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    Gomorra
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    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 1
    5,0
    Publiée le 17 mars 2021
    Le clan Savastano règne sans partage sur la Camorra napolitaine en contrôlant le marché de la drogue du quartier de Scampi. Le fils du chef Pietro, Gennaro, immature à peine sorti de l'adolescence est destiné à être son successeur. Ce dernier a pour ami Ciro, orphelin et miraculé de la vie, tueur pénitent impitoyable à la recherche de la rédemption, que Pietro destine à être le numéro 2 du clan pour seconder son fils lorsqu'il passera la main. Les rivalités pour le contrôle et la revente entraînent régulièrement des règlements de compte entre clans rivaux.
    Les frasques de Genna vont amener à l'arrestation fortuite de Pietro, chef vieillissant.
    Dès lors, comprenant la nécessité urgente de passer la main à son successeur pour faire fonctionner les affaires, Pietro depuis sa prison demande à sa femme Imma que Ciro aide Genna à s'émanciper afin de gagner en maturité.
    Mais Imma la mère de Genna ne l'entend pas de la même oreille et dans l'épisode pivot "le hurlement de la lionne", elle décrète à l'insu de Pietro que Ciro ira en Espagne conclure un accord de paix avec le clan rival Conte et que Genna ira en Amérique centrale au Honduras afin de faire des affaires avec les narco trafiquants.
    Cette double manoeuvre est en réalité un stratagème pour que Genna quitte le cocon familial le temps de devenir un homme et s'éloigne de Ciro. Cet acte d'instinct maternel d'Imma aura pour conséquence de provoquer des tensions avec Ciro dès son retour d'Espagne. Imma rétrograde les attributions de Ciro qui se voit confier la tâche subalterne de chef de la nouvelle place de deal de Scampi. A partir de ce moment incompréhension et méfiance s'installent et provoquent des tensions croissantes.
    Pendant ce temps, Genna qui est revenu d'amérique centrale et qui a servi de monnaie d'échange s'est métamorphosé entièrement, s'est endurci par sa séquestration chez les narco-trafiquants. Les retrouvailles entre Ciro et Genna s'effectuent dans un contexte tendu provoqué par cette séparation volontaire voulue par Imma.
    Imma et son fils réclame l'ensemble des fonds de son mari au comptable de la famille, Franco Musi. Mais celui-ci l'a investi dans des placements à perte difficiles à récupérer. Sachant dès lors sa vie menacée le comptable use de subterfuges pour récupérer l'argent, puis met fin à ses jours.
    Les vraies desseins de Ciro et Genna vont vite se dévoiler. La violence à nue se déchaînera entre les factions rivales, entre les anciennes et les nouvelles générations. Les règlements de compte se multiplient.
    Ciro manipule ceux qui doutent de la sincérité de Genna et en profite pour les rallier à sa cause. Il décrétera une scission du clan Savastano pour pouvoir exercer une opposition contre Genna, pour se venger du mépris d'Imma à son égard.
    Imma découvre le stratagème de Ciro qui a ordonné le meurtre de Russo l'homme de main de Conte, sans l’accord de Genna. Il s'agit en fait d'un prétexte de Ciro pour déclencher rapidement une guerre entre les Savastano et Conte. Afin de soustraire à Imma les informations vitales qui le compromettrait en le mettant en danger de mort, Ciro ordonne l’assassinat d'Imma en se débarrassant des preuves compromettantes sur l'organisation du meurtre de Russo. Mais Genna découvre un double de l'enregistrement qui implique Ciro dans le meurtre de sa mère. La guerre totale est déclarée entre Genna et Ciro.
    Ciro et ses hommes déciment entièrement la garde rapprochée de Genna dans un guet-apens. Pour se venger Genna provoque les armes à la main Ciro dans une église où a lieu une chorale dans laquelle participe la fille de Ciro. Le carnage est évité mais Genna est abattu par Ciro qui le laisse pour mort. En fait Genna est blessé gravement et survivra. Entretemps Pietro le père de Genna est libéré par ses hommes lors d'un transfert de prison. Il est mis en sûreté dans les environs de Naples...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 mars 2017
    ma deuxièmes série préférée après les Sopranos cultes de saison en saison sa s'essouffle pas magnifique série
    PL4NCHE
    PL4NCHE

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 22 mars 2020
    La série est incroyable. Bourré de suspense. Nous sommes plongés dans la bouillante mafia Napolitaine.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 6 mars 2016
    En deux mot chef d'œuvre j'ai passé un très bon moment je me suis pas ennuyé une seule fois merci beaucoup gomorra
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 mars 2018
    Recréation de compte oblige, cela sera ma seconde critique avec ce pseudo et elle sera surtout utile à ceux qui ont envie de regarder cette série dont la saison 3 est disponible sur Canal depuis quelques jours. Gomorra…

    Pour commencer, je ne comprends absolument pas l'intérêt qu'ont certains ou certaines à venir mettre des notes ou des critiques carrément acerbes sur cette série. Je doute même parfois qu’ils l’aient regardé ou qu’ils se soient renseigné sur les faits, sur la construction, sur l’histoire. Fans dans l’attente continuelle d’effets spéciaux ou de fiction, de blockbusters américains, d’histoires amoureuses platoniques, passez bien sûre votre chemin sans vous retourner…

    Critiquer en se basant seulement sur la bande son, l'environnement restreint, le doublage...tout à la fois peut-être…mais surtout en évacuant totalement le contexte général ne permet effectivement pas de s’immerger. Et je veux bien l’admettre. L’environnement « local » ne fait pas rêver...il représente une prison à ciel ouvert dans laquelle les protagonistes sont livrés à eux-mêmes…on les suit entre immeubles, hangars, coins sombres, terrains vagues, cages d’escaliers.. toujours cette crasse et cette couleur éclatante et obscure qui assombrissent l’ambiance. Les protagonistes passent de vie à trépas pour une erreur, une vengeance, une dette Ils ne doivent inspirer au téléspectateurs aucune sorte d’empathie. C’est là tout le paradoxe, on se prend à s’attacher au « moins pire » alors que c’est un criminel qui a au moins blanchi de l’argent, au pire exécuté quelqu’un.. mais dans tous les cas un rouage du crime organisé qui peut être remplacé par un autre à l’infini sans perturber l’ensemble.…c’est un raccourci mais c’est pourtant bien là le sel de la série : qu’on ait le pouvoir ou pas, la vie ne tient qu’à un fil ou à la décision d’autrui d’y mettre fin.
    Ignorer presque toute la recherche existante et les investigations menées autour de l’œuvre général de Stefano Sollima , des livres à la série en passant par le film éponyme, est presque une insulte à son travail.
    Si la série reste justement dans cette lignée, sans vouloir plaire à qui elle ne plaira jamais et sans s’écarter d’une vision bien répétitive de la vie et bancale mais tellement criante de réalisme, alors, elle pourra durer longtemps…en Italie certainement, en France aussi, j’y reviendrai…

    Ne serait-ce que par rapport à la recherche et à la grande proximité entre la réalité et cette série, celle-ci mérite déjà 3 étoiles minimum. Pourquoi ? Je vais étayer mes réponses ci-dessous et développer mes arguments.

    Tout d'abord, le contexte général. C’est Naples. Qu’est ce que Naples ? Et bien ce n’est pas qu’une ville qui borde la mer Méditerranée à côté du Vésuve et proche de Pompei. Ce n’est pas une station balnéaire comme tant d’autres. Naples, c’est le sud très pauvre d’une Italie coupée en deux, le Nord et le Sud au niveau de Rome. Passons le cliché Italie du Nord riche et Italie du Sud pauvre, attardons nous sur l’image général renvoyé par la série. Celle-ci ne perd pas de temps à nous montrer les beaux quartiers, les belles villas et les plages de la ville dans sa première saison. La série ne cherche pas à nous séduire ou attirer un public amoureux de l’Italie des vacances. La série est faite pour montrer la réalité des quartiers de Naples contrôlés non pas par la « mafia » rutilante comme on peut l’imaginer dans ses fantasmes mais par des groupes, des familles. Dans Gomorra, on part du bas de l’échelle. La saison 1, démarre avec les petits soldats, les guetteurs, les dealers qui travaillent dans l’intérêtt d’une famille qui contrôle principalement la zone de Scampia et Secondigliano. Ce sont des quartiers pauvres, extrèmement défavorisés ou le chômage explose et ou le gagne pain pour de nombreux jeunes est de faire du business, de faire de l’argent en commençant tout en bas de la hiérarchie. Vol de voiture, revente, guetteur, recel, trafic d’arme, trafic de drogue surtout…la drogue est internationale…la cocaïne est un « carburant » comme Stefano Sollima l’a décrite dans un livre et plus que le pétrole, les bijoux ou les pierres précieuses, la cocaïne est partout et le besoin existe partout. On évolue avec les personnages en passant aux différents capi des places de deal qui tiennent ces jeunes pousses. Ces jeunes pousses qui auront fait leur arme seront ensuite soit éliminé, soit à leur tour capo du quartier et de la place de deal. Puis vient le moment de gloire pour la plupart de se faire appeler Don ou Donna, marque de respect, dans la saison 2…souvent cette gloire est un sommet suivi d’une décadence souvent fatale. Ce début en tout cas est fait de manière à nous laisser penser que Don Pietro Savastano et sa famille sont les patrons, les rois, des nantis. Qu’ils seront invincibles et que rien ne bougera. C’est l’erreur qu’on fait si on ne s’est pas documenté (d’ailleurs, est-on obligé de se documenter avant de regarder une série). La vérité est que, dans la réalité comme par la suite dans la série, cette famille, ce clan est seulement un rouage. Une belle maison, des hommes de mains et une poigne de fer. Elle ne contrôle pas Naples. Elle ne contrôle pas la région. Elle ne contrôle pas l’Italie. Elle n’a même pas le luxe et le train de vie de la famille Corleone dans la saga « Le Parrain ».. Il y a un chef au niveau de chaque strate. Un quartier de Naples est contrôlé par un clan, un autre par un autre clan. Naples est contrôlé par un gros bonnet. Et ce même gros bonnet fait partie d’un rouage qui l’amène à rencontrer les autres rouages des régions aux alentours. A faire prospérer les affaires, respecter les accords et ainsi de suite de par le monde…dans la série on parle de l’Espagne, du Honduras…de l’Allemagne…mais dans la réalité c’est aussi la Colombie, le Mexique, les Etats-Unis, la France, les balkans. Le contexte est donc sale, crasseux, angoissant et oppressant…les règlements de compte omniprésents, les assassinats et les pertes humaines nombreuses. Oui. Et c’est bel et bien la réalité et plus qu’inspiré de la vie réelle. Naples n’est pas Beverly Hills. Y vivre est peut-être encore bien pire que le voir dans une série.

    Ensuite la série s’inspire largement de faits réels. Certes, pour des raisons d’enquêtes en cours ou de risques de diffamation, les personnages ont des noms fictifs et sont même physiquement différents de ceux qui ont existé dans ces quartiers. Là ou l’on a des personnages séduisants, propres sur eux voir charismatiques et classe comme le regretté Salvatore Conte, la vie de Naples a vu mettre en prison des hommes parfois petits, trapus, pas toujours des gueules d’ange. Là ou Donna Ima est une belle femme, impeccable comme Scianel ou Patrizia spoiler: la messagère
    , les femmes qui ont pu être arrêtées et condamnées ont fait preuve de violence, de vulgarité et n’était pas forcément sur des proportions de top modèles ou habillés par les plus grandes marques. Un des boss de la mafia récemment décédé, Toto Riina, n’avait pas forcément l’allure d’un Robert de Niro ou Al Pacino. Mais il avait le respect pour avoir gravi tous les échelons de la criminalité en passant par les petits délits, la prison et puis ensuite les affaires et souvent de façons plus ou moins expéditives… Mais la situation dépeinte dans la série, elle, a bel et bien existé. Cette guerre de quartiers, cette scission dans le clan à Secondigliano a bien eu lieu au milieu des années 2000. Les meurtres et règlements de compte avec leur lot de victimes collatérales. Et comme dans la série, la police ne représente qu’une menace diffuse seulement en dehors du quartier. A plus hautes échelles, ce sont de grandes enquêtes qui peuvent faire capoter une partie des affaires, vaciller un tout petit peu le système. Mais jamais tout.
    Les lieux sont bien réels, il suffit de faire quelques google map voire pour les plus courageux de s’y rendre pourquoi pas. Le réalisateur n’est pas là pour montrer le bord de la côte amalfitaine avec une histoire amoureuse de gens qui marchent main dans la main, les enfants qui font des châteaux de sable et le chien qui courre dans l’eau. Il se rapproche et nous amène au plus près de la situation. Quand on fait une parenthèse avec la France dont je parlais en préambule, Grenoble ou Marseille ont récemment connu des épisodes de violences.. Un commissaire de police ou un magistrat a d’ailleurs dépeint la situation comme celle de la série « Gomorra » pour Grenoble. Cela n’a rien d’étonnant. Pour ceux qui vivent de près ou de loin dans ces villes, le niveau de pauvreté n’est pas le même qu’à Naples, mais c’est tout de même sur place, en bas de chez eux, de nombreuses places de deal et des règlements de comptes qui finissent dans les médias nationaux.

    Enfin, la réalisation générale s’avère très correcte. C’est une série italienne, pas américaine et pourtant la qualité visuelle n’en souffre pas. On est bien au dessus de nombreuses séries françaises en terme d’image…. C’est lisse, fluide et les gestes des protagonistes sont filmés de façon nerveuse. Une tension se crée immédiatement car nous ressentons souvent la tension des personnages au travers de leur mouvement, leur quotidien. L’image est faite pour nous immerger sans artifices superflus. Les couleurs, même souvent sombres, collent parfaitement à la noirceur du récit. L’obscurité ne nuit pas à notre vision des choses comme dans de nombreux films d’horreur à l’époque ou nous ne voyons rien dans les scènes peu éclairées. Les images de nuit auraient tendance à me faire penser au 3 films American Nightmares pour ceux qui connaissent, une production américaine qui se passe de nuit avec beaucoup de mouvement. On est au moins à ce niveau. Tantôt nous marchons de nuit dans des endroits ou des rues éclairées par quelques néons verts, bleus, quelques phares de voitures…tantôt nous sommes en journée éclairé par un soleil qui met en évidence des décors poussiéreux et bétonnés. Le tour de force visuel est réussi, il était de nous plonger littéralement dans ces milieux hostiles et c’est réussi selon moi.
    A l’oreille, je reconnais une faiblesse dans le doublage français. Les voix ne sont pas toujours bien choisie comparées à la version italienne. Don Pietro a une voix un peu nasillarde alors que dans la version italienne, il a une voix plus grave. Ce bémol gâche un peu le jeu des acteurs mais pour ceux qui maitrisent un peu l’Italien, regarder la VO donne un cachet supplémentaire. Après s’y être habitué, on peut juste souhaiter que la distribution française ne s’amuse pas à changer les doubleurs. J’ai en tête le dernier loupé français en date dans Malavita, film ou De Niro n’a pas son doublage habituel et ça fait mal aux oreilles.
    La bande son, excellente elle, colle au décor. Le rap italien est très présent car le c’est une musique urbaine et là, on est dans un paysage urbain. Je trouve que c’est bien senti. Le rap est une musique sauvage et le contexte est sauvage. Speed et nerveux. On hésite pas à mettre de la musique quand les protagonistes se déplacent en voiture et ça permet un temps de sortir, comme le personnage, du quotidien par la musique. Pour le reste, les thèmes générique choisis et les sons font monter l’adrénaline dans les situations de stress, d’angoisse et je trouve ça plutôt bien senti en général…quand un personnage est en phase d'intrigue ou de recherche arme à la main avec ce fond sonore électrique et que son adrénaline monte, la nôtre aussi. Pour ma part, lorsque l’on est sur certaines scènes, je ressens la tension. Malgré le CV des personnages et leur lourds passifs, je dirai qu’on angoisse pour eux, on se demande ce qu’il va leur arriver dans ces séquences ou le fond sonore est oppressant. Une franche réussite.

    Pour conclure, et même si nous en sommes qu’à la 3ème saison, je mets 5 étoiles pour cette série au travers de tout ce que je viens de citer. Cela n’engage que moi. Tous ceux qui se penchent sur ce genre de sujet, qui ont aimé les différentes œuvres cinématographiques sur la pègre et ses filières ou les documents, livres , essais ayant attrait à la série savent que la réalité est moins policé et encore plus complexe. Néanmoins on retrouve tous les ingrédients permettant de s’immerger rapidement et efficacement et ça marche ! Pour le moment ! La qualité de l’œuvre, ne serait-ce qu’au travers de la mine d’information qu’elle a nécessité aux créateurs, mérite le détour ou le coup d’œil ou sinon, plus simple encore, un coup de chapeau à Stefano Sollima et son équipe . Pour le reste, à vous de juger !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 2 février 2015
    Une chef d'oeuvre qui monte crescendo au fil des épisodes, à regarder en VO pour plus de réalisme, la VF étant très mal faite pour les personnages principaux, sinon le scénario, les musiques, tout y est. Un régal pour les adeptes de série/film de ce genre.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 26 mars 2015
    Native de Napoli, ayant vécue à Scampia, je suis ravie de voir ces "beaux" paysages.

    Gomorra est une série très bien réalisée, je l'ai vue en VO et en VF, il est plus intéressant de la regarder en VO (italien/napolitain) mais la VF reste correcte !

    Les deux premiers épisodes sont un peu long dans le sens où nous apprenons à connaitre les personnages, mais la suite est fabuleuse.

    Je n'aimais pas trop les séries/films sur le monde de la mafia/gangster mais celle-ci est fabuleuse.

    Un véritable chef d’œuvre réaliste (assez dur d'ailleurs) que je conseilles à tous.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 24 décembre 2017
    Je ne suis d’ordinaire pas un grand fan d’histoires de gangster et de mafia, mais je dois dire que cette série est vraiment captivante. L’atmosphère est authentique et on respire, on vit le Naples très sombre à travers l’écran. Les acteurs sont napolitains et parlent le napolitain (une série à voir en VO absolument), certains acteurs comme, O’Track, retranscrivent à l’écran ce qu’ils ont vécu et vu dans ces quartiers, ce qui donne ce coté réaliste et quasi documentaire à la série. (D’ailleurs un docu très intéressant sur Arte « les baby boss de la camorra », aborde le sujet). Alors oui c’est une série très violente, avec meurtres, coups bas, trahisons, guerre de gangs etc., qui exagère ou qui amplifie peut être un peu le phénomène pour le spectacle. Mais c’est vraiment bien scénarisé, bien filmé et surtout bien joué. J’ai beaucoup aimé les deux premières saisons, qui sont du niveau de Narcos, j’attends la troisième avec impatience, dont le premier épisode vient de sortir en Italie.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 mai 2019
    Cette série est juste INCROYABLE ! Je conseil fortement. Suspens et tension assuré tout au long de la série !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 7 octobre 2015
    sa change de certaine serie americaine ou on connait le debut a la fin
    vahncleef
    vahncleef

    2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Pour moi une des meilleurs séries drame / policière créé.

    Gomorra vous entraînes dans le monde impitoyable de la mafia Napolitaine pleine de drogue, trahison et meurtre.

    Les acteurs tiennent parfaitement leurs rôles et sont très convainquant. Quant au décor, il est vraiment très représentatif de la banlieue de Naples. Personnellement je regarde ce programme sur les chaînes italienne mais attention, avis au amateur de VO la langue parlé est du Napolitain (dialecte).

    En résumé, une très bonne série qui mérite d’être vue en français comme en VO
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    Mais sérieux quel chef d'oeuvre cette série ( surtout la saison 1 et 2 qui sont épique ) tout est parfait l'intrigue, les personnages, les rebondissements le travail sur les décors, l'ambiance est folle.
    Je me suis matté la saison 1 et 2 aux moins une dixaine de fois tellement ciro, le clan savastano et tous les autres persso secondaires sont admirablement travaillé.
    Franchement foncé les yeux fermés.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2016
    Un chef d'œuvre, la saison à du mal à démarrer mais ensuite c'est que du bonheur ! À regarder si possible en VO
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 3
    1,5
    Publiée le 24 janvier 2018
    J'avoue que les 5 ou 6 premiers épisodes sont superbes ! Et puis ça se calme un peu pour ensuite devenir plutôt incohérent et finalement finir cette 3 ième saison avec la plus mauvaise fin qui puisse exister pour une série !
    Comment gâcher 1 mois en 3 minutes !
    Ils nous ont habitués au revirement , à l'imprévisible mais la en plus c'est n importe quoi avec une bande de jeunes hypser à la tête de la mafia napolitaine !
    Esperons que la 4 redevienne plus classique.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2017
    Génial a voir j'attend avc impatience la season 3
    Les 2 premières saisons sont juste a couper le souffle
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