Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Télé 2 semaines
par Paul Serry
Une passe d’armes réjouissante entre deux acteurs en grande forme.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Le Figaro Magazine
par La rédaction
Pour son retour à la télévision américaine après Homeland, le britannique Damian Lewis se laisse entraîner dans ce thriller financier survitaminé. (…) Billions nécessite de s’accrocher pour suivre les rebondissements boursiers et légaux. Mais le face-à-face entre le retors Lewis et Giamatti est de haute volée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Première
par Charles Martin
Même si elle ne bouleversera pas notre vision du monde de la finance (comme sait le faire par exemple le film The Big Short), Billions offre une nouvelle plongée très intéressante dans les coulisses de Wall Street, où on gagne des millions de dollars en quelques secondes. Les créateurs, Brian Koppelman et David Levien (à qui l'on doit l'affreux Ocean's Thirteen), ont eu la bonne idée s'associer à un journaliste économique du New York Times, Andrew Ross Sorkin. Cela donne à la série une vraie valeur ajoutée réaliste, à la fois troublante et fascinante, qui permet de trancher avec l'aspect un peu soap vers lequel Billions penche parfois dangereusement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Paul Serry
La série ne brille pas toujours par originalité. Elle n’en reste pas moins addictive, grâce à la qualité de son casting et au rythme du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Monde
par Stéphane Lauer
L’adaptation que fait Billions du monde cruel et désincarné de la spéculation ne recule devant rien pour attirer le chaland en tentant de lui donner un peu de chair.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
DailyMars
par Yann Kerjan
Il faut tout de même reconnaître que Billions est, en soi, une prise de risque non-négligeable, pour avoir fait le choix de décrire un univers pas franchement spectaculaire, ou tout du moins dont les tensions ne sont pas les plus simples à retranscrire. (…) le problème avec la métaphore du matador, c’est qu’une fois que les deux protagonistes principaux auront martyrisé le taureau à tour de rôle, on ne voit pas comment la bête pourrait ne pas s’essouffler rapidement.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Critictoo
par Carole
Billions utilise des artifices peu inspirés pour pimenter ses premiers épisodes en attendant de trouver son rythme. Dès lors que l’équipe créative se détache de ses excès narratifs, les qualités se font plus visibles et laissent voir une série qui pourrait être plus agréable à regarder.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Télérama
par Pierre Langlais
Préférant le soap et les excès à une plongée subtile dans les arcanes de la finance, ce thriller sur fond de délits d'initiés vaut surtout le détour pour Damian Lewis et Paul Giamatti. (…) Pour peu que Billions embrasse pleinement sa nature de soap, ose les rebondissements, les pièges, les tromperies, tout cela sur fond de finance, elle pourrait devenir un plaisir pas si coupable que cela. Mais rien ne dit que cela suffira à nous faire oublier la série d'auteur exigeante que nous attendions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé 2 semaines
Une passe d’armes réjouissante entre deux acteurs en grande forme.
Le Figaro Magazine
Pour son retour à la télévision américaine après Homeland, le britannique Damian Lewis se laisse entraîner dans ce thriller financier survitaminé. (…) Billions nécessite de s’accrocher pour suivre les rebondissements boursiers et légaux. Mais le face-à-face entre le retors Lewis et Giamatti est de haute volée.
Première
Même si elle ne bouleversera pas notre vision du monde de la finance (comme sait le faire par exemple le film The Big Short), Billions offre une nouvelle plongée très intéressante dans les coulisses de Wall Street, où on gagne des millions de dollars en quelques secondes. Les créateurs, Brian Koppelman et David Levien (à qui l'on doit l'affreux Ocean's Thirteen), ont eu la bonne idée s'associer à un journaliste économique du New York Times, Andrew Ross Sorkin. Cela donne à la série une vraie valeur ajoutée réaliste, à la fois troublante et fascinante, qui permet de trancher avec l'aspect un peu soap vers lequel Billions penche parfois dangereusement.
Télé Loisirs
La série ne brille pas toujours par originalité. Elle n’en reste pas moins addictive, grâce à la qualité de son casting et au rythme du scénario.
Le Monde
L’adaptation que fait Billions du monde cruel et désincarné de la spéculation ne recule devant rien pour attirer le chaland en tentant de lui donner un peu de chair.
DailyMars
Il faut tout de même reconnaître que Billions est, en soi, une prise de risque non-négligeable, pour avoir fait le choix de décrire un univers pas franchement spectaculaire, ou tout du moins dont les tensions ne sont pas les plus simples à retranscrire. (…) le problème avec la métaphore du matador, c’est qu’une fois que les deux protagonistes principaux auront martyrisé le taureau à tour de rôle, on ne voit pas comment la bête pourrait ne pas s’essouffler rapidement.
Critictoo
Billions utilise des artifices peu inspirés pour pimenter ses premiers épisodes en attendant de trouver son rythme. Dès lors que l’équipe créative se détache de ses excès narratifs, les qualités se font plus visibles et laissent voir une série qui pourrait être plus agréable à regarder.
Télérama
Préférant le soap et les excès à une plongée subtile dans les arcanes de la finance, ce thriller sur fond de délits d'initiés vaut surtout le détour pour Damian Lewis et Paul Giamatti. (…) Pour peu que Billions embrasse pleinement sa nature de soap, ose les rebondissements, les pièges, les tromperies, tout cela sur fond de finance, elle pourrait devenir un plaisir pas si coupable que cela. Mais rien ne dit que cela suffira à nous faire oublier la série d'auteur exigeante que nous attendions.