Derniere saison avec Lucas et Peyton. La série est toujours au même point aucune évolution du coté des personnages. Le seul personnage qui sort du lot est la performance du petit Jamie. La fin de cette saison pouvait clôturer la série. La longueur et la lassitude commence à prendre le dessus. Un petit peu de changement ferais du bien pour la suite.
La saison 4 commençait vaguement à l'envisager, la cinquième l'amorçait sérieusement, cette dernière confirme. Une baisse mais alors grosse baisse d'ambiance, de rythme, du déjà vu en bref des intrigues en deçà des 5 et surtout 4 premières saisons.
Déjà la saison démarre mal avec l'intrigue de la nounou psychopathe vu et revu (la saison 4 avait une intrigue a peu près similaire sur la forme). Et tout ceci n'est que le reflet de cette saison et des scénaristes incapable de redonner des enjeux d'une qualité similaire aux trois premières saisons. Au programme donc du vu et revu, des intrigues ne donnant parfois lieu à une conclusion ridicule (celle du film de lucas Scott), l'intrigue de la mort de l'un des personnages n'est pas très clair. Une saison malgré toute longue (la plus longue de toutes : 24 épisodes ). Les intrigues sont donc tirés en longueurs et ne donne souvent donc pas à de gros enjeux.La musique qui intervenait par le passé à des moments propices survient ici un peu trop régulièrement comme si elle cherchait à combler le creux de certains dialogues.Bien sur le tout reste tout à fait regardable et sympathique. Tout n'est pas à jeter : on retiendra donc comme toujours des personnages assez attachants (hormis les deux boulets Lucas et Peyton qui s'en vont à la fin de la saison : il n'ont pas été très intéressants cette saison ), Sophia Bush joue toujours parfaitement bien et est finalement pour ce genre de série une très bonne actrice, les drames bien que convenus restent malgré tout agréable à suivre.
La saison 6 montre finalement que les scénaristes sont en manque d'idées concrètes depuis le bond de 5 ans, on remarque que le basket est finalement peu présent si on se passe des quelques parentés comme le slamball..., la musique à la place d'être en plus pour marquer les moments importants survient un peu n'importe quand comme si il fallait combler quelque chose. Reste des histoires qui parfois remonte le niveau et des personnages qui reste à peu près fidèles à eux mêmes