Avis The Crown S4

diana est extraordinaire dans cette série. quelle actrice wow. et Margaret Tatcher pareil mes face a face avec la reine sont dingue de réalisme et de émotion. encore un superbe saison !

on continue à suivre Queen family. Cette saison , on a vu deux personnages féminins Diana et la dame de fer, qui ont mis dans tout son paradoxe , la reine . franchement , quelque soit les personnages , on se prend dans leurs vilaines, désordre, ambiguïté. Mais , sincèrement, cette saison est à charge contre la famille royale , on respecte la reine , mais ............ on a envie de faire descendre les princes de leurs mondes , le seul qui paraît au dessus de la mêlée, mais si coincé est le duc d ' Edimbourg, excellemment joué

Une fracture s'est formée avec cette saison 4, qui me déçoit pour deux raisons principales. D'une part, la revue d'histoire qui faisait la force de la série, est ici bien maigre. A part l'attentat de l'IRA et l'épisode des Malouines, on tourne beaucoup trop à l'intérieur du palais. D'autre part l'interprétation de M. Thatcher est ratée. La lenteur du phrasé de Gillian Anderson est [très] pénible. Les dents serrées de Tobias Menzies (Philip) me fatiguent aussi. Sinon il reste encore une réalisation au poil, la bande son et Olivia Colman, the Queen, à qui il aura fallu deux saisons pour nous faire oublier la merveilleuse Claire Foy.

La saison 4 revitalise très largement la série, grâce à ses deux personnages féminins phares, très réussis et particulièrement bien castés! Les standards sont à nouveau très élevés!

Avec les années Thatcher pour fond et l'émergence de Diana Spencer au sein de la famille royale, cette saison ne manque pas d'arguments.
Avec un épisode axé sur les difficultés sociales d'un anglais ordinaire ou celui du conflit médiatique autour du Commonwealth qui ébranla grandement la couronne, Thatcher est au cœur de tous les débats avec une Gillian Anderson implacable.
Dans une période déjà chargée, la saison 4 brosse également un portrait audacieux du Prince Charles et de son mariage avec Diana Spencer, en pleine errance. Tout ne peut être développé, les choix sont limités mais cette saison est bien plus palpitante que la précédente.

The Crown, la série royale qui a succéder il y a déjà quatre ans à Downton Abbey, revient avec un nouveau chapitre disponible depuis le 15 novembre sur Netflix ! Annoncée en grande pompes dès la fin de la précédente, cette quatrième saison retrace la naissance du mythe "Diana", et les relations entre la Première Ministre : Margareth Thatcher (incarnée avec brio par une Gillian Anderson, presque méconnaissable qui succède avec une aisance déconcertante à Meryl Streep, qui avait remporté un Oscar à Hollywood, pour le rôle en 2012) et la reine Elizabeth II.

Toutefois, résumé la saison à ce seul file conducteur, serait réducteur. En effet, cette nouvelle saison fait aussi la part belle au duo Camilla Parker-Bowel (incarnée avec délicatesse par Emerelda Fennel, que vous avez découvert dans Call the Midwiffe) et Charles (toujours incarné avec panache et prestance par Josh'O Connor, que vous avez pu croiser dans le remake d'Emma et la série Les Durells). Nous avions pu apercevoir ce duo dans la saison 3, mais c'est cette nouvelle slave qui nous permet vraiment de le découvrir. On évoque aussi des secrets de famille, et de nombreuses anecdotes qui rendent le tout très consistant. D'ailleurs, c'est ce qui étonne le plus le publique, dans cette nouvelle slave : la façon dont Peter Morgan, le scénariste arrive à mêler avec une adresse incroyable les anecdotes publiques et personnelles de la famille. Rendant une saison presque sans temps morts, et un rythme toujours soutenu. Si bien, qu'il semble très difficile de différencier le vrai du faux, comme on adorait le faire certains médias. Mais dans une fiction, cela passe très bien.

Comparé au saisons précédentes, celle-ci est un chef d'œuvre à elle toute seule ! D'abord dans ces décors et costumes parfaitement reconstituées (surtout ceux de Lady Diana, qui sont troublant de ressemblance) , mais aussi sa réalisation qui semblent à la fois proche des précédentes avec un petit coté de renouveau. L'ajout d'extraits de morceaux pops du moment est très intéressant et apporte quelques choses en plus de la très belle BO de Martin Philipps, qui pour rappel à succéder à Harry Gregson-Williams, en saison 3.

Côté casting, si on en a déjà évoquer certains plus haut, il faut avouez que Olivia Colman reprends sa couronne une ultime fois avec beaucoup de majesté. Peut-être un peu à l'égard, quand la caméra se fixe sur elle on ne peut décidément plus la quittée, elle est fascinante. Tobias Menzies est très en retrait par à apport à la précédente, donc on a du mal à s'y attacher comparée à la saison précédente, Helena Bonham-Carter qui nous avait surpris à beaucoup moins de moment à elle pour brillée, la pauvre si ce n'est dans un épisode. Ces deux acteurs ont vraiment étaient sous-exploités et c'est dommage car il y aurait beaucoup plus à raconter. Erin Doherty est quand à elle parfaite dans son rôle de bout en bout tout comme le petit nouveau qu'on aura fait que croiser Angus Imrie (vu dans The Spanish Princess), même le caméo de Claire Foy nous as fait sourire.

Mais l'autre joyaux de cette saison, c'est évidemment Emma Corrin, l'inconnue dont tout le monde parle et qui incarne Lady Diana. Et là, la presse ne s'y est pas trompée : elle fait un sans faute et c'est rare pour un premier grand rôle. Elle est époustouflante, phénoménale, bluffant dans son costume. De toute les actrices qui ont incarnée la regrettée princesse de Galles, au par avant, C'EST LA SEULE qui ai rendue une image fidèle, complexe proche de la réalité. Rien que pour elle, il faut regarder la saison, elle a réussit à recréer le personnage avec toute ces petits "signes" et "mimiques" avec un naturel décontenançant et le duo qu'elle forme avec Josh O'Connor est bouleversant. Elle a réussit à s'imposer dans la série, en une seule saison, et espérons que sa prestation pleine de grâce lui fera remporter un Golden Globe, car elle le mérite complètement. (Si vous voulais mon avis Elizabeth Debicki bien qu'excellente actrice à du pain sur la planche pour faire mieux que cela !!!)

Il y aurait beaucoup à dire sur cette saison 4 de The Crown et un livre entier n'y suffirait pas. Nous conclurons donc en disant que cette casting va nous manquer surtout Olivia Colman dans le rôle, que la seconde saison sera à la hauteur des précédentes, l'attente est donc très haute pour la prochaine saison et l'avenir de la série et que si la famille et la monarchie des Windsors n'existait pas il faudrait toute le talent, la folie, la sagesse et le génie de Peter Morgan pour l'inventer !

"The Crown" est de retour. Un an après sa troisième saison, voici la quatrième dont la sortie en France a fort opportunément coïncidé avec le deuxième confinement.

On y retrouve tous les personnages qu’on connaissait déjà : la reine bien sûr, impeccablement interprétée par Olivia Colman, son mari, le duc d’Édinbourg, que les réalisateurs n’ont pas voulu dépeindre aussi réac qu’on le dit être, sa sœur Margaret, de plus en plus alcoolique, ses enfants, Anne, la préférée de son père, Charles, le mal aimé, etc.

La saison 4 raconte les années 80, dont les vieux quinquagénaires de mon espèce ont gardé un souvenir vibrant. Elles voient apparaître autour de la reine – comme l’illustre l’affiche de la saison 4 – deux personnalités importantes. D’un côté Margaret Thatcher, Premier ministre de 1979 à 1990, qui engagea le pays dans une révolution libérale qui le guérit de la récession dans laquelle il était englué mais qui en aggrava ses inégalités sociales. L’actrice américaine Gillian Anderson prend un plaisir communicatif à caricaturer la Dame de fer dont l’image sort sérieusement écornée de cet étrillage en règle. Un épisode est consacré au conflit frontal qui l’oppose à la Reine au sujet des sanctions décidées par le Commonwealth contre le régime sud-africain d’apartheid.

L’autre personnalité dont on attendait impatiemment l’arrivée est bien entendu Lady Di. Le parti a été pris de pousser la ressemblance à son paroxysme – comme d’ailleurs pour quasiment tous les personnages de la série. La jeune Emma Corrin s’en sort avec les honneurs, qui réussit à dresser le portrait d’une jeune fille névrosée, projetée trop jeune dans un milieu hostile qui réussit fort bien ses débuts à Balmoral où Philipe l’adoube. Mais elle souffrit bien vite de la froideur de son époux qui ne l’aimait pas et ne l’aimera jamais – même si une visite officielle en Australie laisse apercevoir l’espoir d’une trop courte réconciliation. On assiste à son éclosion et à son accession inattendue – et fort peu méritée – au statut de star planétaire.

Le Prince Charles est sans doute le personnage qui s’en sort le plus mal. D’ailleurs son personnage est devenu un sujet politique outre-Manche. Il faut saluer la prestation de Josh O’Connor dans ce rôle ingrat qui réussit à rendre le prince de Galles à la fois attachant et horripilant. Déjà dans la saison 3, on avait touché du doigt le besoin éperdu d’amour et de reconnaissance dont l’héritier du trône était sevré. Dans la saison 4, on le retrouve indéfectiblement lié à Camilla Parker-Bowles qui fut tour à tour sa première amante puis sa maîtresse – et qui deviendra, on le sait, son épouse après la mort de Lady Di. Marié trop hâtivement à la jeune Diana, de treize ans sa cadette, pour le seule motif qu’il devait à tout prix, à trente ans bien sonnés, convoler en juste noces et donner à la Couronne un héritier, Charles ne connut aucune félicité avec son épouse. Pire, il revécut auprès de Lady Di ce qu’il vivait depuis sa naissance dans l’ombre de sa mère : le douloureux sentiment d’être éclipsé par plus brillant que lui.

Deux saisons restent à tourner dont la diffusion pourrait avoir lieu dès 2021. Le casting en sera entièrement renouvelé. On annonce Imelda Staunton dans le rôle d’une Elizabeth II vieillissante, Dominic West ("The Wire", "The Affair") dans celui du Prince Charles et la vertigineuse Elizabeth Debicki dans celui de Diana. On en salive d’avance…

une saison riches en tensions, turbulences, trahisons et moments très fort pour cette décennie des années 80 !! Le casting est génial avec des acteurs jouant très juste !! Mention spéciale à Gillian Anderson incroyable en Margareth Tatcher !! On a le droit à des épisodes toujours intéressants avec des faits historiques relatés !! Le rythme n'est pas toujours énergique mais voulu pour laisser les acteurs s'exprimer !

Lady Diana est totalement démystifiée dans cette saison. Elle apparaît comme une jeune femme immature, boulimique et qui se fait vomir, d'où sa faiblesse physique. Elle ressent une grande différence entre son adulation par les foules et la froideur de la famille royale. L'autre personnage qui est très présent dans cette saison est Margaret Thatcher présentée comme une femme politique d'exception qui sera reconnue comme telle par la reine elle-même.

Peut-être la saison la plus critique envers la famille royale. Même si elle n'avait pas forcément été épargnée jusqu'à présent, mais plutôt gentiment, le fossé entre la bulle royale et son peuple est particulièrement ici visé. Des séances de chasse aux premiers épisodes, à la position satellite et iconique de Diana, jusqu'à la terre-à-terre dame de fer et l'exposition médiatique qui prend une réelle place dans cette nouvelle époque: la désormais chevronnée Reine d'Angleterre navigue avec hardiesse parmi des éléments impondérables qui fusent de toute part. Toujours réalisée avec un soin extrême de reconstitution, cette 4ème saison se démarque par des interprétations magistrales. En premier lieu, O.Coleman pour sa deuxième saison toujours aussi parfaite, et G.Anderson époustouflante à chaque scène en M.Tatcher. Même si E.Corrin ne se fait pas manger par la Diana qu'elle interprète, l'interprétation tout en mimétisme de J.O'Connor en Prince Charles surpasse le rôle minoré de son personnage dans la réalité. Entre intimité et faits publiques, entre jeux politiques et people assumé, entre faits réels et romance ajoutée, cette 4ème saison emmène encore le spectateur avec passion, rigueur et éclat dans un bijou de réalisation.

Ayant volontairement sauter la 3ème, cette dernière saison connue et ayant reçu l'acclamation aux Emmy's, fut marquer en particulier par l'arrivée de Margaret Thatcher et Lady Diana dans le programme. Des femmes ayant eut un jeu impeccable de la part respective de Gillian Anderson et Emma Corrin qui apporte le coup d'élan à cette série qui manque depuis le début d'énergie dans bien trop de scènes. Une saison ou notre reine et sa sœur ont donc changer d'interprète puisque nous sommes passer des années 50 avec les 2 premières saisons, aux 80/90 en un instant, mais ça n'est pas plus mal. Des jeunes femmes devenues femmes de pouvoir mature et dont les récits de jeunesse ne sont plus qu'un lointain souvenir, ou presque. Changement de cap également avec notre prince Charles qui suite à une enfance marquer par une scolarité chaotique et une relation tout de même avec son père, passe au titre royal et se voit donc la "non joie" d'épousé une femme qu'il avait pourtant dès le premier regard, sut courtisé avec simplicité. Mais c'est une nouvelle fois la preuve que cette série veut montrer la dure réalité de cette famille ne voulant fonctionner uniquement selon les règles légendaires monarchique. Excepter le mariage d'Elizabeth et Philip, les autres ne furent que faussetés et obligations à l'image donc de notre duo royal, leur jeu est à souligner tant la sincérité de cette haine commune est grandissante. Le statut et grade de l'un face à la sensibilité et délicatesse d'une autre. Une saison marquer par la venue au monde de William ou là aussi la relation parentale est d'une évidence d'écart d'intérêt. 4 saisons, 2 interprètes pour une seule reine et sa sœur et comme souligner ci-dessus, 2 actrices pour 2 nouvelles venue impeccable qui m'ont carrément fasciner. Mais globalement, même si cette série montre avec sincérité la vie royal et l'acheminement d'une reine, celle-ci ne fait pas partie de mes favorites pour la simple et bonne raison d'un jeu parfois mou, d'un manque de fond sonore et de nombreuses longueurs, une photo saluer de tous mais qui ne m'à rien fait, un générique par contre royal, sublime et au thème musical virtuose.

Quatrième saison couvrant l’ère Thatcher : « The Crown » demeure une série majestueuse,
avec une excellente réalisation, le jeu des actrices étant stupéfiant de réalisme ; même si au
premier abord la ressemblance n’est pas si évidente (Gillian Anderson en Margaret
Thatcher, Emma Corrin en Lady Diana), on ne peut qu’être immergés par leur
investissement dans leur rôle.
Deux grandes lignes directrices dans cette saison : l’évolution de Lady Diana (et de ses
problèmes naissants dans son couple), et la politique menée par Margaret Thatcher. Ce
n’est que mon humble avis, mais j’aurai préféré que la saison soit un peu plus « politique »
(l’intervention dans les Malouines, la crise irlandaise, ne sont traités que superficiellement),
Lady Diana et ses doutes existentiels étant trop au premier plan à mon goût. Personne n’est
épargné, notamment Charles jaloux de la popularité de Diana.
Moins en sauts de puce que la précédente, avec une réelle continuité dans la narration,
cette saison se concentre plus sur les aspects personnels de la famille royale et la reine
se retrouve de fait au centre du jeu familial et étatique. Certes, la réalisation laisse une
part non négligeable à la fiction, notamment lors de l’épisode 5 : certains pourront le
contester, mais j’ai trouvé qu’au final cela apportait un point de vue subjectif intéressant à la
critique de la politique britannique des années 80, à défaut d’être rentré factuellement dans
le vif du sujet.
« The Crown » reste donc une série très agréable à regarder, de bonne qualité, même si la
saison 4 retranscrit une réalité de manière un peu trop fictive.

C'est toujours très bien réalisé, la bo est vraiment de qualité, les acteurs jouent très bien.

Cependant il y a quand même de sérieux points noirs.
Toujours des problèmes majeurs d'écriture. Tout comme dans la saison précédente, certains personnages semblent souffrir en quelques sortent de schizophrénie:
spoiler: Margaret dans l'épisode 2 de la saison 3, demande à la reine à la fin de l'épisode d'avoir plus de responsabilités, la reine lui dit clairement non. Fin de saison 3, lors de sa tentative de suicide, la reine cède, sauf que là c''est Margaret qui finit par dire que non, la reine doit bosser en solo. Et cette saison 4, rebelote, Margaret pleure pour avoir plus de travail. Alors peut-être que ce n'est pas un problème d'écriture, qu'elle ne savait pas ce qu'elle voulait, mais j'ai un gros doute.

Deuxième point noir, là aussi c'est une habitude depuis la saison 2, la série s'appelle "The Crown", elle est censée être centré sur la Couronne. Je veux bien que lorsqu'il n'y a pas grand chose raconter elle s'égare en politique, cependant je préférerais qu'elle reste centré sur la Couronne quand il y a des choses à dire. En l'occurrence, les différents mariages de la Famille sont à peine évoquer entre deux scènes, de même que les naissances etc... Je ne peux pas croire qu'il y ait si peu à dire sur les autres membres.
Troisième point noir, lié au deuxième, un peu trop d'épisodes sur Diana et Charles, ça ne me dérangerait pas si il ne racontais pas tous plus ou moins même chose au bout d'un moment. Même remarque que plus haut, pourquoi ne pas avoir laissé la place aux autres ?
Quatrième point noir, problème de cast pour certains personnages, Charles en particulier, on n'a pas vraiment l'impression que physiquement il fait bien plus vieux que Diana alors que c'est pourtant bien le cas sur les photos d'époque.

Sinon, petite réflexion vis à vis de cette relation Charles et Diana. J'ai trouvé ça très bien que la série n'est pas vraiment pris parti à ce sujet et essaye de rester plutôt neutre. Au vue de ce qui est montré dans la série et ce qui est écrit sur le sujet, je ne comprend pas pourquoi les gens en veulent à Charles et à Camilla. Mariage arrangé entre deux personnes d'âges et de mentalités bien différentes. Mariage après s'être vu seulement treize fois. Diana qui accapare toute l'attention (merci les médias) par rapport au successeur. Les deux ont souffert, les deux n'ont jamais eu le choix, si il y a quelqu'un à qui en vouloir c'est bien à cette famille de parasite qui n'a rien d'humain et qui n'a apporté que malheur et souffrance à bons nombre de ses membres.

On m'en a dit le plus grand bien! Oui, c'est peut-être pour cela que je reste un peu sur ma faim. N'ayant pas vu les premières saisons, celle-ci nous permet de plonger dans l'ère moderne du règne de la reine. Avec l'arrivée de la princesse Diana (Emma Corrin, bluffante) et de la Dame de fer (époustouflante Gillian Anderson), la monarque se fait voler la vedette.
Alors c'est beau, c'est intense, terriblement bien joué mais la lenteur dessert le propos parfois et le choix des évènements et de leur traitement fait passer pas mal de choses au second plan.
La série, qu'on nous vend comme la plus grande œuvre de Netflix, manque cruellement de rythme.

On a beau connaître les faits, la série est toujours surprenante, passionnante, même à la quatrième saison.
La mise en scène remarquable et très aboutie.
Chaque épisode nous donne envie d’en connaître un peu plus.
Un chef d’œuvre, à ne pas manquer.