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Le premier épisode est une grosse déception. Comment peut-on faire une série médicale à ce point édulcorée et peu crédible, où les infirmières naviguent seulement entre 2-3 patients chaque jour et ont le temps de se balader tranquillement dans les couloirs et de se laisser aller à des niaiseries sans nom???
Franchement, les cas médicaux ne sont pas vraiment fouillés (la grecque et son fils), à l'exception spoiler: de la fille à l'excès de scanner qui a été adoptée (et donc n'a pas le passif cancéreux de sa famille)
. Hélas, c'est dilué au milieu de plein de trucs idiots, comme la situation de départ spoiler: (Nina, qui voulait être médecin, travaille comme infirmière dans l'hôpital de son ex et de sa nouvelle compagne; sa fille a été gravement malade)
, les personnages secondaires spoiler: (le boss de Nina est vraiment caricatural, on voit venir à des kilomètres l'issue concernant celle qui vit dans les sous-sols de l'hôpital)
, les piques dramatiques exagérées spoiler: (la fille qui revient à l'hôpital pour un truc basique)
et un générique pathétique à souhait.
Côté casting, hormis Annelise Hesme, c'est le désert, avec en guise d'apogée le catastrophique Thomas Jouannet.
L'épisode 2 est dans la même veine affligeante, avec un climat de grève plus ridicule qu'autre chose spoiler: (voir une dizaine d'employés agiter leur drapeau, c'est ça une grève???)
, où jamais on ne ressent la tension que ça induit à l'hôpital ou comment les patients en souffrent. Les infirmières ont toujours le temps de déjeuner, il n'y a aucune véritable urgence et seuls 2 cas médicaux occupent le monde, dont un assez risible spoiler: (arrêt cardiaque d'un médecin après le sexe)
et un autre qui passe trop sous silence spoiler: la question de l'alzheimer au profit d'un crime abusé (la femme du patient est quand même fortement rapide à vouloir tuer son mari) et d'une pseudo-accusation surréaliste à l'encontre de Nina (c'est quand même phénoménal qu'une infirmière accusée d'avoir failli tuer un patient soit maintenue et que ce soit son boss qui trinque!!!).
Le reste est un déchaînement de niaiseries dégoulinantes spoiler: (l'infirmière nympho avec les médecins, la femme qui pardonne les infidélités de son mari, le sexe dans le placard de l'hôpital)
et de caricatures spoiler: (le médecin Proust est un cliché sur pattes, la mère de Nina aussi, et le pseudo-triangle amoureux est pathétique).
Franchement, les cas médicaux ne sont pas vraiment fouillés (la grecque et son fils), à l'exception spoiler: de la fille à l'excès de scanner qui a été adoptée (et donc n'a pas le passif cancéreux de sa famille)
. Hélas, c'est dilué au milieu de plein de trucs idiots, comme la situation de départ spoiler: (Nina, qui voulait être médecin, travaille comme infirmière dans l'hôpital de son ex et de sa nouvelle compagne; sa fille a été gravement malade)
, les personnages secondaires spoiler: (le boss de Nina est vraiment caricatural, on voit venir à des kilomètres l'issue concernant celle qui vit dans les sous-sols de l'hôpital)
, les piques dramatiques exagérées spoiler: (la fille qui revient à l'hôpital pour un truc basique)
et un générique pathétique à souhait.
Côté casting, hormis Annelise Hesme, c'est le désert, avec en guise d'apogée le catastrophique Thomas Jouannet.
L'épisode 2 est dans la même veine affligeante, avec un climat de grève plus ridicule qu'autre chose spoiler: (voir une dizaine d'employés agiter leur drapeau, c'est ça une grève???)
, où jamais on ne ressent la tension que ça induit à l'hôpital ou comment les patients en souffrent. Les infirmières ont toujours le temps de déjeuner, il n'y a aucune véritable urgence et seuls 2 cas médicaux occupent le monde, dont un assez risible spoiler: (arrêt cardiaque d'un médecin après le sexe)
et un autre qui passe trop sous silence spoiler: la question de l'alzheimer au profit d'un crime abusé (la femme du patient est quand même fortement rapide à vouloir tuer son mari) et d'une pseudo-accusation surréaliste à l'encontre de Nina (c'est quand même phénoménal qu'une infirmière accusée d'avoir failli tuer un patient soit maintenue et que ce soit son boss qui trinque!!!).
Le reste est un déchaînement de niaiseries dégoulinantes spoiler: (l'infirmière nympho avec les médecins, la femme qui pardonne les infidélités de son mari, le sexe dans le placard de l'hôpital)
et de caricatures spoiler: (le médecin Proust est un cliché sur pattes, la mère de Nina aussi, et le pseudo-triangle amoureux est pathétique).
Une très belle découverte, digne des séries étrangères plus connues. Les personnages principaux ont tous un caractère bien particulier, qui donne aux spectateurs, l'envie de les découvrir sur la durée, notamment les relations entre eux.
Le rôle principal, brillament joué, est complexe mais propose une approche mure de la femme, tant dans sa vulnérabilité, sa sensibilité, que son honnêteté, ses désirs, ses convictions. Chaque personnage est interessant et attachant.
Le rôle principal, brillament joué, est complexe mais propose une approche mure de la femme, tant dans sa vulnérabilité, sa sensibilité, que son honnêteté, ses désirs, ses convictions. Chaque personnage est interessant et attachant.