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Uniquement la saison 3
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Note moyenne
3,4
410 notes
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Votre avis sur Westworld ?
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ffred
Après une saison 2 plus faible avec moins d'intérêt cette saison 3 m'a absolument ravi. Techniquement toujours très fort, une histoire plus facile à suivre avec la sortie du parc. Interprétation toujours au top, nouveaux personnages, nouveaux acteurs dont Vincent Cassel. Hâte de la suite...
J'avais un peu peur au vue des critiques, mais j'ai adoré. Alors certes on perd un peu l'esprit des 2 premières saisons, mais l'intrigue reste captivante et tordue avec beaucoup de plans futuristes : j'adore !
Très déçu par la saison 2 assez incongrue, cette saison nous plonge désormais dans le monde hors parc et c est tout à fait intéressant ; un monde high-tech et une intrigue qui commence dès l épisode 1 a interpeller... pas mal du tout poursuivons pour confirmer cette première impression prometteuse
Saison 3 finie : excellente facture, une intrigue autours des IA et la lutte de clan. Une bonne épaisseur dans le scénario qui interroge un peu plus sur ce thème des prédictions ou anticipation d IA. C était inespéré après une saison 2 décevante
Saison 3 finie : excellente facture, une intrigue autours des IA et la lutte de clan. Une bonne épaisseur dans le scénario qui interroge un peu plus sur ce thème des prédictions ou anticipation d IA. C était inespéré après une saison 2 décevante
Une saison 3 nulle de chez nulle ! Où est passé westworld ? On ne comprend plus qui est qui, ni pourquoi tel personnage fait telle chose... Couplé au fait que ça se passe dans le monde extérieur et que c'est bourré de scènes d'action inutiles,
il vaudrait mieux stopper l’hémorragie et annuler la série pour allouer son budget considérable à un autre projet.
il vaudrait mieux stopper l’hémorragie et annuler la série pour allouer son budget considérable à un autre projet.
Cette troisième saison avait été annoncé comme plus simple à suivre : on retrouve effectivement une seule temporalité, avec un schéma scénaristique beaucoup plus classique.
Et si la simplicité est de mise, le côté plus recherché et philosophique des deux précédentes saisons en ressort diminué.
Si le futur présenté est tout à fait dans l’image d’un futur proche des créations de ces dernières années, il en perd au passage son mystère et son aura.
La saison a toujours pour thème le libre-arbitre et les choix de vie, ici dans une société qui est dirigée par une intelligence artificielle omniprésente. Avec la dénonciation de l’usage des données et la capacité des grandes firmes à manipuler l’opinion, la série se veut très contemporaine.
Reste que les questions de moralité, de justice et la révolution des hôtes devient un simple décor lointain.
La saison évolue en même temps que l’anti-héros, Caleb, prolétaire et ancien soldat hanté par son passé.
Le casting est de retour, même les acteurs secondaires pour des apparitions courtes voir éclair. J’ai beaucoup aimé le traitement du personnage de Dolorès, l’antagonisme de Maeve et la quête de réponses de Bernard.
L’arc concernant William est relativement moyen, avec une fin amoral à la hauteur de la noirceur de l’homme, idem pour l’hôte Charlotte Hale.
Le personnage de Serac joué avec brio par notre frenchie Vincent Cassel est à la hauteur d’incarner à la fois le grand chef derrière la firme Incite, mais également, un homme pétri de contradictions, même si elles ne sont pas aussi mis en abime que pour les 3 personnages principaux.
La qualité technique est toujours bluffante, aussi bien le choix des décors futuristiques en Espagne et à Singapour, les costumes et accessoires, effets spéciaux, et bien évidemment la musique toujours somptueuse et envoûtante.
Avec 8 épisodes, on sent une série plus condensée et qui va plus rapidement d’une intrigue à l’autre, avec peu de temps pour s’appesantir sur un thème ou un parc.
Malgré le travail grandiose de l’ensemble de l’équipe artistique, les enjeux semblent paradoxalement moins important que dans les parcs.
Westworld reste néanmoins l’une des meilleures séries américaines à suivre, sachant s’élever au-dessus des autres, et même sans réinventer le genre, livrer une fiction pleine de réflexions et poésie.
Impossible de savoir à quoi ressemblera la prochaine saison : monde post-apocalyptique ou guerre des machines ?
En espérant qu’elle ne se finisse pas encore sur un nouvel hôte endormi qui se réveille plusieurs années après…
Et si la simplicité est de mise, le côté plus recherché et philosophique des deux précédentes saisons en ressort diminué.
Si le futur présenté est tout à fait dans l’image d’un futur proche des créations de ces dernières années, il en perd au passage son mystère et son aura.
La saison a toujours pour thème le libre-arbitre et les choix de vie, ici dans une société qui est dirigée par une intelligence artificielle omniprésente. Avec la dénonciation de l’usage des données et la capacité des grandes firmes à manipuler l’opinion, la série se veut très contemporaine.
Reste que les questions de moralité, de justice et la révolution des hôtes devient un simple décor lointain.
La saison évolue en même temps que l’anti-héros, Caleb, prolétaire et ancien soldat hanté par son passé.
Le casting est de retour, même les acteurs secondaires pour des apparitions courtes voir éclair. J’ai beaucoup aimé le traitement du personnage de Dolorès, l’antagonisme de Maeve et la quête de réponses de Bernard.
L’arc concernant William est relativement moyen, avec une fin amoral à la hauteur de la noirceur de l’homme, idem pour l’hôte Charlotte Hale.
Le personnage de Serac joué avec brio par notre frenchie Vincent Cassel est à la hauteur d’incarner à la fois le grand chef derrière la firme Incite, mais également, un homme pétri de contradictions, même si elles ne sont pas aussi mis en abime que pour les 3 personnages principaux.
La qualité technique est toujours bluffante, aussi bien le choix des décors futuristiques en Espagne et à Singapour, les costumes et accessoires, effets spéciaux, et bien évidemment la musique toujours somptueuse et envoûtante.
Avec 8 épisodes, on sent une série plus condensée et qui va plus rapidement d’une intrigue à l’autre, avec peu de temps pour s’appesantir sur un thème ou un parc.
Malgré le travail grandiose de l’ensemble de l’équipe artistique, les enjeux semblent paradoxalement moins important que dans les parcs.
Westworld reste néanmoins l’une des meilleures séries américaines à suivre, sachant s’élever au-dessus des autres, et même sans réinventer le genre, livrer une fiction pleine de réflexions et poésie.
Impossible de savoir à quoi ressemblera la prochaine saison : monde post-apocalyptique ou guerre des machines ?
En espérant qu’elle ne se finisse pas encore sur un nouvel hôte endormi qui se réveille plusieurs années après…
3,5/5 Bien. En apparence dans cette saison on avance bien. Mais avec un peu de recul, c'est plutôt une saison de transition durant laquelle on tourne en rond sur des effets maîtrisés mais déjà utilisés. La qualité est présente, le casting et les effets spéciaux sont efficaces mais il manque une véritable avancée pour monter d'un cran. Espérons que ce soit pour la prochaine saison...
La saison 1 est exceptionnelle, et heureusement pour nous, elle se suffit à elle même. Car la saison 2 est nettement moins bonne. Quant à la saison 3, il n'y a plus rien à voir. Comment une série aussi prometteuse a-t-elle pu tomber si bas ? Quoi qu'il en soit, il n'y a qu'une chose à faire, la considérer comme une géniale mini-série de 10 épisodes !
AlexLaloix
Après deux saisons au cœur du parc "Westworld" et son ambiance western, la série nous a fasciné par son riche univers et ses divers personnages, malgré son fil narratif alambiqué. Désormais, loin du monde d’aventure peuplé d’androïdes, la saison 3 nous plonge dans un nouveau monde : le monde réel, un monde futuriste à la pointe de la technologie. En apparence, moins fastidieuse grâce à sa seule et unique temporalité, ces huit nouveaux épisodes opèrent un virage plutôt réussi, bien que l’intrigue manque toujours de mordant et d’émotion pour y accrocher davantage. Néanmoins, avec des acteurs toujours aussi performants et une mise en scène visuelle particulièrement réussie, cette nouvelle saison vaut malgré tout le coup d’œil.
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14/20
Critique sur Westworld (saison 3)
Vue du 14 au 19.01.2022 sur OCS
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14/20
Critique sur Westworld (saison 3)
Vue du 14 au 19.01.2022 sur OCS
Le scénario plonge dans la confusion. Le côté futuriste est plutôt bien créé et la musique toujours parfaite, mais on est très loin de la première saison.
spoiler:
Déjà que j'avais trouvé la 2e saison un peu fade, mais au moins on restait dans un parc, là, la réalité fait perdre tout son charme
. Dommage, les acteurs jouent bien, mais ça ne suffit pas.
. Dommage, les acteurs jouent bien, mais ça ne suffit pas.
Cette saison 3 marque un réel tournant pour cette excellente série. On quitte le parc et l’ambiance Western pour un monde moderne futuriste. Dolores débarque dans le « vrai » monde et compte bien le façonner à son image. De nouveaux personnages font leur apparition avec un casting toujours au top (Aaron Paul dans le rôle de Caleb et Vincent Cassel dans le rôle de Serac). Cette saison est différente des deux précédentes et nous épargne les différentes timelines pour centrer la complexité du récit sur les motivations des protagonistes. Vous passerez toujours de longues minutes à décortiquer les indices afin de vous faire vos propres théories sur la suite des événements. J’ai énormément aimé cette troisième saison qui sait prendre des risques pour se renouveler. Je la place malgré tout un cran en dessous des deux précédentes qui n’étaient pas loin de la perfection. Le développement de certains personnages est peut-être un peu moins étoffé (la faute à une saison de 8 épisodes là où les deux présentes en comptaient 10). J’ai énormément apprécié le duo Aaron Paul - Evan Rachel Wood dont l’alchimie grandit d’épisode en épisode pour un final très touchant. Les effets spéciaux sont époustouflants, la musique est toujours aussi captivante et nous plonge pleinement dans cet univers. Les créateurs de « Westworld » font vraiment un super boulot et méritent de toucher un public beaucoup plus large.
Le final ouvre de nombreuses perspectives pour la suite que j’ai déjà hâte de découvrir.
Le final ouvre de nombreuses perspectives pour la suite que j’ai déjà hâte de découvrir.
Une 3e saison qui arrive à bien renouveler la série en montrant le monde extérieur et un univers futuriste ambitieux qui va au delà du concept de départ, mais on a un peu du mal à voir où veut en venir le fond de l'histoire et la complexité voulue par la boucle d'intelligence artificielle.
J'ai aimé le scénario et la direction prise. Cependant, la simplification à outrance fait perdre beaucoup de profondeur psychologique à la série, et du même coup une partie de son intérêt. De même, William, personnage assez central des 2 premières saisons, voit son rôle (et son charisme) fortement restraint dans cette 3ème saison. Quel dommage ! Même si la fin de la saison peut clairement nous faire penser à un retour sur le devant de la scène... Quelques trous scenaristique, notamment sur le choix de Caleb, qui, même si justifier, semble toujours relevé un peu du hasard, quand d'autres deviennent un peu trop lourd... Coucou Maeve, tu vas finir par comprendre que tu es un hôte et que ta fille n'est qu'un rôle ?
Je mets quand même un 4 un poil sympa, car j'espère que cette saison sera une amorce a une grande saison 4. HBO ayant annoncé 3 saisons supplémentaires après celle-ci.
Je mets quand même un 4 un poil sympa, car j'espère que cette saison sera une amorce a une grande saison 4. HBO ayant annoncé 3 saisons supplémentaires après celle-ci.
Vinz1
Malgré la présence de Vincent Cassel et d’Aaron Paul au casting, cette saison 3 peine à décoller vraiment car encore une fois, il y a trop de dialogues inutiles et surtout, ça tourne trop autour du pot pour aller à l’essentiel. Combien de fois, en effet, a-t-on la vague impression d’avoir assisté plusieurs fois à la même scène !? C’est certes esthétiquement magnifique, les effets spéciaux sont vraiment incroyables, mais tout cela manque véritablement d’envergure, à croire que les scénaristes sont en manque d’inspiration !
Agréable en tant que pur divertissement mais très décevant si l'on croit voir une série intelligente dont Westworld est souvent présentée comme l'archétype. Le scénario est médiocre, les effets faciles et les clichés abondent, les Deus Ex Machina et les incohérences sont légion, les grands thèmes tombent à plat, le credo féministe est toujours aussi peu finement asséné, les nouveaux personnages sont vides... Il reste le casting et le budget (l'esthétique est superbe), mais sinon ça n'a pas beaucoup de liant: tout pourrait être réglé en 2 épisodes. Le comportement des personnages est absurde dans l'ensemble (principalement ses deux héroïnes, malheureusement), les épisodes semblent corsetés dans le cadre forcé des séries tv dopées aux cliffhangers faciles, et les héros
spoiler:
ne gagnent que parce que chaque fois qu'il sont en difficulté les "méchants" font des choses que personne d'un minimum intelligent ne ferait en réalité....
A la longue, rien n'est crédible. Dommage car l'Univers de cette saison m'a plu. Elle amène toutefois du sang neuf, et est donc pour moi supérieure à la saison 2.
A la longue, rien n'est crédible. Dommage car l'Univers de cette saison m'a plu. Elle amène toutefois du sang neuf, et est donc pour moi supérieure à la saison 2.
Westworld Saison 3 fait office de passage de transition entre la sortie du parc et le nouvel enjeu à venir dans un monde d'anticipation qu'on a découvert lors de ses huit épisodes. Si l'arc de Dolores est fort en intensité et aborde de nombreuses thématiques intéressantes et notamment celle du libre-arbitre, la série trébuche dans tous les autres aspects du scénario. Un certain manque de rythme se fait sentir et le personnage de Maeve n'est pas étranger à cela. Dommage que le point fort et central des deux premières saisons, à savoir le scénario, ne soit pas à son meilleur niveau. Cependant la série se rattrape par l'interprétation et des personnages profonds et intéressants, exception faite de Vincent Cassel dans le rôle de Serac qui est un gros loupé de cette saison. La série profite aussi de cette saison pour livrer un univers fourmillant de détails et criant de vérité. Le tout est bien porté par les compositions toujours qualitatives de Ramin Djawadi.