel français. Les acteurs sont très bons, et je ne vois en quoi Guillaume de Tonquédec serait une erreur de casting (d'après d'autres commentaires): au contraire, Marie Gillain est très classe et on adore détester son mari, Guillaume de Tonquédec. Seul bémol question personnages, la naïveté confondante de leur fille. Dommage que France 2 ait décidé d'en rester à leur projet initial d'une unique mini-série de 6 épisodes.
    Daeriss W.
    Daeriss W.

    21 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 14 juillet 2020
    Revenons vers les sixties , époque ou les femmes se battaient pour avoir le droit de travailler, et ne pouvaient avoir de compte en banque si leur conjoint ne leur en donnait pas l'autorisation . Tout ceci semble lointain et irréel à ceux qui n'ont pas connu cette époque. Cette série se déroule au lendemain de la guerre d'Algérie en pleine contestation de l'OAS, des scandales ou les grands de ce monde passent du bon temps dans les parties fines . Le personnage interprété par Barbara Broest qui ira jusqu'a la folie pour parvenir à ses fins et celui de Christine Beauval inspirée par celui de Jacqueline Joubert speakerine médiatique de 1949-1967 avant d'enchainer et de devenir productrice
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