La série est adaptée des bandes dessinées éponymes de l’écrivain américain Jonathan Maberry, publiées en 2012.
Après avoir passé huit ans dans la peau du vampire Damon Salvatore dans Vampire Diaries, Ian Somerhalder a d’abord refusé le projet, avant d’être convaincu par la lecture des bandes dessinées originales. "V Wars a une ambition tellement différente de Vampire Diaries. Elle est incroyablement pertinente et opportune car elle traite en grande partie de ce que nous voyons tous les jours : la maladie, les frontières, la politique, la peur, la confusion, les médias et la mauvaise volonté.", a-t-il souligné.
La métaphore écologique de la série a attirée Ian Somerhalder, connu pour son engagement pour la protection de l’environnement. En effet, celui-ci a fondé la Foundation Ian Somerhalder en 2010, qui s'assure notamment du bien-être animal et de la sensibilisation auprès des jeunes générations.
Fort de son expérience sur Vampire Diaries, Ian Somerhalder s’est investi sur V Wars en tant que producteur délégué et réalisateur. En effet, il est passé derrière la caméra à l’occasion du neuvième épisode de la saison 1, intitulé "The Junkie Run of the Predator Gene" (Un petit fix de gène prédateur en VF). Très pris, Ian Somerhalder a pu compter sur le soutien de sa famille, à commencer par son épouse Nikki Reed. "Elle m’a fait une énorme faveur. Elle est venue pour jouer dans quatre épisodes, livrant une performance incroyable avant de retourner à la direction de son entreprise. C’est une rock star.", témoigne-t-il.
La série marque les retrouvailles des deux créateurs William Laurin et Glenn Davis, qui ont déjà travaillé ensemble sur Aftermath, Missing: disparus sans laisser de trace ou encore South Beach. Par ailleurs, les comédiens Laura Vandervoort et Greg Bryk se sont déjà donné la réplique dans Bitten et Rabid.