Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
We Got This Covered
par Isaac Feldberg
Outcast s'inscruste sous votre peau et s'infiltre dans votre tête (...) Qu'une histoire horrifique aussi complexe et ambitieuse parvienne à naître à la télévision relève du miracle, et si la série parvient à garder son sens du pathos et ses gros coups de frayeur elle dépassera rapidement ses concurrentes en terme d'hémoglobine, de frissons et de paniques sans sacrifier son intégrité dramatique. The Walking Dead a intérêt à surveiller ses arrières.
La critique complète est disponible sur le site We Got This Covered
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Le casting et l'intrigue de fond de Outcast sont convaincants, de même que l'utilisation qui est faite par Kirkman du thème de la possession démoniaque comme allégorie des violences domestiques. Au-delà de l'aspect prévisible du démon vulgaire aux yeux vitreux, il se cache un récit passionnant sur les peurs qui nous hantent et qu'il nous faut affronter.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Le Monde
par Pierre Serisier
Certaines scènes peuvent être un peu gênantes pour les âmes sensibles mais on est sur Cinemax et la chaîne (qui diffuse la série aux Etats-Unis, NDLR) assume ses choix de série B, en les poussant au bout de leur logique, comme l’a démontré la très bonne Banshee.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Delphine Rivet
Le gore joue plus le rôle de décanteur que de réel ressort narratif (…) La torture est ici plus mentale que visuelle, pour notre plus grand plaisir évidemment. Joliment filmée et très bien interprétée - avec Patrick Fugit (Gone Girl) dans le rôle titre - Outcast ne manque pas de caractère.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
La mise en place du récit et du monde dans lequel il se déroule est une complète réussite ; parce que la narration avance patiemment et que la mise en scène limite ses effets ; parce que Patrick Fugit, qu’on avait peu vu depuis Presque célèbre, et Philip Glenister, vieux briscard britannique (Life on Mars), sont impeccables. En un mot, parce qu’on y croit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Melanie McFarland
Est-ce une série d'horreur ? Oui, au départ (...) Il y a du choc et de la perversion partout dans Outcast, mais après le pilote, la plupart des moments violents ou gores ne surviennent qu'à travers de brefs flash, suffisants pour terrifier sans faire de l'ombre au puissant conte psychologique derrière. La plus grande violence dans la série est verbale.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Brain Damaged
par Marine Glinel
Entre la violence et l’horreur, des personnages fascinants et complexes, portés par deux grands acteurs, Outcast est très prometteuse. En espérant que les clichés disparaissent dans les prochains épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Critictoo
par Fabien
Outcast cherche à intriguer après avoir posé son décor (…) Suivre le héros alors qu’il tente de comprendre ce qui lui arrive s’annonce en tout cas comme étant un voyage pouvant être intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
La structure du show est intelligente à bien des égards, offrant une satisfaction immédiate à mesure que les intrigues avancent, tout en misant sur des mystères au long cours concernant de nombreux personnages. Kirkman le fait si bien qu'on en oublie presque que la plupart des sous-intrigues sont relativement usées
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Newsday
par Diane Werts
Beaucoup de fluides corporels, des dialogues solennels, de prises de vue sinistres, de musique oppressante et oui, des lévitations. A passer autant de temps à remplir les obligations du genre, il reste peu de place à la narration pour respirer.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
We Got This Covered
Outcast s'inscruste sous votre peau et s'infiltre dans votre tête (...) Qu'une histoire horrifique aussi complexe et ambitieuse parvienne à naître à la télévision relève du miracle, et si la série parvient à garder son sens du pathos et ses gros coups de frayeur elle dépassera rapidement ses concurrentes en terme d'hémoglobine, de frissons et de paniques sans sacrifier son intégrité dramatique. The Walking Dead a intérêt à surveiller ses arrières.
Boston Globe
Le casting et l'intrigue de fond de Outcast sont convaincants, de même que l'utilisation qui est faite par Kirkman du thème de la possession démoniaque comme allégorie des violences domestiques. Au-delà de l'aspect prévisible du démon vulgaire aux yeux vitreux, il se cache un récit passionnant sur les peurs qui nous hantent et qu'il nous faut affronter.
Le Monde
Certaines scènes peuvent être un peu gênantes pour les âmes sensibles mais on est sur Cinemax et la chaîne (qui diffuse la série aux Etats-Unis, NDLR) assume ses choix de série B, en les poussant au bout de leur logique, comme l’a démontré la très bonne Banshee.
Télé Loisirs
Le gore joue plus le rôle de décanteur que de réel ressort narratif (…) La torture est ici plus mentale que visuelle, pour notre plus grand plaisir évidemment. Joliment filmée et très bien interprétée - avec Patrick Fugit (Gone Girl) dans le rôle titre - Outcast ne manque pas de caractère.
Télérama
La mise en place du récit et du monde dans lequel il se déroule est une complète réussite ; parce que la narration avance patiemment et que la mise en scène limite ses effets ; parce que Patrick Fugit, qu’on avait peu vu depuis Presque célèbre, et Philip Glenister, vieux briscard britannique (Life on Mars), sont impeccables. En un mot, parce qu’on y croit.
Variety
Est-ce une série d'horreur ? Oui, au départ (...) Il y a du choc et de la perversion partout dans Outcast, mais après le pilote, la plupart des moments violents ou gores ne surviennent qu'à travers de brefs flash, suffisants pour terrifier sans faire de l'ombre au puissant conte psychologique derrière. La plus grande violence dans la série est verbale.
Brain Damaged
Entre la violence et l’horreur, des personnages fascinants et complexes, portés par deux grands acteurs, Outcast est très prometteuse. En espérant que les clichés disparaissent dans les prochains épisodes.
Critictoo
Outcast cherche à intriguer après avoir posé son décor (…) Suivre le héros alors qu’il tente de comprendre ce qui lui arrive s’annonce en tout cas comme étant un voyage pouvant être intéressant.
San Francisco Chronicle
La structure du show est intelligente à bien des égards, offrant une satisfaction immédiate à mesure que les intrigues avancent, tout en misant sur des mystères au long cours concernant de nombreux personnages. Kirkman le fait si bien qu'on en oublie presque que la plupart des sous-intrigues sont relativement usées
Newsday
Beaucoup de fluides corporels, des dialogues solennels, de prises de vue sinistres, de musique oppressante et oui, des lévitations. A passer autant de temps à remplir les obligations du genre, il reste peu de place à la narration pour respirer.