The Girlfriend Experience : Critiques de la presse
The Girlfriend Experience
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,1
13 titres de presse
Newsday
San Francisco Chronicle
New York Times
RogerEbert.com
The A.V. Club
Time
DailyMars
Le Monde
Variety
Libération
Paris Match
Télérama
Philadelphia Daily News
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Newsday
par Diane Werts
Ce qui fait de cette série une série pour adultes va bien au-delà du sexe à l'écran.
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
The Girlfriend Experience est une des meilleurs nouvelles séries de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
New York Times
par James Poniewozik
L'intrigue n'est pas très mouvementée. Elle est pour tout dire un peu ennuyeuse. Mais même ennuyeuse, elle est captivante, comme ces vidéos artistiques projetées dans les lobbys d'hôtels.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Voilà une série qui ne ressemble à aucune autre à la télévision, se révélant à un rythme qui rappelle le cinéma indépendant davantage que la production actuelle.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
The A.V. Club
par Kenji Fujishima
En fin de compte, le mystère insondable qu'est Christine Reade est le vrai moteur de la série et en fait un show qui dépasse le conte simpliste d'une innocence corrompue. Dans une scène du premier épisode, elle se dirige tout droit vers un homme dans un bar, lui dit qu'elle veut coucher avec lui et s'exécute chez lui. Dès le départ, on nous dit que Christine sait parfaitement ce qu'elle veut, il est donc naturel qu'elle trouve extrêmement attirant le contrôle sur les relations et la sexualité que lui offre la vie d'escort.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Time
par Daniel D'Addario
Si cette série devait ressembler à un genre cinématographique, ce serait le thriller paranoïaque américain des années 70, soit des films comme et .
La critique complète est disponible sur le site Time
DailyMars
par Yann Kerjan
Riley Keough impressionne dans un rôle où elle bascule entre un contrôle de soi strict et d’imperceptibles signaux de déstabilisations. Une performance bouleversante pour un personnage qui apparaît sur (presque) chaque plan et avance le plus souvent masqué.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Le Monde
par Pierre Serisier
Le premier épisode le plus intense que l'on ait vu dans une série récente (…) Une immersion dans cette Amérique cynique et froide, prisonnière du culte de l'argent et destructrice de l'identité. Dans ce monde, tout se vend. La seule question est celle du prix qui est presque secondaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Variety
par Brian Lowry
Au début la série distille quelque chose de frustrant, à mesure que Christine explore ce nouveau monde un peu étrange sans jamais se révéler elle-même ou ce qu'elle veut être. Les téléspectateurs verront énormément son corps (et les scènes de sexe sont très graphiques et fréquentes), mais ils en seront dans le même temps pour leur argent en ce qui concerne ce qui lui passe par la tête.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Libération
par Clélia Cohen
Ce qui est assez réussi et donne à la série sa couleur expérimentale, c’est la froideur de l’ensemble, sa discrète asphyxie aussi (…) Cette opacité est assez hypnotique mais parfois un peu limitée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par La rédaction
La seule chose que l’on est sûr d’aimer est son interprète, Riley Keough. La petite-fille d’Elvis procure à ce personnage impassible, presque antipathique, une aura fascinante qui nous raccroche à son histoire. Pour elle, l’expérience mérite d’être tentée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Langlais
En laissant le récit se dérouler, lentement, entre une forme de passivité, d'anesthésie, et une angoisse grandissante mais quasi inaudible, The Girlfriend Experience nous place dans une position inconfortable, qui rapidement nous fait hésiter entre fascination et dégoût, intérêt profond et ennui mortel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Philadelphia Daily News
par Ellen Gray
La série ne rend pas glamour, ni intéressante, la prostitution (...) Keough livre une performance délicatement dans le ton, aussi artistique que le ton général de la série, mais mis à part une réflexion sur le fait qu'elle soit une sociopathe ou non, son personnage de Christine reste un mystère autant pour elle-même que pour moi. Mais peut-être que je préfère le sexe quand il est un peu moins froid. Ou quand il est un peu plus drôle.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Daily News
Newsday
Ce qui fait de cette série une série pour adultes va bien au-delà du sexe à l'écran.
San Francisco Chronicle
The Girlfriend Experience est une des meilleurs nouvelles séries de ce début d'année.
New York Times
L'intrigue n'est pas très mouvementée. Elle est pour tout dire un peu ennuyeuse. Mais même ennuyeuse, elle est captivante, comme ces vidéos artistiques projetées dans les lobbys d'hôtels.
RogerEbert.com
Voilà une série qui ne ressemble à aucune autre à la télévision, se révélant à un rythme qui rappelle le cinéma indépendant davantage que la production actuelle.
The A.V. Club
En fin de compte, le mystère insondable qu'est Christine Reade est le vrai moteur de la série et en fait un show qui dépasse le conte simpliste d'une innocence corrompue. Dans une scène du premier épisode, elle se dirige tout droit vers un homme dans un bar, lui dit qu'elle veut coucher avec lui et s'exécute chez lui. Dès le départ, on nous dit que Christine sait parfaitement ce qu'elle veut, il est donc naturel qu'elle trouve extrêmement attirant le contrôle sur les relations et la sexualité que lui offre la vie d'escort.
Time
Si cette série devait ressembler à un genre cinématographique, ce serait le thriller paranoïaque américain des années 70, soit des films comme et .
DailyMars
Riley Keough impressionne dans un rôle où elle bascule entre un contrôle de soi strict et d’imperceptibles signaux de déstabilisations. Une performance bouleversante pour un personnage qui apparaît sur (presque) chaque plan et avance le plus souvent masqué.
Le Monde
Le premier épisode le plus intense que l'on ait vu dans une série récente (…) Une immersion dans cette Amérique cynique et froide, prisonnière du culte de l'argent et destructrice de l'identité. Dans ce monde, tout se vend. La seule question est celle du prix qui est presque secondaire.
Variety
Au début la série distille quelque chose de frustrant, à mesure que Christine explore ce nouveau monde un peu étrange sans jamais se révéler elle-même ou ce qu'elle veut être. Les téléspectateurs verront énormément son corps (et les scènes de sexe sont très graphiques et fréquentes), mais ils en seront dans le même temps pour leur argent en ce qui concerne ce qui lui passe par la tête.
Libération
Ce qui est assez réussi et donne à la série sa couleur expérimentale, c’est la froideur de l’ensemble, sa discrète asphyxie aussi (…) Cette opacité est assez hypnotique mais parfois un peu limitée.
Paris Match
La seule chose que l’on est sûr d’aimer est son interprète, Riley Keough. La petite-fille d’Elvis procure à ce personnage impassible, presque antipathique, une aura fascinante qui nous raccroche à son histoire. Pour elle, l’expérience mérite d’être tentée.
Télérama
En laissant le récit se dérouler, lentement, entre une forme de passivité, d'anesthésie, et une angoisse grandissante mais quasi inaudible, The Girlfriend Experience nous place dans une position inconfortable, qui rapidement nous fait hésiter entre fascination et dégoût, intérêt profond et ennui mortel.
Philadelphia Daily News
La série ne rend pas glamour, ni intéressante, la prostitution (...) Keough livre une performance délicatement dans le ton, aussi artistique que le ton général de la série, mais mis à part une réflexion sur le fait qu'elle soit une sociopathe ou non, son personnage de Christine reste un mystère autant pour elle-même que pour moi. Mais peut-être que je préfère le sexe quand il est un peu moins froid. Ou quand il est un peu plus drôle.