Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Dès le départ, Luke Cage envoie un message politique et social fort dans une Amérique en pleine tourmente. (…) Les acteurs sont excellents, la réalisation reflète complètement l’humeur de la série qui est à la fois sombre et réaliste.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Le Monde
par Pierre Serisier
La série (…) est un hommage au mouvement de la blaxploitation, à Shaft évidemment, mentionné dès le premier épisode, mais c’est aussi une tentative de réflexion sur les conditions de vie de la communauté noire face à une intensification des violences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Philippe Guedj
Malgré quelques tunnels de dialogues pas toujours passionnants et un rythme qui aurait gagné à plus de punch, la richesse du propos socio-politique de Luke Cage surclasse facilement les défauts de la série. De même que la puissance de son hommage à Harlem, où la série a d’ailleurs été en grande partie tournée.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Grâce à son intensité et à son charisme, à la touche personnelle de la série, à la fois un poil rétro et résolument moderne, Luke Cage permet à Netflix de signer un joli triplé (avec Daredevil et Jessica Jones, NDLR), et de confirmer la réussite de son entreprise superhéroïque.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Plutôt que de traiter trop frontalement des violences policières ou d’adresser la question du racisme sans la nuancer, Luke Cage aborde ces problématiques en questionnant les notions d’engagement et de vie de la cité (…) mais le format des épisodes (59 minutes et des brouettes) est beaucoup trop long pour le bien du sujet traité. Et quel que soit le soin apporté par les scénaristes à l’ensemble, les aventures musculeuses de Cage soutiennent très mal la structure imposée par cette durée.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Nicolas Robert
Solidement réalisée (la séquence post-générique de l'épisode 2 est assez bluffante, comme la descente de l'épisode 3), superbement mise en lumière (Manuel Billeter, le directeur de la photographie, confirme le talent qu'il a montré dans Jessica Jones sans se parodier), cette nouvelle série Marvel s'appuie aussi et surtout sur une très belle distribution.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
LCI
par Romain Cheyron
Déjà apparu dans Jessica Jones, le personnage débarque seul, dans les rues de Harlem, armé de sa super force et sa peau pare-balles. Un super-héros aussi charismatique qu'important.
La critique complète est disponible sur le site LCI
20 Minutes
par Vincent Julé
La ville de New York la nuit, un héros moins super que humain, un méchant charismatique et voleur de scènes (Fisk dans Daredevil, Kilgrave dans Jessica Jones et Cottonmouth dans Luke Cage) (…) Luke Cage coche toutes les cases de ce cahier des charges, mais tombe aussi dans les mêmes travers : des baisses de rythme, des dialogues sursignifiants et des épisodes trop longs.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Paris Match
par Amandine Bourgoin
Dans Luke Cage, ce sont les méchants de l’histoire qui se révèlent les plus passionnants : (…) mais ils passent pour des petites frappes à côté des méchants de Daredevil Wislon Fisk et Kilgrave de Jessica Jones, beaucoup plus dangereux et redoutables. (…) Malgré une belle réalisation et des personnages attachants, Luke Cage reste dans l'ombre de ses deux grandes sœurs.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Brain Damaged
Dès le départ, Luke Cage envoie un message politique et social fort dans une Amérique en pleine tourmente. (…) Les acteurs sont excellents, la réalisation reflète complètement l’humeur de la série qui est à la fois sombre et réaliste.
Le Monde
La série (…) est un hommage au mouvement de la blaxploitation, à Shaft évidemment, mentionné dès le premier épisode, mais c’est aussi une tentative de réflexion sur les conditions de vie de la communauté noire face à une intensification des violences.
Télé Loisirs
Malgré quelques tunnels de dialogues pas toujours passionnants et un rythme qui aurait gagné à plus de punch, la richesse du propos socio-politique de Luke Cage surclasse facilement les défauts de la série. De même que la puissance de son hommage à Harlem, où la série a d’ailleurs été en grande partie tournée.
Télérama
Grâce à son intensité et à son charisme, à la touche personnelle de la série, à la fois un poil rétro et résolument moderne, Luke Cage permet à Netflix de signer un joli triplé (avec Daredevil et Jessica Jones, NDLR), et de confirmer la réussite de son entreprise superhéroïque.
Ecran Large
Plutôt que de traiter trop frontalement des violences policières ou d’adresser la question du racisme sans la nuancer, Luke Cage aborde ces problématiques en questionnant les notions d’engagement et de vie de la cité (…) mais le format des épisodes (59 minutes et des brouettes) est beaucoup trop long pour le bien du sujet traité. Et quel que soit le soin apporté par les scénaristes à l’ensemble, les aventures musculeuses de Cage soutiennent très mal la structure imposée par cette durée.
L'Express
Solidement réalisée (la séquence post-générique de l'épisode 2 est assez bluffante, comme la descente de l'épisode 3), superbement mise en lumière (Manuel Billeter, le directeur de la photographie, confirme le talent qu'il a montré dans Jessica Jones sans se parodier), cette nouvelle série Marvel s'appuie aussi et surtout sur une très belle distribution.
LCI
Déjà apparu dans Jessica Jones, le personnage débarque seul, dans les rues de Harlem, armé de sa super force et sa peau pare-balles. Un super-héros aussi charismatique qu'important.
20 Minutes
La ville de New York la nuit, un héros moins super que humain, un méchant charismatique et voleur de scènes (Fisk dans Daredevil, Kilgrave dans Jessica Jones et Cottonmouth dans Luke Cage) (…) Luke Cage coche toutes les cases de ce cahier des charges, mais tombe aussi dans les mêmes travers : des baisses de rythme, des dialogues sursignifiants et des épisodes trop longs.
Paris Match
Dans Luke Cage, ce sont les méchants de l’histoire qui se révèlent les plus passionnants : (…) mais ils passent pour des petites frappes à côté des méchants de Daredevil Wislon Fisk et Kilgrave de Jessica Jones, beaucoup plus dangereux et redoutables. (…) Malgré une belle réalisation et des personnages attachants, Luke Cage reste dans l'ombre de ses deux grandes sœurs.