Avis The Crown S

Très déçue par cette saison. Les acteurs ne sont pas du tout adaptés. Surtout le reine qui semble absente. Charles qui ne ressemble en rien au vrai. Diana qui semble idiote. Les amoureux de Diana ne sont pas attirants. Quant aux épisodes ils sont très hétérogènes. En fait on n’a plus l’impression d’être avec eux comme dans les autres saisons. On regarde la série comme une histoire un peu longuette. Espérons que la saison 6 soit mieux gérée surtout au niveau des acteurs.

"The Crown" a toujours été une anomalie sur Netflix. Contrairement à la totalité de son catalogue de séries originales, il s'agit là d'une série d'une grande qualité constante et qui bénéficie d'un soin méticuleux sur tous les points : Ecriture, mise en scène, décors, costumes, musique, effets visuels et, bien entendu, interprétation. Cette cinquième saison ne fait pas exception et fait preuve de la même opulence, contrairement à sa thématique que l'on pourrait qualifier de "fin de l'abondance". En effet, même si la vitrine de cette saison montre au grand jour les affres du mariage (plus que) tumultueux de Charles et Diana, c'est bien les fondations et l'avenir même de la Monarchie qui sont au centre de tous les enjeux. La question de l'héritage se pose, matériel comme immatériel. Faut-il maintenir les nobles règles ancestrales, quitte à tout sacrifier ou évoluer avec la société pour continuer d'exister, quitte à aller vers une monarchie "moderne" mais vide de substance ? Ce dilemme constant, qui est l'essence de cette saison, voire même, de la série, est distillé à travers ces 10 nouveaux épisodes et ses personnages en affrontement permanent, une véritable guerre intérieure, entre conservatisme et progressisme, égo et bien commun, amour et haine. Le nouveau casting assure une formidable continuité avec les précédents, on retrouve les mêmes attitudes, langage corporel, façon de s'exprimer et chaque rôle est interprété avec la même justesse et le même investissement que depuis le début de la série, sublimé par un doublage évidemment royal. Regarder "The Crown" c'est l'assurance de regarder une série d'une très grande qualité comme on en voit trop rarement dans son genre. Une série qui, malgré son estampillage Netflix, continue à ne pas céder au "wokisme tendance" facile et exacerbé qui pourrit tant de productions actuelles, pour faire preuve d'un féminisme naturel mesuré toujours cohérent avec son propos et l'époque mise en scène. Je relève pour seul bémol que la dimension politique de la série, qui a toujours été de pair avec les intrigues de la Couronne, soit ici quasiment inexistante pour donner exclusivement le champ libre aux tempêtes médiatiques provoquées par le couple princier qui ne manquent pas de secouer à maintes reprises le royaume tout entier. Dommage également que la musique de Martin Phipps soit si peu inventive et se contente de recycler les anciens thèmes dans sa grande majorité, faisant regretter les heures de compositions grandioses de Lorne Balfe et Rupert Gregson-Williams. Mis à part cela, c'est toujours un superbe moment passé en compagnie d'illustres personnages mis en lumière par une réalisation d'orfèvre et, bien que la série ne fasse pas toujours honneur à la famille royale du fait de son histoire, elle fait assurément honneur à Sa Majesté Elizabeth II, immortalisant son histoire qui est l'Histoire d'un pays, immortalisant cette femme au destin hors du commun qui aurait voulu être tout a fait commune. Que Dieu protège The Crown !

Toujours aussi bien construite, cette série nous faisant vivre l'histoire de la famille royale d'Angleterre est proche de la perfection à mes yeux.

Les acteurs des rôles principaux étaient beaucoup plus crédibles et resemblants dans les saisons précédentes que dans cette saison 5 et cela gâche beaucoup le plaisir

Je n adhère pas au casting en général surtout la reine...seule Margaret à toute mon approbation
Bien sûr décors et costumes sont au top mais je suis moins séduite que lors des saisons précédentes

Quel dommage d'avoir changer les acteurs qui étaient fantastiques et au delà du crédible dans la saison 4. Plus aucun plaisir à regarder la série

Alors que la sixième saison est en pleine production : Netflix dévoile quelques temps après la mort de sa souveraine, la cinquième partie de sa série consacrer à la regretter Elizabeth II. Après avoir évoquer son accession au trône, ses différents avec Thatcher, les divisions au sein de son couple... «The Crown» se concentre sur les différents divorces qui ont eu lieu dans les années 90 au sein de sa famille, et le bras de fer entre Lady Di et Charles. Par conséquent : le personnage d’Elizabeth II semble moins présente. Une approche déjà présente lors du chapitre précèdent. Alors on a aimé ou pas ?

Au niveau de l’intrigue sur cette saison même si l’écriture de Peter Morgan reste ciselé et pince sans rire, voir même mordante, elle est assez mègre dans le fond. On tourne beaucoup autour des problèmes de coeurs de chacun et de la famille, pour se concentrer finalement très peu sur le contexte politique de cette époque et je trouve cela regrettable. On sait tous que les années 90 ont était un cheval de Troie pour cette famille quand à leurs problèmes personnels, mais on attends un peu mieux de cette série et elle nous as d’ailleurs habituer à beaucoup mieux. Après la façon dont ces éléments sont traités, il est claire que «The Crown» continue d’être un bijou d’orfèvrerie. Chaque personnages est subtilement écrit et attachant.

Je dois avouer avoir eu un pincement au cœur lors de l’épisode des retrouvailles furtives entre Peter Towsend et Princesse Margareth qui instaure une nostalgie bienvenue et adorable. Ou encore le développement du prince Charles qui semble plus sympathique et complexe en plus d’être magnifiquement interpréter par Dominic West qui s’est emparé à bras le corps du rôle pour en faire quelques choses d’inattendu. Une des performances les plus justes quand à ce personnage. Visuellement, c’est tout aussi bon que les saisons précédentes que ce soit dans la réalisation, la reconstitution historique, les plans, le montage. Bref pas grand-chose à dire, c’est «The Crown».

Ne reste donc qu’a juger la distribution. Dans son ensemble, elle est très bonne et elle reprends le flambeau à merveille. Dominic West est juste excellent comme dis (je crois mon coup de coeur de la saison). Lesley Manville succède merveilleusement à Vanessa Kirby et Helena Bonham Carter dont elle s’est largement inspiré collant presque au métisme soit de l’une soit de l’autre mais apportant un charisme en plus indégniable au rôle. Jonathan Pryce même si l’est plus convainquant en Pape François et cabotine se débrouille bien, rien à dire sur l’inteprète de la princesse Anne juste au top. Quand à Imelda Staunton – même si Olivia Colman me manque – je dois avouer qu’elle aussi bonne que ces prédècesseuses. Sa performance est véritablement parfaite. Elle semblait née pour ce rôle, et malgré ses réticences, elle épate dans ce rôle. Enfin Elizabeth Debicki est celle dont à la réflexion m’as le plus surpris. Bien qu’elle ne ressemble pas physiquement à Lady Diana en la voyant le choix est évident. La gestuelle, le regard, les expressions...celle qu’on a découvert «Gatsby, le Magnifique» surprends. Parfois dans le surjeu et parfois dans l’excellence.


En conclusion bien qu’elle ne renie pas son héritage, on sent que «The Crown» commence à se faire vieux. Ni totalement passionante, ni totalement déçevante : cette saison symbolise juste le difficile tournant d’une série certes sublime mais qui semble-t-il à fait son temps. Cette saison 5 n’est pas la meilleure de la série, clairement mais elle reste un chapitre divertissant pour les fans. J’attends tout de même quelques choses de mieux pour la sixième saison.

Quelle désolation de voir ces épisodes décousus ! C'est mal raconté, mal interprété.
Le casting est complètement raté.
L'interprétation de Lady Di est grossière.
Une complète déception.

Vraiment très en dessous des premières saisons. Ici, tout est centré sur le délabrement du couple Diana-Charles, avec très peu d’incursions dans d’autres domaines. On s’ennuie souvent, même si les acteurs, adaptés à l’’âge de la Reine à cette époque, ne sont pas critiquables et que la mise en scène reste de qualité.

Cette dernière période, plus proche encore de nous, se devait d'être encore plus irréprochable côté casting, plus encore que les saisons précédentes, et pourtant l'image ne colle pas.
Sur une mélodie bien amère autour du mariage de Charles & Diana jusqu'à leur divorce, c'est toute la monarchie qui tremble.
Beaucoup de personnages de la famille s'effacent, peu de points développés si ce n'est Diana seule face à la monarchie. Une cinquième saison qui ferait une bien mauvaise conclusion.

Une saison 5 moins dense que les précédentes, la cause à vouloir engager cet opus sur une courte poignée d'années de règne. Certes, l'"Annus Horribilis" a de quoi nourrir un scénario digne d'une comédie dramatique, mais "The Crown" nous a habitué à plus de contenu, particulièrement historique. C'est donc une saison sous les flash des paparazzi, liée à Diana, Charles, leur divorce, l'avenir de la couronne et sa place dans le futur. Cela aurait pu faire 1 ou 2 épisodes sous une saison 1, 2 , 3 ou 4, mais cet "épisode" s'étale ici sur une complète saison. Pourtant, on ne s'ennuie pas vraiment, notre oeil voyeuriste trouve des réponses que les tabloïds ont tellement mis en scène. Toujours réalisé avec un immense souci du détail, cette saison respecte le cahier des charges qui fait la très grande qualité formelle de la série. Même la qualité des interprètes (qui ont encore changé en cette 5ème saison) est toujours aussi irréprochable, illuminée cette fois-ci par une Diana - E.Debicki particulièrement rayonnante. Dès le 1er épisode de la première saison, on s'attendait à ce que "The Crown" réponde à nos questions sur les secrets de la famille royale que la presse people contribuait à attiser par une malsaine curiosité. Cette saison 5 y répond enfin et sobrement, et c'est tout à son honneur. Mais, nous ayant habitué à plus de richesse dans sa narration, et à cette incroyable habilité de mêler l'intimité de la famille royale et la destinée historique du Royaume Uni, cette saison raccourcie sur le temps et un peu pauvre en contenu déçoit un peu.

Place aux années 90 dans cette nouvelle saison !! Une décennie tumultueuse pour la royauté notamment le divorce entre Charles et Diana qui prend une place importante dans cette saison !! Comme pour les autres saisons, le rythme n'est pas rapide mais l'interprétation sans faute du nouveau casting fait que l'on ne s'ennuie jamais !! Le nouveau casting est génial notamment Elizabeth Debicki bluffante de ressemblance en Diana !!

Ma note baisse par rapport aux précédentes saisons car le nouveau casting ne ressemble pas assez aux membres de la famille royale. Le prince de Galles en particulier est trop différent de Charles 3. Alors certes, c'est une fiction, seulement tout l'intérêt réside dans sa ressemblance avec l'histoire de la famille royale britannique et le physique est un facteur essentiel. Seul le premier ministre Major est vraiment ressemblant. Cela ne met pas en cause les acteurs qui font bien leur travail, seulement c'est difficile de s'habituer à ces nouvelles têtes. Sinon, il y a toujours une grande qualité dans les dialogues, dans les décors et reconstitutions diverses.

Les saisons se suivent et se ressemblent dans l'exception, cette série reste le joyau de Netflix tant elle subjugue par la qualité de sa réalisation et de son interprétation. Pour cette saison 5, le casting connaît une nouvelle révolution, puisqu'il y a encore un saut dans le temps. Les événements des années 90 sont mis en lumière avec la relation contrariée du Prince Charles et de Lady Di jusqu'à la séparation. D'ailleurs si Dominic West, soit l'acteur qui interprète le 1er est trop charismatique (et antipathique) par rapport à l'original, Elisabeth Debicki est juste parfaite en Lady Di. La couronne garde son pouvoir intact au gré des saisons, et la suite va être passionnante.

Le nouveau casting est assez peu réussi et la saison manque d'un personnage fort comme avaient pu l'être Churchill et Tchatcher. Pas mal de longueurs et quelques passages franchement ennuyeux. Le début de la fin personnifié en fait.