Once Upon A Time In Wonderland : Critiques de la presse
Once Upon A Time In Wonderland
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,0
10 titres de presse
Los Angeles Times
New York Daily News
New York Post
Newsday
TV Guide
Boston Globe
Variety
Pittsburg Post-Gazette
Washington Post
New York Times
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Los Angeles Times
La série doit autant à la qualité de ses effets spéciaux (le palais de la Reine Rouge est splendide, et les oreilles du Lapin Blanc sont un chef d’œuvre), qu’à la force de son récit et l’alchimie entre les comédiens. Auxquels s’ajoutent des dialogues brillants, des twists intelligents et, cerise sur le gâteau, une ambiance « steampunk » mêlant gothique et époque Victorienne.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
New York Daily News
Once upon a time in Wonderland, dérivé du succès surprise d’ABC Once upon time, pourrait bien être meilleur que son modèle.
La critique complète est disponible sur le site New York Daily News
New York Post
La difficulté d’avoir du succès avec un spin-off est de savoir créer une nouvelle série à l’identité propre tout en reprenant des éléments du programme dont elle est dérivée. Once upon a time in Wonderland, nouvelle trouvaille d’ABC, relève le défi avec brio, laissant supposer que le résultat pourrait être encore meilleur que Once upon a time.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
Newsday
Il y a tellement de choses à l’écran qu’au final on ne sait pas ce qui sera conversé ou pas dans la suite de la série, en dehors de l’esthétique guimauve.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
TV Guide
Certains se demanderont pourquoi les producteurs de Once upon a time n’ont pas gardé des idées pour la série qui en aurait bien besoin (surtout à la vue de la dernière saison) mais, en tout cas, je vais suivre avec joie le Lapin Blanc jusqu’à son terrier.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Boston Globe
Pour faire court, je préfère regarder un dessin-animé, ou un programme aux effets spéciaux « cheap » comme Buffy contre les vampires. Je ne suis donc pas le public idéal pour Once upon a time in Wonderland, dont le pilote ne m’a pas procuré de réel plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
Variety
Le spin-off de Once upon a time, situé au pays des Merveilles, est aussi élégant que son modèle mais souffre de plusieurs failles. La ravissante Alice aide à résoudre certains de ces problèmes mais l’exemple de son prédécesseur limite les espoirs de voir la série se terminer en beauté.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Pittsburg Post-Gazette
Au final, l’histoire importe peu car les personnages ne sont pas assez développés et les efforts, pour faire d’Alice autre chose qu’une demoiselle en détresse, n’apportent aucune profondeur à la série.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Washington Post
Les possibilités scénaristiques de ce spin-off sont semblent illimitées, mais l’intrigue actuelle ne permet pas d’envisager que ce potentiel sera exploité comme il se doit.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
New York Times
Dans Once upon a time, passer d’un monde à l’autre constituait une bonne idée de départ, bien qu’elle soit devenue par la suite une source de confusion. Wonderland zappe la première étape pour aller directement vers le brouillon.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Los Angeles Times
La série doit autant à la qualité de ses effets spéciaux (le palais de la Reine Rouge est splendide, et les oreilles du Lapin Blanc sont un chef d’œuvre), qu’à la force de son récit et l’alchimie entre les comédiens. Auxquels s’ajoutent des dialogues brillants, des twists intelligents et, cerise sur le gâteau, une ambiance « steampunk » mêlant gothique et époque Victorienne.
New York Daily News
Once upon a time in Wonderland, dérivé du succès surprise d’ABC Once upon time, pourrait bien être meilleur que son modèle.
New York Post
La difficulté d’avoir du succès avec un spin-off est de savoir créer une nouvelle série à l’identité propre tout en reprenant des éléments du programme dont elle est dérivée. Once upon a time in Wonderland, nouvelle trouvaille d’ABC, relève le défi avec brio, laissant supposer que le résultat pourrait être encore meilleur que Once upon a time.
Newsday
Il y a tellement de choses à l’écran qu’au final on ne sait pas ce qui sera conversé ou pas dans la suite de la série, en dehors de l’esthétique guimauve.
TV Guide
Certains se demanderont pourquoi les producteurs de Once upon a time n’ont pas gardé des idées pour la série qui en aurait bien besoin (surtout à la vue de la dernière saison) mais, en tout cas, je vais suivre avec joie le Lapin Blanc jusqu’à son terrier.
Boston Globe
Pour faire court, je préfère regarder un dessin-animé, ou un programme aux effets spéciaux « cheap » comme Buffy contre les vampires. Je ne suis donc pas le public idéal pour Once upon a time in Wonderland, dont le pilote ne m’a pas procuré de réel plaisir.
Variety
Le spin-off de Once upon a time, situé au pays des Merveilles, est aussi élégant que son modèle mais souffre de plusieurs failles. La ravissante Alice aide à résoudre certains de ces problèmes mais l’exemple de son prédécesseur limite les espoirs de voir la série se terminer en beauté.
Pittsburg Post-Gazette
Au final, l’histoire importe peu car les personnages ne sont pas assez développés et les efforts, pour faire d’Alice autre chose qu’une demoiselle en détresse, n’apportent aucune profondeur à la série.
Washington Post
Les possibilités scénaristiques de ce spin-off sont semblent illimitées, mais l’intrigue actuelle ne permet pas d’envisager que ce potentiel sera exploité comme il se doit.
New York Times
Dans Once upon a time, passer d’un monde à l’autre constituait une bonne idée de départ, bien qu’elle soit devenue par la suite une source de confusion. Wonderland zappe la première étape pour aller directement vers le brouillon.