Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Boston Globe
par Matthew Gilbert
Il ne faut que quelques minutes pour comprendre que Narcos est un hommage sans complexe au classique des années 90, Les Affranchis, avec ses mouvements de caméra dynamiques et le même type de voix off que prodiguait Ray Liotta dans le rôle d'Henry Hill. La tonalité visuelle est sans doute plus voilée, mais l'énergie, le mouvement, les escrocs de haut vol, la mécanique fascinante de leur business et la paranoïa toujours grandissante sont les mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
New York Post
par Robert Rorke
En ayant recours par moments à des images d'archive, comme par exemple une photo d'Escobar prise par la police, les créateurs Chris Brancato, Carlo Bernard et Doug Miro composent un portrait fascinant de la montée de la corruption ayant ravagé l'Amérique du Sud et les Etats-Unis (...) Le défi de la série est de faire en sorte que l'enquête de Murphy et Pena soit aussi intense que l'incroyable montée en puissance d'Escobar (...) Mettre la main sur Escobar devient un arc excitant et plein de suspense, faisant de Narcos la première série cool de cette nouvelle saison.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
New York Times
par Neil Genzlinger
La série est bâtie sur une écriture et une interprétation au cordeau, comme devrait l'être toute bonne série. En son coeur, l'acteur brésilien Wagner Moura livre avec le rôle d'Escobar une performance digne de récompense.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Première
par Gregory Ledergue
Rechignant à toute psychologie, préférant laisser ses actions parler pour lui, les auteurs font d’Escobar un type rationnel, maître de ses émotions, avide de pouvoir et de reconnaissance (…) Ils en font surtout un homme cupide, incapable de se satisfaire des milliards engrangés. Car c’est vraiment d’argent, d’économie même, et de politique, que parle la série.
La critique complète est disponible sur le site Première
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
La série trouve vraiment son rythme après le premier épisode et on peut admirer la force du jeu de Wagner Moura, lequel compose calmement un Escobar qui deviendra le baron de la drogue avec tous les clichés qu'on lui prête. Il faut rendre aussi hommage au fait que le réalisateur José Padilha insuffle une vision documentaire à la série.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Brian Lowry
L'étonnante organisation du cartel est tellement excentrique que les épisodes ne peuvent que fasciner, malgré une narration qui ne fait que saupoudrer très sommairement des informations sur les personnages principaux.
La critique complète est disponible sur le site Variety
aVoir-aLire.com
par Nicolas Lochon
Tout à l’écran respire l’authenticité, du mobilier d’époque jusqu’aux costumes, en passant par les véhicules et, bien entendu, l’artillerie. Du très beau travail de reconstitution, autant visuel que narratif. Car Narcos, c’est aussi et surtout l’algorithme d’un gros effort de régénération qui se paye le luxe de bâtir ses cliffhangers sur... des faits réels.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critictoo
par Carole
Wagner Moura excelle autant à laisser la part d’humanité de son personnage s’exprimer qu’a maintenir à l’esprit le danger qu’Escobar représente vraiment (…) une saison qui connaît que très peu de temps morts et qui, de par son sujet et sa figure centrale, fascine et captive avec une aisance déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Hitfix
par Alan Sepinwall
Moura est, comme il se doit, charismatique et menaçant en Escobar, même si les efforts de la série pour le psychanalyser - pour le rendre plus complexe que le personnage incarné par Luis Guzman - donnent un résultat mitigés. Pedro Pascal, que l'on a pu voir dans Game of Thrones, est convaincant. Mais, alors que Boyd Holbrook donne de l'épaisseur via la narration en voix off, le comédien n'a grand chose à se mettre sous la dent ni n'apporte grand chose. Murphy est un personnage plat joué platement.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
La Critiquerie
par Anthony Maio
A travers les histoires personnelles - souvent dramatiques - de trafiquants, d’innocents, de policiers… on prend connaissance, épisode après épisode, de l’ampleur du clan de Medellin sur toute la société colombienne de l’époque. Rythmée, étonnante et crue : Narcos brille par sa fluidité.
La critique complète est disponible sur le site La Critiquerie
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Narcos aurait pu tenter le diable, copier inutilement d'éventuels modèles aux relents baroques et tragiques comme Scarface de Brian De Palma. Elle prend d'autres chemins pour narrer les tours et détours de la cavalcade hors-la-loi d'un homme, mais aussi la terreur frappant le pays, l'atteignant jusque dans ses structures, la folie d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
San Francisco Chronicle
par David Wiegand
Toutes les prestations sont de qualité, tout comme le scénario, mais la performance de Wagner Moura est plus spécialement captivante, transcendant les incohérences apparentes d'Escobar pour mieux en faire un personnage imprévisible et menaçant.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Brain Damaged
par Aïssatou Loum
Narcos, c’est plus que la vie de Pablo Escobar, c’est surtout toutes les ramifications politiques ainsi que le travail de la police en collaboration avec la DEA qui tentent de l’arrêter. Et c’est une des parties les plus intéressantes de la série.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Kulture Geek
par Frédéric L.
Le bilan est plus que positif, et ce pour deux raisons principales : la qualité du jeu d’acteur de Wagner Moura (qui interprète Pablo Escobar), et le rythme haletant du récit, parfois même trop rapide à force de vouloir faire tenir la "carrière" d’Escobar en seulement 10 épisodes d’une cinquantaine de minutes.
La critique complète est disponible sur le site Kulture Geek
L'Obs
par Ursula Michel
Spectacle horrifiant et fascinant, (…) on aurait aimé que cette première saison prenne plus son temps, nous laisse déguster la prestation géniale de Wagner Moura en Escobar, nous plonge encore plus profondément dans les guerres intestines des membres du cartel de Medellin ou de celui de Cali.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Pierre Serisier
Vraiment à voir pour tous ceux qui ont une attirance pour les films de gangsters. Même si cela manque un peu de dramatisation et qu'on aurait aimé un Pablo Escobar un peu plus "grand que nature".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Los Angeles Times
par Mary McNamara
Même si la violence de cette époque est montrée, la tentative de Narcos de se confronter au pouvoir de la mythologie se résume trop souvent à l'admirer (...) Sans surprise, Narcos devient plus passionnante lorsque les scènes impliquent Escobar.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
New York Daily News
par David Hinckley
Narcos relate la sanglante et compliquée poursuite d'Escobar par Javier Pena, un agent mexicain de la lutte contre la drogue engagé par les Etats-Unis. Pena part sérieusement perdant, dépassé par les ressources d'Escobar. Il n'est pas non un chevalier blanc, et c'est justement une des forces de la série : son refus de dépeindre un personnage complètement bon ou mauvais.
La critique complète est disponible sur le site New York Daily News
Boston Globe
Il ne faut que quelques minutes pour comprendre que Narcos est un hommage sans complexe au classique des années 90, Les Affranchis, avec ses mouvements de caméra dynamiques et le même type de voix off que prodiguait Ray Liotta dans le rôle d'Henry Hill. La tonalité visuelle est sans doute plus voilée, mais l'énergie, le mouvement, les escrocs de haut vol, la mécanique fascinante de leur business et la paranoïa toujours grandissante sont les mêmes.
New York Post
En ayant recours par moments à des images d'archive, comme par exemple une photo d'Escobar prise par la police, les créateurs Chris Brancato, Carlo Bernard et Doug Miro composent un portrait fascinant de la montée de la corruption ayant ravagé l'Amérique du Sud et les Etats-Unis (...) Le défi de la série est de faire en sorte que l'enquête de Murphy et Pena soit aussi intense que l'incroyable montée en puissance d'Escobar (...) Mettre la main sur Escobar devient un arc excitant et plein de suspense, faisant de Narcos la première série cool de cette nouvelle saison.
New York Times
La série est bâtie sur une écriture et une interprétation au cordeau, comme devrait l'être toute bonne série. En son coeur, l'acteur brésilien Wagner Moura livre avec le rôle d'Escobar une performance digne de récompense.
Première
Rechignant à toute psychologie, préférant laisser ses actions parler pour lui, les auteurs font d’Escobar un type rationnel, maître de ses émotions, avide de pouvoir et de reconnaissance (…) Ils en font surtout un homme cupide, incapable de se satisfaire des milliards engrangés. Car c’est vraiment d’argent, d’économie même, et de politique, que parle la série.
The Hollywood Reporter
La série trouve vraiment son rythme après le premier épisode et on peut admirer la force du jeu de Wagner Moura, lequel compose calmement un Escobar qui deviendra le baron de la drogue avec tous les clichés qu'on lui prête. Il faut rendre aussi hommage au fait que le réalisateur José Padilha insuffle une vision documentaire à la série.
Variety
L'étonnante organisation du cartel est tellement excentrique que les épisodes ne peuvent que fasciner, malgré une narration qui ne fait que saupoudrer très sommairement des informations sur les personnages principaux.
aVoir-aLire.com
Tout à l’écran respire l’authenticité, du mobilier d’époque jusqu’aux costumes, en passant par les véhicules et, bien entendu, l’artillerie. Du très beau travail de reconstitution, autant visuel que narratif. Car Narcos, c’est aussi et surtout l’algorithme d’un gros effort de régénération qui se paye le luxe de bâtir ses cliffhangers sur... des faits réels.
Critictoo
Wagner Moura excelle autant à laisser la part d’humanité de son personnage s’exprimer qu’a maintenir à l’esprit le danger qu’Escobar représente vraiment (…) une saison qui connaît que très peu de temps morts et qui, de par son sujet et sa figure centrale, fascine et captive avec une aisance déconcertante.
Hitfix
Moura est, comme il se doit, charismatique et menaçant en Escobar, même si les efforts de la série pour le psychanalyser - pour le rendre plus complexe que le personnage incarné par Luis Guzman - donnent un résultat mitigés. Pedro Pascal, que l'on a pu voir dans Game of Thrones, est convaincant. Mais, alors que Boyd Holbrook donne de l'épaisseur via la narration en voix off, le comédien n'a grand chose à se mettre sous la dent ni n'apporte grand chose. Murphy est un personnage plat joué platement.
La Critiquerie
A travers les histoires personnelles - souvent dramatiques - de trafiquants, d’innocents, de policiers… on prend connaissance, épisode après épisode, de l’ampleur du clan de Medellin sur toute la société colombienne de l’époque. Rythmée, étonnante et crue : Narcos brille par sa fluidité.
Les Inrockuptibles
Narcos aurait pu tenter le diable, copier inutilement d'éventuels modèles aux relents baroques et tragiques comme Scarface de Brian De Palma. Elle prend d'autres chemins pour narrer les tours et détours de la cavalcade hors-la-loi d'un homme, mais aussi la terreur frappant le pays, l'atteignant jusque dans ses structures, la folie d'une époque.
San Francisco Chronicle
Toutes les prestations sont de qualité, tout comme le scénario, mais la performance de Wagner Moura est plus spécialement captivante, transcendant les incohérences apparentes d'Escobar pour mieux en faire un personnage imprévisible et menaçant.
Brain Damaged
Narcos, c’est plus que la vie de Pablo Escobar, c’est surtout toutes les ramifications politiques ainsi que le travail de la police en collaboration avec la DEA qui tentent de l’arrêter. Et c’est une des parties les plus intéressantes de la série.
Kulture Geek
Le bilan est plus que positif, et ce pour deux raisons principales : la qualité du jeu d’acteur de Wagner Moura (qui interprète Pablo Escobar), et le rythme haletant du récit, parfois même trop rapide à force de vouloir faire tenir la "carrière" d’Escobar en seulement 10 épisodes d’une cinquantaine de minutes.
L'Obs
Spectacle horrifiant et fascinant, (…) on aurait aimé que cette première saison prenne plus son temps, nous laisse déguster la prestation géniale de Wagner Moura en Escobar, nous plonge encore plus profondément dans les guerres intestines des membres du cartel de Medellin ou de celui de Cali.
Le Monde
Vraiment à voir pour tous ceux qui ont une attirance pour les films de gangsters. Même si cela manque un peu de dramatisation et qu'on aurait aimé un Pablo Escobar un peu plus "grand que nature".
Los Angeles Times
Même si la violence de cette époque est montrée, la tentative de Narcos de se confronter au pouvoir de la mythologie se résume trop souvent à l'admirer (...) Sans surprise, Narcos devient plus passionnante lorsque les scènes impliquent Escobar.
New York Daily News
Narcos relate la sanglante et compliquée poursuite d'Escobar par Javier Pena, un agent mexicain de la lutte contre la drogue engagé par les Etats-Unis. Pena part sérieusement perdant, dépassé par les ressources d'Escobar. Il n'est pas non un chevalier blanc, et c'est justement une des forces de la série : son refus de dépeindre un personnage complètement bon ou mauvais.