Wet Hot American Summer: First Day of Camp : Critiques de la presse
Wet Hot American Summer: First Day of Camp
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,5
19 titres de presse
Entertainment weekly
Uncle Barky
Critictoo
GQ
Hitfix
Paris Match
Pittsburg Post-Gazette
Slate
The Hollywood Reporter
Time
Brain Damaged
RogerEbert.com
Variety
Season One
Sioux City Journal
Le Monde
San Francisco Chronicle
Télérama
Slant Magazine
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Entertainment weekly
par Ray Rahman
[La série] n'est qu'un prétexte pour ses créateurs David Wain et Michael Showalter pour réaliser plus de moments absolument hilarants et absurdes et dignes d'être cités sans fin (plus une imitation ridicule de Reagan) qui feront plus que satisfaire les fans du film.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Uncle Barky
par Ed Bark
Il y a plus qu'assez de moments propices aux éclats de rire pour justifier complètement ce retour inattendu au Camp Firewood, aux alentours de l'été 1981.
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Critictoo
par Maxime
Tour à tour surprenante, consternante, hilarante et touchante, la mini-série réussit en peu de temps à créer un endroit où le récit se fait aussi grotesque que sincère. Les histoires parviennent alors à donner une cohérence qui manquait cruellement au film.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
GQ
par Toma Clarac
Tout est bâti sur une accumulation de gags énormes, dont la moitié au moins tombe à l'eau sans que personne, à commencer par le spectateur ne s'en soucie vraiment. Entrelacs d'intrigues ubuesques, Wet Hot fait délibérément le choix de l'excès, du mauvais goût et de la bonne humeur.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Hitfix
par Alan Sepinwall
Les acteurs - qui avaient l'air trop vieux pour jouer des ados à la base - ont aujourd'hui 14 ans de plus et sont censés paraître plus jeunes de 2 mois. Si certains ont l'air remarquablement similaires (...), ce passage du temps visible chez les autres participe à cette immense blague absurde qui a fait du film une friandise, et rend First Day of Camp très drôle, même si le fait d'étirer un film de 97 minutes en une série de 4 heures (...) transforme davantage l'ensemble en une comédie de groupe inégale.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Paris Match
par La rédaction
Wet Hot American Summer : First day of Camp est une machine qui produit les situations improbables et blagues potaches à la chaîne sans jamais se rouiller. Elle nous fait sourire (ou nous divertit au moins) à presque chacune de ses stupidités, même les plus honteuses... à condition que l'on se laisse totalement embarquer.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
Les fans de l'original sont susceptibles d'aimer cette suite, qui s'améliore au fil des épisodes après une entrée en matière assez terne, et ceux qui se grattaient la tête face au film risquent d'avoir la même réaction avec son prequel en série.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Slate
par Willa Paskin
Les épisodes se déploient dans un excès d'aimable folie (...) Certaines choses vous feront rire, d'autres non, mais tout ceci paraît plutôt bon.
La critique complète est disponible sur le site Slate
The Hollywood Reporter
par Keith Uhlich
Chaque intrigue qui ne fonctionne pas (...) est compensée par une autre qui est hilarante, comme la longue séquence pré-générique dédiée à l'abominable vie professionnelle du professeur remplaçant de fac Henry Newman. On ne sait pas si Wet Hot American Summer : First Day of Camp atteindra, au final, les mêmes sommets de rire que son prédécesseur. Mais peut-être est-ce suffisant si ça vous fait rire par moments.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Time
par James Poniewozik
Heureusement, et au même titre que les rappels de notre inexorable mortalité, Wet Hot American Summer : First Day of Camp est très amusant. Comme l'original (situé le dernier jour d'un camp d'été), c'est une machine faite de parodies pop et de références d'époques bien organisées (...) qui cache un coeur qui bat vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Time
Brain Damaged
par Marine Glinel
On pourrait croire que Wet Hot American Summer : First Day of Camp est vide de sens et est superficielle. (…) Et pourtant, dans sa série David Wain parvient quand même à apporter un peu de coeur et de profondeur, en particulier avec les vrais adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
Même si le rythme n'est pas toujours là, les situations s'enchaînent (...) Wet Hot American Summer : First Day of Camp sera épuisant pour certains et grisant pour ceux qui ont vu le film culte qui précède [la série] une douzaine de fois.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Variety
par Brian Lowry
Ceux dont les projets aux thèmes similaires sont toujours sur la rampe de lancement pourraient faire pire que de jeter un oeil à la feuille de route de Showalter et Wain pour mettre au point leur retour décalé vers le futur.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Season One
par Sophie
L’ambiance du début des années 80 est très bien retranscrite tant au niveau de la musique que des vêtements (…) une série d’été qui s’assume et cette légèreté peut être appréciable.
La critique complète est disponible sur le site Season One
Sioux City Journal
par Bruce Miller
La réussite de Wet Hot American Summer : First Day of Camp dépend de votre amour pour le film original et de votre volonté d'endurer des moments de sécheresse comique avant de tomber sur un geyser (...) C'est juste une occasion de raviver le bon vieux temps.
La critique complète est disponible sur le site Sioux City Journal
Le Monde
par Pierre Serisier
Si une force doit être reconnue à (la série), c'est celle (…) de toujours nous maintenir dans notre zone de confort afin que nous soyons en mesure de rire sans peine. Paradoxalement, c'est ce parti pris qui est également la plus grande faiblesse du film et de la série : son manque d'inventivité et son recours à tous les artifices du genre comme s'il et elle n'étaient qu'une parodie de la parodie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
C'est davantage "Wet Lukewarm American Summer" ["Un été américain humide et tiède"], mais un parfait divertissement crétin pour réchauffer votre propre été américain.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Télérama
par Pierre Langlais
A l'exception de quelques scènes burlesques, on ne tombe pas dans l'ersatz de Y a-t-il un flic avec gags à tous les étages. Pire (ou mieux, selon), les histoires des vrais pré-ados, les "campeurs", se veulent relativement sincères, elles aussi poussives mais clairement touchantes. D'où une étrange impression de nullité crasse, qui rend le visionnage de la série tour à tour soporifique et surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Slant Magazine
par Chris Cabin
Wet Hot American Summer : First Day of Camp est constamment aimable, mais ne touche à rien d'intime ou de révélateur sur le plan personnel, qu'il s'agisse de ses créateurs et de l'industrie, de l'expérience et du développement interpersonnel qui se produit lors de ce type de camps. La série ressemble plutôt à un trip nostalgique, pas tant de l'époque dans laquelle elle se déroule que du film qui lui a donné naissance.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Entertainment weekly
[La série] n'est qu'un prétexte pour ses créateurs David Wain et Michael Showalter pour réaliser plus de moments absolument hilarants et absurdes et dignes d'être cités sans fin (plus une imitation ridicule de Reagan) qui feront plus que satisfaire les fans du film.
Uncle Barky
Il y a plus qu'assez de moments propices aux éclats de rire pour justifier complètement ce retour inattendu au Camp Firewood, aux alentours de l'été 1981.
Critictoo
Tour à tour surprenante, consternante, hilarante et touchante, la mini-série réussit en peu de temps à créer un endroit où le récit se fait aussi grotesque que sincère. Les histoires parviennent alors à donner une cohérence qui manquait cruellement au film.
GQ
Tout est bâti sur une accumulation de gags énormes, dont la moitié au moins tombe à l'eau sans que personne, à commencer par le spectateur ne s'en soucie vraiment. Entrelacs d'intrigues ubuesques, Wet Hot fait délibérément le choix de l'excès, du mauvais goût et de la bonne humeur.
Hitfix
Les acteurs - qui avaient l'air trop vieux pour jouer des ados à la base - ont aujourd'hui 14 ans de plus et sont censés paraître plus jeunes de 2 mois. Si certains ont l'air remarquablement similaires (...), ce passage du temps visible chez les autres participe à cette immense blague absurde qui a fait du film une friandise, et rend First Day of Camp très drôle, même si le fait d'étirer un film de 97 minutes en une série de 4 heures (...) transforme davantage l'ensemble en une comédie de groupe inégale.
Paris Match
Wet Hot American Summer : First day of Camp est une machine qui produit les situations improbables et blagues potaches à la chaîne sans jamais se rouiller. Elle nous fait sourire (ou nous divertit au moins) à presque chacune de ses stupidités, même les plus honteuses... à condition que l'on se laisse totalement embarquer.
Pittsburg Post-Gazette
Les fans de l'original sont susceptibles d'aimer cette suite, qui s'améliore au fil des épisodes après une entrée en matière assez terne, et ceux qui se grattaient la tête face au film risquent d'avoir la même réaction avec son prequel en série.
Slate
Les épisodes se déploient dans un excès d'aimable folie (...) Certaines choses vous feront rire, d'autres non, mais tout ceci paraît plutôt bon.
The Hollywood Reporter
Chaque intrigue qui ne fonctionne pas (...) est compensée par une autre qui est hilarante, comme la longue séquence pré-générique dédiée à l'abominable vie professionnelle du professeur remplaçant de fac Henry Newman. On ne sait pas si Wet Hot American Summer : First Day of Camp atteindra, au final, les mêmes sommets de rire que son prédécesseur. Mais peut-être est-ce suffisant si ça vous fait rire par moments.
Time
Heureusement, et au même titre que les rappels de notre inexorable mortalité, Wet Hot American Summer : First Day of Camp est très amusant. Comme l'original (situé le dernier jour d'un camp d'été), c'est une machine faite de parodies pop et de références d'époques bien organisées (...) qui cache un coeur qui bat vraiment.
Brain Damaged
On pourrait croire que Wet Hot American Summer : First Day of Camp est vide de sens et est superficielle. (…) Et pourtant, dans sa série David Wain parvient quand même à apporter un peu de coeur et de profondeur, en particulier avec les vrais adolescents.
RogerEbert.com
Même si le rythme n'est pas toujours là, les situations s'enchaînent (...) Wet Hot American Summer : First Day of Camp sera épuisant pour certains et grisant pour ceux qui ont vu le film culte qui précède [la série] une douzaine de fois.
Variety
Ceux dont les projets aux thèmes similaires sont toujours sur la rampe de lancement pourraient faire pire que de jeter un oeil à la feuille de route de Showalter et Wain pour mettre au point leur retour décalé vers le futur.
Season One
L’ambiance du début des années 80 est très bien retranscrite tant au niveau de la musique que des vêtements (…) une série d’été qui s’assume et cette légèreté peut être appréciable.
Sioux City Journal
La réussite de Wet Hot American Summer : First Day of Camp dépend de votre amour pour le film original et de votre volonté d'endurer des moments de sécheresse comique avant de tomber sur un geyser (...) C'est juste une occasion de raviver le bon vieux temps.
Le Monde
Si une force doit être reconnue à (la série), c'est celle (…) de toujours nous maintenir dans notre zone de confort afin que nous soyons en mesure de rire sans peine. Paradoxalement, c'est ce parti pris qui est également la plus grande faiblesse du film et de la série : son manque d'inventivité et son recours à tous les artifices du genre comme s'il et elle n'étaient qu'une parodie de la parodie.
San Francisco Chronicle
C'est davantage "Wet Lukewarm American Summer" ["Un été américain humide et tiède"], mais un parfait divertissement crétin pour réchauffer votre propre été américain.
Télérama
A l'exception de quelques scènes burlesques, on ne tombe pas dans l'ersatz de Y a-t-il un flic avec gags à tous les étages. Pire (ou mieux, selon), les histoires des vrais pré-ados, les "campeurs", se veulent relativement sincères, elles aussi poussives mais clairement touchantes. D'où une étrange impression de nullité crasse, qui rend le visionnage de la série tour à tour soporifique et surprenant.
Slant Magazine
Wet Hot American Summer : First Day of Camp est constamment aimable, mais ne touche à rien d'intime ou de révélateur sur le plan personnel, qu'il s'agisse de ses créateurs et de l'industrie, de l'expérience et du développement interpersonnel qui se produit lors de ce type de camps. La série ressemble plutôt à un trip nostalgique, pas tant de l'époque dans laquelle elle se déroule que du film qui lui a donné naissance.