Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
La série n’est pas parfaite, mais on sent l’effort de ne pas dénaturer chaque personnage et de les laisser être eux-mêmes. Chacun à son arc personnel qui aura une certaine résonance avec le public et faire avancer l’histoire. Une histoire qui intrigue vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Avec huit épisodes au lieu des treize habituels, The Defenders se débarrasse des lenteurs qui alourdissaient les mi-saisons des feuilletons d’origine à l’intrigue poussive. Le suspense se maintient. Les combats gagnent en ambition et ampleur. Les univers se fondent sans heurts.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Première
par Charles Martin
The Defenders fait le boulot et enchaîne combats millimétrés et séquences dark pour personnages abîmés. Du travail de pro, soigneusement calibré et rythmé par la durée exceptionnellement courte de la saison. Mais il manque quand même ce petit supplément d'âme, une certaine dose d'audace ou de style, pour que cette super-série ultime sorte vraiment du lot.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Vincent Julé
The Defenders retarde l’inévitable en multipliant les scènes, pour ne pas dire les épisodes, d’exposition. Résultat : nos super-héros ne sont enfin réunis qu’à l’épisode 4, sur les huit que compte la série (…) The Defenders trouve en fait son salut dans ses duos (…) Matt Murdoch et Jessica Jones tout en punchlines d’un côté, et Danny Rand et Luke Cage tout en punchs dans la gueule de l’autre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Télérama
par Pierre Langlais
Il faut attendre la moitié de la saison pour que la promesse de la série soit pleinement respectée. Une fois les Defenders en ordre de bataille, le charisme de Luke Cage (Mike Colter), la mauvaise humeur de Jessica Jones (Krysten Ritter) et l'intensité de Matt Murdock (Charlie Cox) font leur effet (…) Le spectacle devient plaisant, drôle, pop.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Si les scènes d’action sont bien trop rares et éparses, renvoyées à des décors suburbains aussi attrayants que les toilettes bouchées d’un gymnase de banlieue, elles demeurent techniquement très solides et plaisamment chorégraphiées.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Pierre Serisier
La coalition spontanée créée par The Defenders pêche par le manque de cohésion entre les protagonistes, celle-ci ne réussissant pas à se faire malgré la présence d’un ennemi commun, Alexandra Reid (Sigourney Weaver).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Brain Damaged
La série n’est pas parfaite, mais on sent l’effort de ne pas dénaturer chaque personnage et de les laisser être eux-mêmes. Chacun à son arc personnel qui aura une certaine résonance avec le public et faire avancer l’histoire. Une histoire qui intrigue vraiment.
Le Figaro Magazine
Avec huit épisodes au lieu des treize habituels, The Defenders se débarrasse des lenteurs qui alourdissaient les mi-saisons des feuilletons d’origine à l’intrigue poussive. Le suspense se maintient. Les combats gagnent en ambition et ampleur. Les univers se fondent sans heurts.
Première
The Defenders fait le boulot et enchaîne combats millimétrés et séquences dark pour personnages abîmés. Du travail de pro, soigneusement calibré et rythmé par la durée exceptionnellement courte de la saison. Mais il manque quand même ce petit supplément d'âme, une certaine dose d'audace ou de style, pour que cette super-série ultime sorte vraiment du lot.
20 Minutes
The Defenders retarde l’inévitable en multipliant les scènes, pour ne pas dire les épisodes, d’exposition. Résultat : nos super-héros ne sont enfin réunis qu’à l’épisode 4, sur les huit que compte la série (…) The Defenders trouve en fait son salut dans ses duos (…) Matt Murdoch et Jessica Jones tout en punchlines d’un côté, et Danny Rand et Luke Cage tout en punchs dans la gueule de l’autre.
Télérama
Il faut attendre la moitié de la saison pour que la promesse de la série soit pleinement respectée. Une fois les Defenders en ordre de bataille, le charisme de Luke Cage (Mike Colter), la mauvaise humeur de Jessica Jones (Krysten Ritter) et l'intensité de Matt Murdock (Charlie Cox) font leur effet (…) Le spectacle devient plaisant, drôle, pop.
Ecran Large
Si les scènes d’action sont bien trop rares et éparses, renvoyées à des décors suburbains aussi attrayants que les toilettes bouchées d’un gymnase de banlieue, elles demeurent techniquement très solides et plaisamment chorégraphiées.
Le Monde
La coalition spontanée créée par The Defenders pêche par le manque de cohésion entre les protagonistes, celle-ci ne réussissant pas à se faire malgré la présence d’un ennemi commun, Alexandra Reid (Sigourney Weaver).