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Si Finn Jones joue plutôt bien le rôle de l'enfant perdu du Tibet, la bonne surprise vient du personnage féminin Colleen Wing (Jessica Henwick), qui crève l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Une approche différente du super-héros, beaucoup plus légère, moins neurasthénique et ténébreuse, mais qui ne manque pas de fraîcheur. Une vision qui change aussi du style dark et abîmé d'un Luke Cage ou d'un Daredevil.
La critique complète est disponible sur le site Première
Iron Fist est un héros attachant qui garde espoir en l’humanité. Sa candeur, son calme apportent une certaine fraîcheur dans l’univers Marvel de Netflix et son côté homme-enfant à côté de la plaque va parfaitement à Finn Jones.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le problème d’Iron Fist, c’est sa distribution inégale en termes d’appropriation du matériel. Là où Mike Colter et Krysten Ritter donnaient vie à leur personnage, Finn Jones manque du charisme nécessaire pour faire exister Danny Rand (…) Tout est en fait beaucoup trop standard pour permettre à la série de se démarquer des autres créations Marvel pour Netflix.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Le problème qui saute aux yeux avec "Iron Fist", c'est qu'il n'y en a pas (…) On se demande bien quel est le message de fond ou l'originalité quand on se retrouve à regarder des gens riches, beau et blancs qui arpentent en costumes les bureaux de leur gratte-ciel ou les étages de leur appartement au coeur de Manhattan, sans se poser aucune question existentielle.
Le crasseux Hell's Kitchen a laissé place aux beaux immeubles du Manhattan huppé. Et, franchement, ça fait du bien ! La naïveté de Danny Rand apporte un peu de fraîcheur (…) mais les six premiers épisodes manquent cruellement d'enjeux, de sens et, tout simplement, d'intérêt. Danny Rand est une âme perdue, il erre et nous entraîne dans ses molles pérégrinations.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
On s'amuse le temps des deux premiers épisodes, croyant qu'Iron Fist fera le pari de la légèreté intelligente, d'une bonne dose d'humour plutôt que d'une nouvelle aventure crue et brutale. Mais on comprend vite qu'il n'en est rien, et que ce que l'on prenait pour de la modestie et une discrète efficacité est en fait un manque d'ambition et de talent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voulue comme une série réaliste et simple, à l’image des philosophie bouddhistes sur lesquelles surfe Iron Fist, l’ennui s’installe très vite, puisque les enjeux mettent du temps à arriver.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Malgré la débauche de moyen de Netflix, en dépit de plus de treize heures de programme, malgré une avalanche de décors, la série est incapable d’exposer clairement ses enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L’erreur d’Iron Fist est placer l’histoire à hauteur d’homme. Ce qui a pour conséquence de banaliser l’histoire et de l’amputer de toute tension. La reprise des relations entre Dany et le duo Ward-Joy ne propose pas de conflit irrésolu, pas de potentiel narratif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
Si Finn Jones joue plutôt bien le rôle de l'enfant perdu du Tibet, la bonne surprise vient du personnage féminin Colleen Wing (Jessica Henwick), qui crève l'écran.
Première
Une approche différente du super-héros, beaucoup plus légère, moins neurasthénique et ténébreuse, mais qui ne manque pas de fraîcheur. Une vision qui change aussi du style dark et abîmé d'un Luke Cage ou d'un Daredevil.
Paris Match
Iron Fist est un héros attachant qui garde espoir en l’humanité. Sa candeur, son calme apportent une certaine fraîcheur dans l’univers Marvel de Netflix et son côté homme-enfant à côté de la plaque va parfaitement à Finn Jones.
Critictoo
Le problème d’Iron Fist, c’est sa distribution inégale en termes d’appropriation du matériel. Là où Mike Colter et Krysten Ritter donnaient vie à leur personnage, Finn Jones manque du charisme nécessaire pour faire exister Danny Rand (…) Tout est en fait beaucoup trop standard pour permettre à la série de se démarquer des autres créations Marvel pour Netflix.
Huffington Post (FR)
Le problème qui saute aux yeux avec "Iron Fist", c'est qu'il n'y en a pas (…) On se demande bien quel est le message de fond ou l'originalité quand on se retrouve à regarder des gens riches, beau et blancs qui arpentent en costumes les bureaux de leur gratte-ciel ou les étages de leur appartement au coeur de Manhattan, sans se poser aucune question existentielle.
Le Point
Le crasseux Hell's Kitchen a laissé place aux beaux immeubles du Manhattan huppé. Et, franchement, ça fait du bien ! La naïveté de Danny Rand apporte un peu de fraîcheur (…) mais les six premiers épisodes manquent cruellement d'enjeux, de sens et, tout simplement, d'intérêt. Danny Rand est une âme perdue, il erre et nous entraîne dans ses molles pérégrinations.
Télérama
On s'amuse le temps des deux premiers épisodes, croyant qu'Iron Fist fera le pari de la légèreté intelligente, d'une bonne dose d'humour plutôt que d'une nouvelle aventure crue et brutale. Mais on comprend vite qu'il n'en est rien, et que ce que l'on prenait pour de la modestie et une discrète efficacité est en fait un manque d'ambition et de talent.
Brain Damaged
Voulue comme une série réaliste et simple, à l’image des philosophie bouddhistes sur lesquelles surfe Iron Fist, l’ennui s’installe très vite, puisque les enjeux mettent du temps à arriver.
Ecran Large
Malgré la débauche de moyen de Netflix, en dépit de plus de treize heures de programme, malgré une avalanche de décors, la série est incapable d’exposer clairement ses enjeux.
Le Monde
L’erreur d’Iron Fist est placer l’histoire à hauteur d’homme. Ce qui a pour conséquence de banaliser l’histoire et de l’amputer de toute tension. La reprise des relations entre Dany et le duo Ward-Joy ne propose pas de conflit irrésolu, pas de potentiel narratif.