Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Entertainment weekly
par Melissa Maerz
Il y a des moments où Bloodline ressemble plus à un soap comme How To Get Away with Murder qu'au thriller ensoleillé qu'elle veut être. Mais après 3 épisodes, grâce à une mise en place rapide et des performances solides, je suis accro.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
L'Obs
par Pierre Hedrich
La réalisation est efficace et bien rythmée. Les personnages sont bien dessinés (…) Entre les deux, il y a tous les ingrédients d’une intrigue bien huilée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Pierre Serisier
Todd A. Kessler, Glenn Kessler et Daniel Zelman, auxquels on doit livrent un récit complexe, fondé sur plusieurs lignes temporelles comme ils l'avaient fait dans leur précédente production. Ils réussissent à donner une touche "soap" indispensable à ce type d'histoire tout en livrant un thriller sophistiqué dans lequel les personnages peuvent basculer à chaque instant. Le tout porté par un casting remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Tout aussi follement liés qu'ils soient les uns aux autres, on a bien du mal à se soucier des Rayburn pendant les premiers épisodes. Mais il se passe assez de chose dans le troisième pour définitivement me donner envie de regarder le quatrième, pour voir ce qu'il va se passer ou non, quelles pistes seront fausses et quelles surprises seront vraiment surprenantes.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Les 3 épisodes mis à disposition de la presse sont immédiatement captivants, tendu par un drame à vous coller sur le bord de votre fauteuil et rendu consistant par un mélodrame crédible.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
The Wrap
par Diane Gordon
Bloodline distribue lentement des morceaux d'information, comme une traînée de miettes de pain, ce qui fait naître une expérience de visionnage satisfaisante et nourrit votre curiosité en vous faisant un peu plus douter des autres aspects.
La critique complète est disponible sur le site The Wrap
Télé Loisirs
par Delphine Rivet
Si l'on arrive à passer outre l'intrusion maladroite du côté thriller, on découvre une série lente, contemplative presque. Le spectateur est le témoin passif d'une famille parfaite qui s'apprête à imploser après l'arrivée de l'élément perturbateur. C'est là que réside le véritable intérêt de Bloodline : un joli portrait de famille dont le vernis s'écaille.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Vanity Fair
par Constance Dovergne
Faut-il s'inquiéter du fait que le thriller familial le plus prometteur de l'année soit l'œuvre de deux frères, les scénaristes et ? Avec , leur partenaire de toujours, ils avaient déjà mis la critique à genoux en 2007 avec , thriller judiciaire en cinq saisons dopé aux flash forwards. Une signature d'une efficacité redoutable que l'on retrouve dans Bloodline, et qui décuple son potentiel addictif.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Variety
par Brian Lowry
Rien n'est particulièrement révolutionnaire ici. Mais Bloodline plonge intelligemment dans ses trucs de soap avec des intrigues multiples et un impressionnant tableau de service de la part des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Ça mérite de faire du binge watching, pas d'erreur là-dessus. Quelques moments décontractés bien placés entre les membres de la famille pourraient toutefois aider, afin que la série puisse un peu respirer, et nous avec.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Hitfix
par Alan Sepinwall
Pour l'instant, cette nouvelle série privilégie la forme au fond en regroupant beaucoup d'acteurs que j'aime dans un lieu attractif mais prive beaucoup d'entre eux d'un matériau à la hauteur de leurs talents.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Libération
par Clélia Cohen
La série laisse présager quelque chose d'un peu lourdaud sur les familles dysfonctionnelles, les pères ogres et les enfants perdus. Mais retrouver , aux perlières minutes du premier épisode, procure une émotion que peu d'acteurs sont capables de donner par leur seule présence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Washington Post
par Hank Stuever
Aucune performance terne n'est à déplorer parmi le superbe casting de Bloodline, en particulier Chandler et Cardellini, en pleine forme. C'est toutefois Mendelsohn, en Danny, qui tire le meilleur d'un scénario parfois trop opaque.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Critictoo
par Fabien
et dominent l’ensemble du casting au sein de l'épisode introductif qui leur offre suffisamment de matériel pour installer la relation tortueuse qui existe entre les deux frères, entre inversion des rôles, manipulation psychologique et véritable affection fraternelle.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Time
par James Poniewozik
Les excellentes performances abondent, mais ce thriller familial sous le soleil des Keys pourrait vous laisser de glace.
La critique complète est disponible sur le site Time
Télérama
par Pierre Langlais
S'il n'y avait pas les flashforwards pour nous mettre en appétit, on trouverait parfois le temps un peu long. En voulant mettre en scène le quotidien de ses personnages, insuffler doucement le doute, nous faire comprendre que la famille Rayburn déborde de névroses et planque des fantômes dans tous ses placards (comme toutes les familles, mais en pire), les KZK (, et , les créateurs de la série, NDLR) font un pari sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
USA Today
par Robert Bianco
Malgré quelques belles performances individuelles, les acteurs ne font jamais passer un sens de la famille sur le plan collectif - l'histoire partagée, les gestes et manières qui permettent d'identifier des frères et soeurs même lorsqu'ils ne se ressemblent pas. Et si vous ne croyez pas à cette famille, ou que vous ne vous souciez pas de ce qui leur arrive, pourquoi vous impliqueriez-vous dans son histoire ?
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Vulture
par Margaret Lyons
J'aime les petites histoires. Mais les petites histoires reposent sur une spécificité, et Bloodline se présente de façon trop générique. On peut s'en sortir avec des dialogues nuls, un jeu d'acteur insuffisamment développé, des types de personnages communs ou un style visuel qui n'a rien de spécial. Mais pas avec tout ça à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Entertainment weekly
Il y a des moments où Bloodline ressemble plus à un soap comme How To Get Away with Murder qu'au thriller ensoleillé qu'elle veut être. Mais après 3 épisodes, grâce à une mise en place rapide et des performances solides, je suis accro.
L'Obs
La réalisation est efficace et bien rythmée. Les personnages sont bien dessinés (…) Entre les deux, il y a tous les ingrédients d’une intrigue bien huilée.
Le Monde
Todd A. Kessler, Glenn Kessler et Daniel Zelman, auxquels on doit livrent un récit complexe, fondé sur plusieurs lignes temporelles comme ils l'avaient fait dans leur précédente production. Ils réussissent à donner une touche "soap" indispensable à ce type d'histoire tout en livrant un thriller sophistiqué dans lequel les personnages peuvent basculer à chaque instant. Le tout porté par un casting remarquable.
Los Angeles Times
Tout aussi follement liés qu'ils soient les uns aux autres, on a bien du mal à se soucier des Rayburn pendant les premiers épisodes. Mais il se passe assez de chose dans le troisième pour définitivement me donner envie de regarder le quatrième, pour voir ce qu'il va se passer ou non, quelles pistes seront fausses et quelles surprises seront vraiment surprenantes.
San Francisco Chronicle
Les 3 épisodes mis à disposition de la presse sont immédiatement captivants, tendu par un drame à vous coller sur le bord de votre fauteuil et rendu consistant par un mélodrame crédible.
The Wrap
Bloodline distribue lentement des morceaux d'information, comme une traînée de miettes de pain, ce qui fait naître une expérience de visionnage satisfaisante et nourrit votre curiosité en vous faisant un peu plus douter des autres aspects.
Télé Loisirs
Si l'on arrive à passer outre l'intrusion maladroite du côté thriller, on découvre une série lente, contemplative presque. Le spectateur est le témoin passif d'une famille parfaite qui s'apprête à imploser après l'arrivée de l'élément perturbateur. C'est là que réside le véritable intérêt de Bloodline : un joli portrait de famille dont le vernis s'écaille.
Vanity Fair
Faut-il s'inquiéter du fait que le thriller familial le plus prometteur de l'année soit l'œuvre de deux frères, les scénaristes et ? Avec , leur partenaire de toujours, ils avaient déjà mis la critique à genoux en 2007 avec , thriller judiciaire en cinq saisons dopé aux flash forwards. Une signature d'une efficacité redoutable que l'on retrouve dans Bloodline, et qui décuple son potentiel addictif.
Variety
Rien n'est particulièrement révolutionnaire ici. Mais Bloodline plonge intelligemment dans ses trucs de soap avec des intrigues multiples et un impressionnant tableau de service de la part des acteurs.
Boston Globe
Ça mérite de faire du binge watching, pas d'erreur là-dessus. Quelques moments décontractés bien placés entre les membres de la famille pourraient toutefois aider, afin que la série puisse un peu respirer, et nous avec.
Hitfix
Pour l'instant, cette nouvelle série privilégie la forme au fond en regroupant beaucoup d'acteurs que j'aime dans un lieu attractif mais prive beaucoup d'entre eux d'un matériau à la hauteur de leurs talents.
Libération
La série laisse présager quelque chose d'un peu lourdaud sur les familles dysfonctionnelles, les pères ogres et les enfants perdus. Mais retrouver , aux perlières minutes du premier épisode, procure une émotion que peu d'acteurs sont capables de donner par leur seule présence.
Washington Post
Aucune performance terne n'est à déplorer parmi le superbe casting de Bloodline, en particulier Chandler et Cardellini, en pleine forme. C'est toutefois Mendelsohn, en Danny, qui tire le meilleur d'un scénario parfois trop opaque.
Critictoo
et dominent l’ensemble du casting au sein de l'épisode introductif qui leur offre suffisamment de matériel pour installer la relation tortueuse qui existe entre les deux frères, entre inversion des rôles, manipulation psychologique et véritable affection fraternelle.
Time
Les excellentes performances abondent, mais ce thriller familial sous le soleil des Keys pourrait vous laisser de glace.
Télérama
S'il n'y avait pas les flashforwards pour nous mettre en appétit, on trouverait parfois le temps un peu long. En voulant mettre en scène le quotidien de ses personnages, insuffler doucement le doute, nous faire comprendre que la famille Rayburn déborde de névroses et planque des fantômes dans tous ses placards (comme toutes les familles, mais en pire), les KZK (, et , les créateurs de la série, NDLR) font un pari sur la longueur.
USA Today
Malgré quelques belles performances individuelles, les acteurs ne font jamais passer un sens de la famille sur le plan collectif - l'histoire partagée, les gestes et manières qui permettent d'identifier des frères et soeurs même lorsqu'ils ne se ressemblent pas. Et si vous ne croyez pas à cette famille, ou que vous ne vous souciez pas de ce qui leur arrive, pourquoi vous impliqueriez-vous dans son histoire ?
Vulture
J'aime les petites histoires. Mais les petites histoires reposent sur une spécificité, et Bloodline se présente de façon trop générique. On peut s'en sortir avec des dialogues nuls, un jeu d'acteur insuffisamment développé, des types de personnages communs ou un style visuel qui n'a rien de spécial. Mais pas avec tout ça à la fois.