Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Hitfix
par Alan Sepinwall
Daredevil est aisément, et de loin, la meilleure des trois adaptations Marvel sur petit écran, atteignant rapidement le haut du panier des super-héros à la télé. (...) Certes, c'est parfois macabre, mais un macabre qui rend justice à l'univers de la série et à la version principale du comic-book.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Kansas City Star
par Sara Smith
Daredevil est un drame qui se distingue et s'impose par son côté malin et courageux. La série pourrait élever le genre super-héroïque de la même manière que True Detective a élevé le genre criminel.
La critique complète est disponible sur le site Kansas City Star
DailyMars
par Pierre-Alexandre Chouraqui
Malgré quelques défauts cheap (…) Daredevil sonne le début d’une excellente série, aux qualités d’écriture indéniables.
La critique complète est disponible sur le site DailyMars
Ecran Large
par Simon Riaux
Issu d’un deal historique entre ABC, Marvel et Netflix, le show est sans conteste le plus adulte, sombre et violent jamais adapté de l’écurie à super-héros chère à Disney.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Metro
par Romain Cheyron
La série illustre parfaitement l’univers de "l’homme sans peur", explorant à la fois Matt Murdock et Daredevil : elle donne une véritable épaisseur au personnage. Elle navigue entre le calme, charmeur et réfléchi avocat, et l’intensité, la violence et l’obstination du justicier.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Philadelphia Inquirer
par Tirdad Derakhshani
La série est un grand bol d'air frais. Elle ne fait pas preuve de désinvolture, mais d'un grand sérieux. Il y a de l'atmosphère, c'est sombre, jamais complaisant. Les personnages sont forts, mais sans jamais tomber dans la caricature. (...) Bien écrite et très bien jouée, la série impressionne.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
La série, intelligente et bien exécutée, pourraît paraître un peu avare en action en comparaison de ce que Marvel propose aujourd'hui. Mais elle gagne en nuance et en étude des personnages, soit ce qui a manqué à la plupart des blockbusters du studio.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Slate
par Jack Hamilton
C'est sombre et passionnant, intelligent et très bien exécuté. C'est une série qui prend les choses au sérieux, qui prend son public au sérieux, tout en évitant de se montrer prétentieuse ou d'avoir un côté fanboy. C'est également aventureux et différent, à un niveau qu'une telle série se devait d'avoir...
La critique complète est disponible sur le site Slate
Variety
par Brian Lowry
L'acteur Charlie Cox apporte le mélange nécessaire de courage et de doutes "Marvelesques" à son personnage à double facette.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Brain Damaged
par Marine Glinel
Le showrunner Steven DeKnight a parfaitement compris que le téléspectateur souhaite avant tout voir Daredevil combattre le crime, et taper sur le nez des méchants – dans des combats d’ailleurs très bien chorégraphiés.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Télé Loisirs
par Delphine Rivet
L'ambition de faire une série de qualité et résolument sombre est là. Car la noirceur est l'essence-même de Daredevil. La double facette de son héros, une figure commune de l'univers des comics, est sans cesse renforcée par l'idée de clair-obscur.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Daredevil remplit pleinement son pari, celui d'une série (super) héroïque adulte mais enlevée, capable de lorgner vers les Dark Knight de Christopher Nolan mais de ne jamais oublier d'être amusante, volontiers pop mais profondément humaine (les années de Steven S. DeKnight sur Buffy n'y sont peut-être pas pour rien).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Washington Post
par Hank Stuever
Dans Daredevil, la majeure partie des chose fonctionne comme prévu, notamment le rythme de l'action et la représentation du gore.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Critictoo
par Carole
Les trois premiers épisodes annoncent sans aucun doute une série divertissante avec des ambitions qui se reposent un peu trop sur son style visuel trop travaillé pour représenter la noirceur de son univers.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Le Monde
par Pierre Serisier
Les 13 épisodes proposés dans cette première saison ne parviennent pas totalement à effacer le sentiment de longueur inhérent au combat entre un super-héros et un super-vilain. Ils sont une longue et patiente mise en place de l'affrontement entre Matt Murdock et sa nemesis Wilson Fisk, alias Kingpin, venu de l'univers de Spiderman. Dans l'attente d'une éventuelle saison 2.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
New York Times
par Mike Hale
Comme série criminelle, Daredevil est excellente. Comme série adaptée d'un comic-book, elle est la démonstration de combien adapter un comic peut être piégeux... Trop de moments de l'histoire semblent indistincts, comme déconnectés d'un programme bien au-dessus de la moyenne.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Première
par Gregory Ledergue
En revenant à du serial urbain, moins dispendieux, moins extravagant, plus polar, la firme pourrait bien avoir trouvé la bonne formule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Blabla-Séries
par Julien Dufresne-Lamy
La série se voudrait une âme à la Dark Knight, une inspiration malade, propice à tourmenter les esprits, profondément humaine. Mais trop prudente, trop balisée, dénuée de toute ampleur, (elle) se réduit elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Blabla-Séries
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Brutale et sombre, la série Marvel manque de finesse et de réflexion pour convaincre vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Hitfix
Daredevil est aisément, et de loin, la meilleure des trois adaptations Marvel sur petit écran, atteignant rapidement le haut du panier des super-héros à la télé. (...) Certes, c'est parfois macabre, mais un macabre qui rend justice à l'univers de la série et à la version principale du comic-book.
Kansas City Star
Daredevil est un drame qui se distingue et s'impose par son côté malin et courageux. La série pourrait élever le genre super-héroïque de la même manière que True Detective a élevé le genre criminel.
DailyMars
Malgré quelques défauts cheap (…) Daredevil sonne le début d’une excellente série, aux qualités d’écriture indéniables.
Ecran Large
Issu d’un deal historique entre ABC, Marvel et Netflix, le show est sans conteste le plus adulte, sombre et violent jamais adapté de l’écurie à super-héros chère à Disney.
Metro
La série illustre parfaitement l’univers de "l’homme sans peur", explorant à la fois Matt Murdock et Daredevil : elle donne une véritable épaisseur au personnage. Elle navigue entre le calme, charmeur et réfléchi avocat, et l’intensité, la violence et l’obstination du justicier.
Philadelphia Inquirer
La série est un grand bol d'air frais. Elle ne fait pas preuve de désinvolture, mais d'un grand sérieux. Il y a de l'atmosphère, c'est sombre, jamais complaisant. Les personnages sont forts, mais sans jamais tomber dans la caricature. (...) Bien écrite et très bien jouée, la série impressionne.
RogerEbert.com
La série, intelligente et bien exécutée, pourraît paraître un peu avare en action en comparaison de ce que Marvel propose aujourd'hui. Mais elle gagne en nuance et en étude des personnages, soit ce qui a manqué à la plupart des blockbusters du studio.
Slate
C'est sombre et passionnant, intelligent et très bien exécuté. C'est une série qui prend les choses au sérieux, qui prend son public au sérieux, tout en évitant de se montrer prétentieuse ou d'avoir un côté fanboy. C'est également aventureux et différent, à un niveau qu'une telle série se devait d'avoir...
Variety
L'acteur Charlie Cox apporte le mélange nécessaire de courage et de doutes "Marvelesques" à son personnage à double facette.
Brain Damaged
Le showrunner Steven DeKnight a parfaitement compris que le téléspectateur souhaite avant tout voir Daredevil combattre le crime, et taper sur le nez des méchants – dans des combats d’ailleurs très bien chorégraphiés.
Télé Loisirs
L'ambition de faire une série de qualité et résolument sombre est là. Car la noirceur est l'essence-même de Daredevil. La double facette de son héros, une figure commune de l'univers des comics, est sans cesse renforcée par l'idée de clair-obscur.
Télérama
Daredevil remplit pleinement son pari, celui d'une série (super) héroïque adulte mais enlevée, capable de lorgner vers les Dark Knight de Christopher Nolan mais de ne jamais oublier d'être amusante, volontiers pop mais profondément humaine (les années de Steven S. DeKnight sur Buffy n'y sont peut-être pas pour rien).
Washington Post
Dans Daredevil, la majeure partie des chose fonctionne comme prévu, notamment le rythme de l'action et la représentation du gore.
Critictoo
Les trois premiers épisodes annoncent sans aucun doute une série divertissante avec des ambitions qui se reposent un peu trop sur son style visuel trop travaillé pour représenter la noirceur de son univers.
Le Monde
Les 13 épisodes proposés dans cette première saison ne parviennent pas totalement à effacer le sentiment de longueur inhérent au combat entre un super-héros et un super-vilain. Ils sont une longue et patiente mise en place de l'affrontement entre Matt Murdock et sa nemesis Wilson Fisk, alias Kingpin, venu de l'univers de Spiderman. Dans l'attente d'une éventuelle saison 2.
New York Times
Comme série criminelle, Daredevil est excellente. Comme série adaptée d'un comic-book, elle est la démonstration de combien adapter un comic peut être piégeux... Trop de moments de l'histoire semblent indistincts, comme déconnectés d'un programme bien au-dessus de la moyenne.
Première
En revenant à du serial urbain, moins dispendieux, moins extravagant, plus polar, la firme pourrait bien avoir trouvé la bonne formule.
Blabla-Séries
La série se voudrait une âme à la Dark Knight, une inspiration malade, propice à tourmenter les esprits, profondément humaine. Mais trop prudente, trop balisée, dénuée de toute ampleur, (elle) se réduit elle-même.
Les Inrockuptibles
Brutale et sombre, la série Marvel manque de finesse et de réflexion pour convaincre vraiment.