Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Hitfix
par Alan Sepinwall
Les créateurs de , et , ont été très honnêtes durant la gestation de la série, sur le temps que cela leur a pris pour la définir. Suite ou prequel ? Comédie ou drama ? Des épisodes d'une demi-heure ou d'une heure ? (...) Je dois aussi avouer avoir abordé ce spin-off avec beaucoup de scepticisme. (...) Mais si je me suis plongé dans le visionnage en tant que sceptique, les trois premiers épisodes ont fait de moi un croyant. Bien évidemment il y a des clins d'oeil à la série originale mais Saul réussit rapidement à exister par elle-même plutôt que de fonctionner comme un simple prequel de .
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Washington Post
par Hank Stuever
Cela ne prend pas énormément de temps avant de voir Jimmy / Saul être pieds et poings liés, jeté dans le désert sous un ciel bleu légèrement étoilé de nuages. A cet instant, les fans de Breaking Bad se sentent comme à la maison. Et à partir du moment où le ruban adhésif est retiré de sa bouche par ses ravisseurs, on retrouve l'esprit de Saul et le talent d'Odenkirk peut éclater à travers un monologue aussi implorant que philosophique sur la nature de la "revanche". Ce mélodieux discours plein de balivernes est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Dylanesque TV
par Dylanesque
On a affaire à des gens qui comprennent le symbolisme et la continuité et qui savent bien le doser. Et bien sûr, c'est très drôle.
La critique complète est disponible sur le site Dylanesque TV
Entertainment weekly
par Jeff Jensen
Comme Saul, l'identité de la série est en cours de définition. La narration et l'énergie visuelle sont séduisantes, mais le rythme délibérément élevé m'a fatigué. J'aime le contre-rythme de la comédie noire et son émotion à contre-courant, mais les qualités ne se mélangent pas encore parfaitement.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
L'Express
par Cécile Jandau
Tout compte fait, Better Call Saul rend un très bel hommage à tout en se forgeant sa propre identité.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Clélia Cohen
La tchatche, absurde ou délayée, est la clé de voûte de cette série qui assume totalement, comme beaucoup d’autres récentes avec elle, son héritage tout droit venu du cinéma indépendant nineties, du côté des frères Coen ou de Tarantino.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Nicolas Bellet
Pas besoin de connaître son aîné pour se laisser conquérir par ce nouveau show. Et on a presque envie de se laver le cerveau et d'être dans la peau des néophytes pour le plaisir de la découverte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Salon.com
par Sonia Saraiya
Vince Gilligan et son équipe, comme d'habitude, ont réussi à me surprendre. Je ne suis pas encore totalement séduite par ce prequel - elle n'a pas encore une identité propre - mais elle m'a poussé à m'intéresser à l'homme qui devient Saul Goodman comme jamais Breaking Bad n'avait réussi. (...) Par moments, la proximité avec Breaking Bad est excitante, parfois elle devient désagréable. De manière générale, cette situation est vaguement frustrante : nous nous sommes déjà baladés dans ces paysages abandonnés, nous avons déjà vu ces stations essence perdues et ces cabines téléphoniques déliquescentes. (...) Mais il y a quelques chose de délicieux dans cette continuité également : les spin-offs sont ces sortes d'objets bizarres de la pop culture. Il est à la fois absurde et intrigant de voir un maître des séries s'y attaquer.
La critique complète est disponible sur le site Salon.com
Slant Magazine
par Chuck Bowen
Better Call Saul mélange l'euphorique avec le macabre, d'une façon qui rappelle les romans de Carl Hiaasen et même, par moments, ceux de Donald Westlake. (...) Les créateurs Vince Gilligan et Peter Gould ont pris beaucoup de soin, d'une manière très consciente, pour faire démentir la pauvre réputation des spin-offs, mais leur technique est de fait souvent impersonnelle. (...) Better Call Saul est une comédie noire ingénieuse et prometteuse, mais elle laisse également entrevoir quelques occasions manquées.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
Slate
par Willa Paskin
Comment Jimmy McGill, petit avocat un peu minable en charge d'affaires rémunérant pauvrement et dormant sur un canapé convertible dans son bureau miteux, va devenir le Saul Goodman que nous connaissons ? Telle est la question au coeur de better Call Saul. Inutile de dire que cette dynamique est nettement moins puissante que celle de Breaking Bad. (...) Better Call Saul, surtout au début, rencontre les mêmes problèmes que cette actuelle flopée de séries dérivées des super-héros comme Gotham et Agent Carter, des shows essayant d'apporter un peu de chair un monde sombre et fantastique via des personnages moins reconnus. Better Call Saul est heureusement bien meilleure que ces séries : plus belle, visuellement plus inventive, mieux pensée, unique, moins cartonnesque, il n'en demeure pas moins que, comme elles, elle présuppose l'intérêt du public. Si elle s'améliore au fil des trois premiers épisodes, le premier prend pour acquis que les téléspectateurs non seulement savent qui est Saul mais aussi vont s'intéresser à lui même en l'absence d'un arc narratif clair du personnage.
La critique complète est disponible sur le site Slate
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Ce qui est de l'ordre du jamais vu avec Better Call Saul, c'est que c'est un spin-off d'une des plus grandes séries de l'histoire de la télévision, un pari jamais tenté par des shows comme Les Soprano, Sur écoute et, à ce jour, Mad Men. Un risque aussi fascinant qu'audacieux. Sera-t-il à la hauteur ? Voilà une question à laaquelle on ne pourra répondre que dans quelques semaines ou mois. Mais il ne fait pas de doute que Gilligan et Gould ont mérité le droit de tenter ce pari. Donc emabarquez dans cette aventure, quelle que soit l'issue, il semble être essentiel d'essayer.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Time
par James Poniewozik
"Plutôt bon", telle pourrait être l'ambition réelle de cette série, même si cela implique une comparaison peu flatteuse avec l'ampleur et les ambitions de Breaking Bad. (...) Pour le moment j'essaie d'avancer avec mesure : aurais-je envie de regarder cette série si je ne connaissais rien de cet univers ou de ses personnages ? J'en doutais il y a peu. Mais le bagout de Saul, ou devrais-je dire Jimmy, m'a convaincu d'y croire.
La critique complète est disponible sur le site Time
Huffington Post
par Maureen Ryan
Sans surprise, Better Call Saul a de l'allure. Les trois premiers épisodes sont bien rythmés et ils introduisent efficacement les éléments constitutifs du prequel centré sur Saul Goodman, l'avocat hâbleur de Walter White, à l'éthique douteuse. Mais ce que n'a pas Better Call Saul, c'est une raison d'exister par lui-même. (...) Bien évidemment je vais continuer à regarder. Mais j'avoue que parfois la série est trop à l'image de son personnage principal : enjôleur, brillant, désespéré, recherchant à tout prix à plaire et parfois terrorisé par l'échec.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
Huffington Post (FR)
par Maxime Bourdeau
Il ne s'agit pas de prolonger la série mère, mais d'explorer un de ses personnages secondaires. À l'image de Jimmy McGill/Saul Goodman, l'humour prend notamment davantage de place dans cette fiction. Sans pour autant en faire une comédie : si l'insolite et le ridicule viennent de temps en temps briser la tension, les rebondissements n'en sont pas moins dramatiques.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post (FR)
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Pleine de promesses, Better Call Saul aura peut-être moins d’ampleur tragique que . Mais à force de nous saouler de paroles, elle pourrait réussir à la faire oublier. Saul Goodman est capable de tout.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé Loisirs
par Philippe Guedj
Better Call Saul part avec un inconvénient : l'ombre écrasante de son modèle, . Tout repose sur les épaules de Bob Odenkirk : il est littéralement de toutes les scènes et sa prestation est impressionnante (…) C'est trop tôt pour dire si tout ça tiendra la distance, mais on veut voir la suite.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Variety
par Brian Lowry
Pour l'instant, Better Call Saul contient quelques éléments séduisants, des scènes remarquables et un fabuleux pedigree mais le jury est encore réuni pour se prononcer sur le verdict.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Le Monde
par Pierre Serisier
L'entrée en matière est réussie car il y a un savoir-faire qui transpire dans chacun des plans et dans la structure de l'arche principale. En revanche, on attend de voir comment se déroule la suite des aventures.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Hitfix
Les créateurs de , et , ont été très honnêtes durant la gestation de la série, sur le temps que cela leur a pris pour la définir. Suite ou prequel ? Comédie ou drama ? Des épisodes d'une demi-heure ou d'une heure ? (...) Je dois aussi avouer avoir abordé ce spin-off avec beaucoup de scepticisme. (...) Mais si je me suis plongé dans le visionnage en tant que sceptique, les trois premiers épisodes ont fait de moi un croyant. Bien évidemment il y a des clins d'oeil à la série originale mais Saul réussit rapidement à exister par elle-même plutôt que de fonctionner comme un simple prequel de .
Washington Post
Cela ne prend pas énormément de temps avant de voir Jimmy / Saul être pieds et poings liés, jeté dans le désert sous un ciel bleu légèrement étoilé de nuages. A cet instant, les fans de Breaking Bad se sentent comme à la maison. Et à partir du moment où le ruban adhésif est retiré de sa bouche par ses ravisseurs, on retrouve l'esprit de Saul et le talent d'Odenkirk peut éclater à travers un monologue aussi implorant que philosophique sur la nature de la "revanche". Ce mélodieux discours plein de balivernes est magnifique.
Dylanesque TV
On a affaire à des gens qui comprennent le symbolisme et la continuité et qui savent bien le doser. Et bien sûr, c'est très drôle.
Entertainment weekly
Comme Saul, l'identité de la série est en cours de définition. La narration et l'énergie visuelle sont séduisantes, mais le rythme délibérément élevé m'a fatigué. J'aime le contre-rythme de la comédie noire et son émotion à contre-courant, mais les qualités ne se mélangent pas encore parfaitement.
L'Express
Tout compte fait, Better Call Saul rend un très bel hommage à tout en se forgeant sa propre identité.
Libération
La tchatche, absurde ou délayée, est la clé de voûte de cette série qui assume totalement, comme beaucoup d’autres récentes avec elle, son héritage tout droit venu du cinéma indépendant nineties, du côté des frères Coen ou de Tarantino.
Première
Pas besoin de connaître son aîné pour se laisser conquérir par ce nouveau show. Et on a presque envie de se laver le cerveau et d'être dans la peau des néophytes pour le plaisir de la découverte.
Salon.com
Vince Gilligan et son équipe, comme d'habitude, ont réussi à me surprendre. Je ne suis pas encore totalement séduite par ce prequel - elle n'a pas encore une identité propre - mais elle m'a poussé à m'intéresser à l'homme qui devient Saul Goodman comme jamais Breaking Bad n'avait réussi. (...) Par moments, la proximité avec Breaking Bad est excitante, parfois elle devient désagréable. De manière générale, cette situation est vaguement frustrante : nous nous sommes déjà baladés dans ces paysages abandonnés, nous avons déjà vu ces stations essence perdues et ces cabines téléphoniques déliquescentes. (...) Mais il y a quelques chose de délicieux dans cette continuité également : les spin-offs sont ces sortes d'objets bizarres de la pop culture. Il est à la fois absurde et intrigant de voir un maître des séries s'y attaquer.
Slant Magazine
Better Call Saul mélange l'euphorique avec le macabre, d'une façon qui rappelle les romans de Carl Hiaasen et même, par moments, ceux de Donald Westlake. (...) Les créateurs Vince Gilligan et Peter Gould ont pris beaucoup de soin, d'une manière très consciente, pour faire démentir la pauvre réputation des spin-offs, mais leur technique est de fait souvent impersonnelle. (...) Better Call Saul est une comédie noire ingénieuse et prometteuse, mais elle laisse également entrevoir quelques occasions manquées.
Slate
Comment Jimmy McGill, petit avocat un peu minable en charge d'affaires rémunérant pauvrement et dormant sur un canapé convertible dans son bureau miteux, va devenir le Saul Goodman que nous connaissons ? Telle est la question au coeur de better Call Saul. Inutile de dire que cette dynamique est nettement moins puissante que celle de Breaking Bad. (...) Better Call Saul, surtout au début, rencontre les mêmes problèmes que cette actuelle flopée de séries dérivées des super-héros comme Gotham et Agent Carter, des shows essayant d'apporter un peu de chair un monde sombre et fantastique via des personnages moins reconnus. Better Call Saul est heureusement bien meilleure que ces séries : plus belle, visuellement plus inventive, mieux pensée, unique, moins cartonnesque, il n'en demeure pas moins que, comme elles, elle présuppose l'intérêt du public. Si elle s'améliore au fil des trois premiers épisodes, le premier prend pour acquis que les téléspectateurs non seulement savent qui est Saul mais aussi vont s'intéresser à lui même en l'absence d'un arc narratif clair du personnage.
The Hollywood Reporter
Ce qui est de l'ordre du jamais vu avec Better Call Saul, c'est que c'est un spin-off d'une des plus grandes séries de l'histoire de la télévision, un pari jamais tenté par des shows comme Les Soprano, Sur écoute et, à ce jour, Mad Men. Un risque aussi fascinant qu'audacieux. Sera-t-il à la hauteur ? Voilà une question à laaquelle on ne pourra répondre que dans quelques semaines ou mois. Mais il ne fait pas de doute que Gilligan et Gould ont mérité le droit de tenter ce pari. Donc emabarquez dans cette aventure, quelle que soit l'issue, il semble être essentiel d'essayer.
Time
"Plutôt bon", telle pourrait être l'ambition réelle de cette série, même si cela implique une comparaison peu flatteuse avec l'ampleur et les ambitions de Breaking Bad. (...) Pour le moment j'essaie d'avancer avec mesure : aurais-je envie de regarder cette série si je ne connaissais rien de cet univers ou de ses personnages ? J'en doutais il y a peu. Mais le bagout de Saul, ou devrais-je dire Jimmy, m'a convaincu d'y croire.
Huffington Post
Sans surprise, Better Call Saul a de l'allure. Les trois premiers épisodes sont bien rythmés et ils introduisent efficacement les éléments constitutifs du prequel centré sur Saul Goodman, l'avocat hâbleur de Walter White, à l'éthique douteuse. Mais ce que n'a pas Better Call Saul, c'est une raison d'exister par lui-même. (...) Bien évidemment je vais continuer à regarder. Mais j'avoue que parfois la série est trop à l'image de son personnage principal : enjôleur, brillant, désespéré, recherchant à tout prix à plaire et parfois terrorisé par l'échec.
Huffington Post (FR)
Il ne s'agit pas de prolonger la série mère, mais d'explorer un de ses personnages secondaires. À l'image de Jimmy McGill/Saul Goodman, l'humour prend notamment davantage de place dans cette fiction. Sans pour autant en faire une comédie : si l'insolite et le ridicule viennent de temps en temps briser la tension, les rebondissements n'en sont pas moins dramatiques.
Les Inrockuptibles
Pleine de promesses, Better Call Saul aura peut-être moins d’ampleur tragique que . Mais à force de nous saouler de paroles, elle pourrait réussir à la faire oublier. Saul Goodman est capable de tout.
Télé Loisirs
Better Call Saul part avec un inconvénient : l'ombre écrasante de son modèle, . Tout repose sur les épaules de Bob Odenkirk : il est littéralement de toutes les scènes et sa prestation est impressionnante (…) C'est trop tôt pour dire si tout ça tiendra la distance, mais on veut voir la suite.
Variety
Pour l'instant, Better Call Saul contient quelques éléments séduisants, des scènes remarquables et un fabuleux pedigree mais le jury est encore réuni pour se prononcer sur le verdict.
Le Monde
L'entrée en matière est réussie car il y a un savoir-faire qui transpire dans chacun des plans et dans la structure de l'arche principale. En revanche, on attend de voir comment se déroule la suite des aventures.