Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Les scénaristes Marie Deshaires et Catherine Touzet ont su, avec une constance sans faille, maintenir le maillage serré entre l’intrigue, l’étude de caractères et la déflagration qu’engendre la disparition de la jeune fille sur son entourage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
DailyMars
par Flore Di Sciullo
Ce qui fait surtout de cette série une réussite, c’est aussi son rythme. Parvenant efficacement à mener d’une part l’enquête sur la disparition de Léa par différents rebondissements, et d’autre part en construisant différentes trames parallèles.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Première
par Nicolas Bellet
Le casting de Disparue, à défaut d’être toujours excellent, reflète une cohérence qui procure de fait à la série un pouvoir empathique indéniable. (…) la nouvelle série de France 2 mérite amplement un visionnage assidu, même si l'on n'est pas devant Broadchurch.
La critique complète est disponible sur le site Première
Arte
par Manuel Raynaud
Disparue reste assez émouvante même si le sentiment général de désespérance, qui est plutôt bien retranscrit par ailleurs, est parasité par la construction des personnages de la police.
La critique complète est disponible sur le site Arte
Télé Loisirs
par Philippe Guedj
On ne peut pas dire que Disparue soit au taquet de l'originalité (…) Cela dit, la qualité de l'interprétation, une certaine efficacité du récit – qui enchaine régulièrement les rebondissements – et un rendez-vous plutôt réussi avec l'émotion font que Disparue ne s'égare pas trop jusqu'à son dénouement.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Isabelle Poitte
L'intrigue, des plus classiques, repose tout entière sur le soin apporté aux personnages, êtres prétendument ordinaires qui, dans l'adversité, dévoilent leur part d'ombre (souvent épaisse) et leur capacité de résistance. Certains sont particulièrement réussis et subtils, comme Florence, la mère (Alix Poisson, très juste), bouleversante dans son obstination à rester debout. Mais ce souci de réalisme et de nuances psychologiques se greffe assez mal à une narration trop mécanique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Les scénaristes Marie Deshaires et Catherine Touzet ont su, avec une constance sans faille, maintenir le maillage serré entre l’intrigue, l’étude de caractères et la déflagration qu’engendre la disparition de la jeune fille sur son entourage.
DailyMars
Ce qui fait surtout de cette série une réussite, c’est aussi son rythme. Parvenant efficacement à mener d’une part l’enquête sur la disparition de Léa par différents rebondissements, et d’autre part en construisant différentes trames parallèles.
Première
Le casting de Disparue, à défaut d’être toujours excellent, reflète une cohérence qui procure de fait à la série un pouvoir empathique indéniable. (…) la nouvelle série de France 2 mérite amplement un visionnage assidu, même si l'on n'est pas devant Broadchurch.
Arte
Disparue reste assez émouvante même si le sentiment général de désespérance, qui est plutôt bien retranscrit par ailleurs, est parasité par la construction des personnages de la police.
Télé Loisirs
On ne peut pas dire que Disparue soit au taquet de l'originalité (…) Cela dit, la qualité de l'interprétation, une certaine efficacité du récit – qui enchaine régulièrement les rebondissements – et un rendez-vous plutôt réussi avec l'émotion font que Disparue ne s'égare pas trop jusqu'à son dénouement.
Télérama
L'intrigue, des plus classiques, repose tout entière sur le soin apporté aux personnages, êtres prétendument ordinaires qui, dans l'adversité, dévoilent leur part d'ombre (souvent épaisse) et leur capacité de résistance. Certains sont particulièrement réussis et subtils, comme Florence, la mère (Alix Poisson, très juste), bouleversante dans son obstination à rester debout. Mais ce souci de réalisme et de nuances psychologiques se greffe assez mal à une narration trop mécanique.