Série pour midinette par excellence, "Les frères Scott" sont en quelques sortes les dignes successeurs de "Dawson" qui lui-même succédait à "Beverly Hills". Le ton nian-nian est de rigueur, et les rêves d’adolescents sont les moteurs de cette série rose bonbon à bulle. Paradoxalement, si on parvient à résister à quelques épisodes et à rentrer dans le jeu, on peut se retrouver pris par la mécanique et enfiler les saisons sans réel ennui. En effet, la série sait éviter le surplace et peut amuser pour sa façon assez mièvre, qui se voudrait presque pédagogique, d’aborder les questions existentielles de l’adolescence. Au final, il n’y a vraiment rien d’extraordinaire dans cette série au point qu’il est même difficile d’en conseiller un détour. Néanmoins, elle sait jouer son rôle de série pour midinette avec efficacité, donc qui voudra se complaire dans ce type de divertissement saura y trouver son compte.
« Les frères Scott » font partie de ces séries comme les autres, ils font partie de ces standards très stéréotypés qui emboîtent le pas à un autre standard du même genre qui vient de prendre fin. Ici, les « frères Scott » se posent comme les successeurs de « Dawson », dans la droite lignée des séries pour teenagers qui s’ancrent dans l’univers des collèges, lycées, voire fac… De ce point de vue, la formule est strictement respectée : histoire d’amourettes, de découvertes sexuelles, de clashs avec les parents ; bref tous les éléments qui alimentent les préoccupations de nos chers adolescents tout boutonneux… Alors j’avoue m’y être risqué dans une optique purement sociologique plutôt que dans un réel désir d’y trouver du plaisir. Pourtant, malgré le côté on-est-tous-top-models, on est tous romantiques, on est tous rose bonbon, j’avoue m’être laissé gentiment allé dans ces romances formatées pour faire rêver les minettes de quatorze ans. La raison à cela viendrait notamment du fait que la série se risque à aborder certains thèmes et questions qui sont loin de correspondre à la bien-pensance américaine. Bon, il ne faut pas espérer de miracle non plus : on a à faire à une série américaine quand même ! Dans les « Frères Scott » on n’est heureux que lorsque la famille est unie, on n’est amoureux que quand on couche sans préservatif, et surtout – même si la série fait des efforts surhumains de libéralisme moral – on en revient toujours à l’idée que le sexe c’est fait pour faire des enfants, et si certains l’oublient, la nature vous le rappelle. Bon, bref, rien de bouleversant, rien de scandaleux non plus : « Les Frères Scott » se contentent d’être ce qu’ils prétendent être, et c’est déjà pas mal, c'est-à-dire une série bien standardisée.
Les Frères Scott est une bonne série qui a comme beaucoup d'autres le défaut d'être trop longue. On se serait bien contenté de 3-4 saisons, cela permettant d'éviter sa transformation en "feux de l'amour".
Vraiment très prenante ! Cette serie est vraiment fantastique ! Je ne connais pas les noms des acteurs mais je trouve qu'ils jouent super bien ! A voir sans hésiter ! <3
Je n'ai commencé à regarder cette série qu'à partir de la troisième saison je crois, c'est une bonne série avec un casting convaincant, même depuis le départ de Hilarie et Chad. Il est clair que c'est une série "fleur bleue" (la seule qui ait décollé d'ailleurs je crois ?!) mais on s'attache vite aux personnages et donc c'est difficile de décrocher.
Ce que j'aime dans cette série c'est l'alchimie étonnante entre les personnages. En fait entre Peyton et Lucas surtout (d'après mwa). En plus à l'écran ils semblent toujours si amis Chad Michael Murray et Sophia Bush ça ne fait que prouver leurs performances d'acteurs je pense :'). Par contre pour l'histoire c'est assez sympa, les personnages sont divers (dans la saison 5 particulièrement j'adore l'arc avec Kate Voegele dedans :'D quand elle chante "Hallelujah" dans l'épisode 17... cette artiste a de l'avenir !). Je trouve juste dommage que ça tire sur l'impossible, mais c'est une série TV et on aime la fiction :')
Cette 1er saison met en place l'histoire, le décor et les personnages. Des jeunes acteurs (quasiment inconnu) nous plonges dans leur univers. Ils interprètent leur personnages remarquablement, ce qui fait qu'on s'attache facilement à eux. Une bonne saison à suivre avec grand plaisir.
Un mélange de surnaturel avec une petite pointe d'angoisse voilà l'ingrédient de cette nouvelle saison. Malgré que nos ados de tree hill termine leur dernière année de lycée, on ressent un peu de lassitude et que les auteurs ne savent plus trop quoi faire pour casser le rythme qui deviens si classique. Il termine leurs années de lycée et rentre enfin dans le monde des adultes en espérant que les autres arrivent à ce rattraper au niveau des histoires.
La série aurait trouvé un bon "series finale" à la fin de la saison 6. Maintenant que Lucas et Peyton ne sont plus dans la série des personnages prennent de l'importance. Micro devient un personnage clef de la série ainsi que Skills. De nouveau personnages font leurs apparitions Clay, manager de Nathan et Quinn la grande soeur d'Haley. Malgré les grands changements du à cette saison on ne change pas une formule qui gagne. Les histoires sentimentales et problèmes de famille sont toujours là et ce répète un peu. Mais la série reste encore intéressante grâce à l'arrivé des nouveaux personnages.
Nos lycéens sont adultes maintenant. On retrouve nos protagonistes 4 ans après les évènements de la fin saison 4 et ce qui nous permet de voir un Jamie grand et adorable. Bon certes ils ont grandis et doivent faire fasse à des problèmes de grand mais le scénario ne permet de faire évoluer les personnages malgré qu'ils ont l'idée des les vieillir de 4 ans. Leurs problèmes ressemble encore un des soucis de lycéens (drogues, mère chiante, ...). La série retrouve un certain souffle grâce au duo Skills/Jamie qui nous font sourire à chaque fois qu'ils sont dans les parages. Malgré une saison plus courte, dû à la grève des scénaristes, la saison arrive à ce démarquer des autres en nous proposant des personnages plus matures et engagés dans la vie actif. Dommage que les personnages ne ce soient pas démarqués car leurs destins est prévisible.