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    Une Nuit en enfer : la série
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    13 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 novembre 2016
    Excelent!
    Le scenario reprend les base posé par le film et exploite tout les élément qu'il suggerais sans les exploiter, sur se point, c'est vraiment réussie.
    Plus fin, subtile et intéligent que le film, pourtant déjà trèssssssss réussi, sans perdre pour autant son coté jubilatoire !
    Vraiment une réussite et un parfait équilibre !
    Psychologie des personnages plus élaboré et poussé que dans le film, univers plus étofé et fouiller. LEs quelque nouveau personnage récurant créer apporte vraiment un plus a cette "mythologie Rodriguezienne" sans jamais trahir l'esprit du film.
    Les SFX, VFX, costume décore, tout est top ! Le casting est bon dans sa globalité.

    Seul petit bémole, le doublage français de Madison Davenport (Kate Fuller), un RATAGE TOTAL, de la pur récitation de texte sans jamais la moindre émotion... La doubleuse devrais immédiatement changer de taff, sur ce point c'est une CATASTROPHE !
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    204 abonnés 2 844 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2016
    Il faudra aller au bout de cette saison, qui sera des plus pénible pour les aficionados du chef d'oeuvre de Rodriguez, avant d'espérer débuter la deuxième saison qui, je vous le garanti, est une réussite. Cette saison n'est que le retake de nouvelles bases.
    Chris Art
    Chris Art

    77 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2014
    (...) Si les cinéastes ne se sont jamais privés pour adapter sur grand écran certains des plus grands succès de la télévision, la tendance actuelle serait plutôt à l’opposé.
    (...) Robert Rodriguez a lancé la tendance en portant son cultissime Une Nuit en enfer sur petit écran. Objectif annoncé, explorer la mythologie et les origines du fameux Titty Twister à travers dix épisodes de cinquante minutes.
    (...) Un peu comme pour le long-métrage, la série peut se diviser en deux parties. Avant et après le lap dance de Salma Hayek, remplacée ici par la jeune Eisa Gonzalez, qui ne manque pas de charme non plus. Les cinq premiers épisodes suivent scrupuleusement la trame narrative du film, racontant la cavale des frères Gecko vers le Mexique.
    (...) Après deux épisodes de transition, From Dusk Till Dawn rentre dans une seconde partie qui, dans le film, peut se résumer à un jeu de massacre d’une demi-heure environ. Du coup, pour tenir quatre épisodes, Rodriguez a choisi de s’éloigner de l’histoire d’origine pour une exploration du temple sur lequel se trouve le Titty Twister.
    (...) Robert Rodriguez n’a pas confié sa série à n’importe qui, et en a même réalisé quatre épisodes. Globalement on retrouve sa patte et celle de son ami Tarantino dans la mise en scène, toujours aussi pêchue et survoltée.
    (...) Au final, From Dusk Till Dawn est un excellent complément au film dont elle creuse l’univers, même si elle est loin d’être exempte de défauts. Les novices trouveront une série bien ficelée mais parfois un peu bancale, dont le virage à 180 degrés à mi-parcours risque de rebuter plus d’un.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    283 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 décembre 2014
    Robert Rodriguez a fait très peu de bons films mais Une Nuit en Enfer en est un bon exemple. L’adapter en film après avoir produit deux suites n’était probablement pas une bonne idée, cependant.

    Et pourtant, From Dusk Till Dawn est une des premières séries de la nouvelle chaîne TV El Rey de Robert Rodriguez. Avec son casting plutôt intéressant, rempli de contre-emploi et d’acteurs sur le retour comme Robert Patrick, Don Johnson, Jake Busey et William Salder, on pouvait s’attendre à une partie de plaisir avec du sang, des cris, des zombies et des scènes d’action décomplexées. On a ces 4 éléments dans From Dusk Till Dawn. Ça aurait suffi à la série. Evidemment, Robert Rodriguez ne sait jamais s’arrêter et orchestre une espèce de conspiration de vampires mexicains, avec des visions et des scènes plus proches de Blade (sans le talent) que de From Dusk Till Dawn, le film. Quant aux acteurs principaux, ils oscillent entre le médiocre et le mauvais. Par exemple, D.J. Cotrona est une très mauvaise imitation de George Clooney, Zane Holtz et Eiza Gonzalez sont d’une fadeur assommante et que dire de Madison Davenport et Wilmer Valderramma, insupportables ?

    From Dusk Till Dawn est tout juste divertissant, tout en ayant le bon goût de ne durer que 10 épisodes. Malheureusement, la deuxième saison en durera 13. A voir s’il y a de quoi tenir et s’améliorer.
    kal-el 02
    kal-el 02

    114 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2014
    J'ai adoré le film de robert rodriguez avec george clooney et quentin tarantino . je mettais quelques doutes sur cette série. Finalement, j'ai été très agréablement surpris qui met en place un scénario différent et intéressant. Le jeu des acteurs est très bon et la série active. Convaincu mais moinbienque le film bien sur .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Très bonne série. Au début, elle commence calmement mais par la suite ça s'emballe. Vraiment bien, et que dire du jeu des deux acteurs principaux. Je la recommande.
    Julien C.
    Julien C.

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2014
    Je tiens à préciser, j'ai regardé le pilote, je ne compte pas aller plus loin. C'est triste cette série, cela reprend les grandes lignes du film du même nom. On y retrouve la même scène d'introduction, les deux frères dans cette station essence. Le seul soucis, c'est que c'est ni Tarantino, ni Clooney qui les jouent, mais deux acteurs qui essayent de se rapprocher au maximum de leur jeu et de leur tronche, et ça ne prend pas, la copie est mauvaise, il n'y a aucune interprétation, rien de neuf en vue.

    Point de vue réalisation, c'est mauvais, certains cuts sont très mal gérés, on est loin de la photographie à laquelle nous a habitué Rodriguez, les effets spéciaux sont hyper mal foutus, enfin bref, quel intérêt d'avoir remis cette licence au format série si c'est pour en faire un format plus long, chiant, et moins bien produit? A part du fric bien sûr...

    Je ne pense que c'était une bonne idée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 août 2015
    Une nuit en enfer (From Dusk till Dawn en VO) est un film incroyable, fun, décomplexé. Un Robert Rodriguez dans sa meilleure période (Desperado, The Faculty), écrit par un Quentin Tarantino toujours aussi subtile, et surtout un casting trois étoiles : George Clooney (complètement taré à souhait), Harvey Keitel, Juliette Lewis, ou encore Tarantino lui-même (en gros psychopathe flippant). Sans oublier l’apparition on ne peut plus savoureuse de Salma Hayek bien entendu. Un film qui a donné lieu à deux suites, Une nuit en enfer 2 : Le prix du sang et Une nuit en enfer 3 : La fille du bourreau, franchement dispensable et sortis directement en DVD.

    L’histoire d’Une nuit en enfer raconte la cavale des frères Seth (Clooney) et Richard (Tarantino) Gecko qui, après avoir dévalisé une banque, prennent en otage le pasteur Fuller (Keitel) et ses enfants, pour les aider à traverser la frontière mexicaine avec leur camping-car. Malgré l’intensité de la situation, des liens vont se créer, et ils ne seront pas de trop quand ils vont arrivés au Titty Twister, un bar mal famé et quelque peu étrange…

    Du coup, entre un film qui se suffit à lui-même, et des suites bien nazes, l’idée de se mater la série éponyme n’était pas au programme. Pas envie de se farcir tout ce qu’on a déjà vu avec d’autres acteurs, certainement avec des longueurs inutiles, et en moins bien. Puis quelques facteurs sont entrés en jeu : Robert Rodriguez est le créateur de cette nouvelle monture (et réalise même quelques épisodes), Robert Patrick s’est incrusté au casting, et la série s’est vue renouveler pour une seconde saison. La curiosité a donc pris le dessus, et les 10 épisodes y sont passés.

    Résultat : c’est une grosse surprise. Robert Rodriguez a traité sa série comme une réinvention totale de son film culte, tout en gardant l’esprit déjanté et les scènes mémorables qu’on voulait revoir ici. Tranquillement, le cinéaste reprend l’exact même trame, en y insufflant des détails, des flashbacks et des idées très intéressantes, et ne prend (presque) pas le risque d’ajouter des personnage superflus. Au contraire, il se contente de ceux créé par Tarantino, les développe en prenant son temps, et les rend soit hilarants, soit dramatiques, soit inquiétants, mais toujours crédibles (malgré quelques clichés sur le pasteur et son triste background ou le Ranger qui devient carrément le glaive de la Justice).

    Dommage cependant que l’écriture des dialogues ne suivent pas trop. N’est pas Tarantino qui veut, car le style incisif et sarcastique du réalisateur de Pulp Fiction est complètement absent (loupé ?), et laisse un petit vide non-négligeable. Ce qui entraîne une légère perte de folie furieuse, notamment dans les échanges entre les frères Gecko.

    Heureusement pour From Dusk till Dawn que les comédiens choisis font un boulot plus que satisfaisant. D.J. Cotrona (Seth Gecko) garde la même attitude du « me chatouille pas trop, hombre », en répétant quelques mimiques de son aîné, mais s’approprie totalement le personnage avec une justesse et une sobriété notable (là où Clooney faisait du zèle à la perfection). Idem pour son frère Richard, interprété par Zane Holtz, celui qu’on va éviter d’inviter en soirée, qui a particulièrement pris de l’ampleur avec sa tendance psychotique évoluant en visions perturbantes. Ça en devient d’ailleurs un fil conducteur certes grotesque, mais assez bien fait pour que le personnage soit suffisamment attachant. Leur relation, la clef du succès, est parfaitement dosé, et aucun d’eux n’est éclipsé au dépend de l’autre.

    Tous les autres, que ce soit Robert Patrick (le pasteur), Madison Davenport (sa fille) ou Wilmer Valderrama (le méchant truand), ils s’en sortent très bien. Et la remplaçante de Salma Hayek, elle, fait très bien l’affaire. Belle danse et tout… Bon, d’accord, Eiza González passe le plus clair de son temps à moitié à poil dans la série, ça aide pas à se concentrer. Mais comme y’avait rien qui dépassait… qui choquait dans son jeu d’acteur, ça glissait tout seul… Petit plus pour le rôle de Sex Machine, utilisé ici de façon surprenante.

    Bien sûr, qu’en est-il du Titty Twister ? Quand arrive enfin le moment du bar en milieu de saison, le doute sur le devenir de la série est déjà dissipé. On attend avec impatience le carnage en règle qui s’y prépare (bon bain de sang que cet épisode 7), même si on peut se demander ce qu’ils peuvent bien inventer pour tenir sur cinq épisodes entiers. Pas d’inquiétude : la recette « sanglant, sexy et drôle » est toujours de la partie, sauf que le côté dramatique prend plus d’importance (les relations fraternelles et familiales en prennent un coup). Là aussi, Rodriguez ajoute de la nouveauté, et l’épisode 9 du labyrinthe permet des scènes jubilatoires, qui montre que, dans l’idée, une saison 2 avec cette même inspiration peut devenir grandiose.

    POUR LES FLEMMARDS : Véritable surprise, From Dusk till Dawn parvient à garder l’esprit du film, tout en se réinventant intelligemment. Mieux, le casting est bon, et les ajouts très intéressants. Mais le ton caustique de Tarantino manque cruellement à l’ensemble.
    neilseim
    neilseim

    9 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2015
    LA version longue, mais vraiment longue !, d'une nuit en enfer !
    Vous pensiez que les acteurs d'origines étaient irremplaçables ?
    Vous pensez qu'un film de 1h30 entre thriller, comédie et horreur ne peut décemment pas tenir sur 10 épisodes ?
    Erreur : avec de l'imagination, un réalisateur, et de bons acteurs, on obtient une série accrocheuse, similaire à l'original pour tous les personnages et scènes cultes, et une musique d’ambiance toujours aussi géniale !
    Les dialogues longs, les scènes troublantes, gores, sexy, tout est repri, amplifié : on sent un certain plaisir et respect surtout aux fans de la première heure qui se sont toujours demandés pourquoi il y avait un temple Inca à la fin !
    Réponse donnée... vivement la suite s'il y a... la fin de celui-ci se suffit à elle-même !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 mai 2015
    Sa reprend assez le film,la première parti est pas mal mais la deuxième est moyenne.
    Par contre on ne retiendra pas la performance des acteur qui est dans l’ensemble médiocre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 31 mars 2014
    Bof !! Les acteurs qui jouent les fréres gueko n'ont aucun charismes , seul les seconds rôles sans sortent bien mais on s'ennuie ferme !! Des flash back en veux tu en voila qui font trainer les épisodes en longueur . Pour les effets spécieux c'est vraiment mauvais avec des vampires qui pourraient jouer les mechant dans power ranger tellement c'est moche et pour l'intrigue ... ba rien qui pourrait me faire continuer a regarder cette serie . Gros nanard tiré d'un excellent film ! C'est dommage ..
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 mai 2015
    L'idée d'adapter le film en série m'a rendue un peu sceptique au début. Pourtant, au fil des épisodes, la série gagne en intérêt. Ce n'était pourtant pas gagné avec un début long et lent. Le premier épisode correspond ni plus ni moins qu'à la première scène du film, en version rallongée pour tenir la durée. Cela ne laissait rien présager de bon. Pourtant, les auteurs ont réussi leur pari, en changeant le ton (plus sérieux) et en développant toute la partie mythologie, qui était totalement occultée dans le long métrage. De nouveaux enjeux apparaissent, et rendent l'intrigue captivante.
    En revanche, il n'y a pas vraiment de surprise, les grandes lignes du film ont été repris. Et si Sex Machine était tordant dans la version kitch et déjanté de 1996, il était passablement ridicule dans la version 2015.
    Franchement, à voir. Il faut juste faire preuve de patience pour les premiers épisodes, le final de la saison 1 en vaut la peine !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 octobre 2014
    excellente série ! j'ai adoré, c'est torturé, tordu et gore a souhait ! que du bonheur ^^
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