Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Brain Damaged
par Aissatou Loum
Ballers reste une série d’été, sous le soleil de Miami, qui devrait se laisser regarder sans trop de problèmes mais avec une certaine profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Critictoo
par Carole
On pourrait dire que la création de Stephen Levinson est simplement Entourage dans le milieu sportif, et s’arrêter là (…) L’ensemble est terriblement superficiel, mais parvient à laisser entrevoir un pan humain plus présent qu’on ne pouvait le concevoir au départ.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
La série parvient en revanche à endosser un costume étonnant que l’on qualifiera de 'tragique bling', quand des mastards qui ont vécu sur l’adrénaline des matches pendant des années se retrouvent à la retraite à 30 ans et des poussières. Le plus intéressant dans les premiers épisodes concerne l’un d’eux, devenu vendeur de voitures alors qu’il s’ennuie dans son immense villa. Cela ne suffit pas encore à faire de Ballers un attrape-cœur, mais donne envie d’habiter ce monde encore un peu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
Format comique, monté nerveusement, divertissant, plein de soirées et de blagues décontractées à défaut d'être toujours tordantes, la série ne serait qu'un apéritif sans conséquences, vite oublié, s'il n'y avait la part de mélancolie portée par Strasmore – et par Dwayne Johnson, dont le corps bodybuildé devient douloureusement impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
DailyMars
par Flore Di Sciullo
A force de tout faire reposer sur ses épaules (très large, il faut le reconnaître), Ballers prend le risque de devenir aussi superficielle que ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Brain Damaged
Ballers reste une série d’été, sous le soleil de Miami, qui devrait se laisser regarder sans trop de problèmes mais avec une certaine profondeur.
Critictoo
On pourrait dire que la création de Stephen Levinson est simplement Entourage dans le milieu sportif, et s’arrêter là (…) L’ensemble est terriblement superficiel, mais parvient à laisser entrevoir un pan humain plus présent qu’on ne pouvait le concevoir au départ.
Les Inrockuptibles
La série parvient en revanche à endosser un costume étonnant que l’on qualifiera de 'tragique bling', quand des mastards qui ont vécu sur l’adrénaline des matches pendant des années se retrouvent à la retraite à 30 ans et des poussières. Le plus intéressant dans les premiers épisodes concerne l’un d’eux, devenu vendeur de voitures alors qu’il s’ennuie dans son immense villa. Cela ne suffit pas encore à faire de Ballers un attrape-cœur, mais donne envie d’habiter ce monde encore un peu.
Télérama
Format comique, monté nerveusement, divertissant, plein de soirées et de blagues décontractées à défaut d'être toujours tordantes, la série ne serait qu'un apéritif sans conséquences, vite oublié, s'il n'y avait la part de mélancolie portée par Strasmore – et par Dwayne Johnson, dont le corps bodybuildé devient douloureusement impressionnant.
DailyMars
A force de tout faire reposer sur ses épaules (très large, il faut le reconnaître), Ballers prend le risque de devenir aussi superficielle que ses personnages.