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Note moyenne
4,1
1593 notes
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Votre avis sur The Affair ?
5
30 critiques
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50 critiques
3
15 critiques
2
13 critiques
1
10 critiques
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Wow ! Y' a des gens qui apprécient série cette qui s'éternise indéfiniment sur les déboires de ce couple minable adultérin ! J'en suis à l'épisode 9 de la saison 1 et on ne connait toujours pas l'intrigue ! On ne sait toujours pas qui s'est fait tuer et pour qui et pourquoi... Cette série est bonne uniquement à faire poireauter.C'est tellement nul que j'arrête à la moitié de l'épisode 9.
Magnifique série 💕❤️💕❤️❤️
À voir et à revoir
Vivement la saison prochaine
Casting superbe
Histoire intéressante et captivante
À voir et à revoir
Vivement la saison prochaine
Casting superbe
Histoire intéressante et captivante
La forme narrative est originale et c'est bien filmé. Mais l'enthousiasme retombe après 2 épisodes. C'est trop long, délayé au maximum. Il faut attendre l'épisode 8 pour, enfin, savoir qui est mort. Alors on prolonge la torture (plus que 2 épisodes) pour connaître l'épilogue. Et là, coup de théâtre : pour savoir le fin mot de l'histoire, il faudra supporter une saison 2 (ou pas !).
Si vous avez mieux à faire, gagner 8 heures de votre vie !
Si vous avez mieux à faire, gagner 8 heures de votre vie !
Très très long mélo (près de 9 heures) adultérin ; elle pleure constamment (avec talent reconnaissons-le), lui, roule des gros yeux effarés tout le temps.Quitterons - quitterons pas leur conjoint respectif : quel suspense ! Pour nous faire tenir, le scénariste glisse parfois une histoire de drogue, une scène érotique, un avortement, un meurtre, une visite touristique, un cheval. Pour arriver à faire long, on a droit à deux visions des mêmes scènes selon le souvenir de chaque héros ; pour faire original, elles sont dissemblables...
Nous avions apprécié la saison 1 tout en restant sur notre fin. Nous attendions donc la saison 2 avec l'espoir que l'histoire s'emballe. Malheureusement nous avons poussé jusqu'à la moitié de la nouvelle saison et nous nous sommes lassés. Nous avons préféré ne plus perdre notre temps.
On reprend la même structure narrative à savoir une première partie d'épisode du point de vue d'un protagoniste, une seconde du point de vue d'un autre, avec quelques répétitions de scènes mais qui point de vue subjectif oblige sont différentes ; même si la saison 2 insiste beaucoup moins sur cette particularité de narration que la 1... Ah oui, les flashforwards sont toujours présents aussi, excepté que le judiciaire a pris le relais du policier. Bon... sauf que dans tout cela il va y avoir une différence majeure à savoir qu'ici on ne va pas qu'avoir le point de vue des cocufieurs mais aussi celui des cocufiés.
Conséquences, on ne va pas avoir deux personnages principaux mais quatre, et sur cette saison en cocufiée, Maude Tierney, véritablement remarquable et touchante, va se tailler la part du lion. Et bien sûr, au lieu de s'ankyloser dans une routine l'effet de surprise va être renouvelé.
Seule petite réserve pour l'épisode de la tempête, qui a au moins le mérite de se distinguer par rapport au reste de la série en étant originale en n'étant pas originale justement avec sa structure narrative qui met de côté le côté points de vue des personnages en étant tout simplement linéaire, pour la raison qu'il croule un peu trop sous des métaphores et des situations un peu lourdes.
Mais autrement, rien à dire, l'écriture est toujours au poil, les personnages sont toujours aussi justes et leur évolution est toujours présentée avec subtilité ; parfois ils sont agaçants mais c'est surtout parce qu'ils sont beaucoup plus proches de nous qu'on ne le voudrait. Bref, encore une fois, on est captivé du début jusqu'à la fin.
Ce qui fait que même sans le cliffhanger de la toute fin de saison, bien fait dans cet objectif, on n'a qu'une seule envie : se plonger le plus rapidement possible dans la future troisième saison. La saison 2 confirme excellemment ce qu'est "The Affair" pour moi à savoir un de mes plus gros coups de cœur niveau série de ces dernières années.
Conséquences, on ne va pas avoir deux personnages principaux mais quatre, et sur cette saison en cocufiée, Maude Tierney, véritablement remarquable et touchante, va se tailler la part du lion. Et bien sûr, au lieu de s'ankyloser dans une routine l'effet de surprise va être renouvelé.
Seule petite réserve pour l'épisode de la tempête, qui a au moins le mérite de se distinguer par rapport au reste de la série en étant originale en n'étant pas originale justement avec sa structure narrative qui met de côté le côté points de vue des personnages en étant tout simplement linéaire, pour la raison qu'il croule un peu trop sous des métaphores et des situations un peu lourdes.
Mais autrement, rien à dire, l'écriture est toujours au poil, les personnages sont toujours aussi justes et leur évolution est toujours présentée avec subtilité ; parfois ils sont agaçants mais c'est surtout parce qu'ils sont beaucoup plus proches de nous qu'on ne le voudrait. Bref, encore une fois, on est captivé du début jusqu'à la fin.
Ce qui fait que même sans le cliffhanger de la toute fin de saison, bien fait dans cet objectif, on n'a qu'une seule envie : se plonger le plus rapidement possible dans la future troisième saison. La saison 2 confirme excellemment ce qu'est "The Affair" pour moi à savoir un de mes plus gros coups de cœur niveau série de ces dernières années.
Roman incroyablement bien ecrit, vous allez voir les deux faces d'une même histoire:)
Caine78
Un homme et une femme mariés trompent ensemble leurs conjoints mutuels pour vivre une passion aussi intense qu'inattendue : vu comme ça, rien de très original, sauf qu'une histoire de meurtre vient s'en mêler et, surtout, chaque épisode est séparé en deux parties bien distinctes : le point de vue du héros et celui de l'héroïne, parfois très proches, parfois beaucoup moins... C'est évidemment l'attraction principale de la série et le moteur de la narration, ce parti pris scénaristique offrant une plus large palette pour étudier les réactions des différents protagonistes, tout en instillant constamment (et pour cause) le doute chez le spectateur, ce dernier ne sachant jamais qui dit la vérité (pour peu que quelqu'un la dise, d'ailleurs!). C'est intelligent, subtil, parfois légèrement lassant mais toujours bien écrit et surtout formidablement interprété, notamment par Ruth Wilson, actrice ensorcelante transformant chaque rôle important qu'on lui offre en véritable pépite. Je ne sais pas si Hagai Levi parviendra à tenir la cadence durant la deuxième saison, mais en voyant ce qu'il a réussi à faire ici, il y a tout lieu d'espérer. Belle réussite.
Une relation extra-conjugale, une mort (accidentelle ou non), une enquête policière. Jusque là, "The Affair" ne propose pas grand chose de nouveau. Seulement voilà, une enquête policière pousse Noah et Alison à raconter leur rencontre, le début de leur relation et de ses conséquences. Lui est marié, père de famille, ayant du mal à écrire son deuxième roman, elle est serveuse, mariée également mais endeuillée par la mort de son jeune enfant. Chaque épisode se voit donc divisé en deux parties, l'une du point de vue de Noah et l'autre de celui d'Alison, permettant d'en savoir plus sur eux mais en disant également sur combien la mémoire est faillible et combien la vérité est une question de point de vue. Quand Noah se souvient de ses premiers moments avec Alison, c'est elle qui l'a séduit et quand Alison se souvient du même moment, c'est Noah qui apparaît comme très entreprenant. La vérité ? On ne la saura jamais, des pans entiers de dialogues et de scènes se trouvant changés suivant chaque point de vue. Bien qu'un peu artificiel aux premiers abords, ce procédé permet d'en savoir long sur les personnages, de ne pas délaisser leurs époux respectifs, riches de psychologie et d'intrigues secondaires et surtout de montrer combien tout est une question point de vue. Ne jugeant jamais ses personnages, se contentant de nous montrer la passion et les désirs qui les animent, cette première saison de "The Affair" se montre aussi intelligente que subtile, affirmant que l'on ne connaît jamais vraiment les gens et ce qu'ils ressentent. Portée par des acteurs en grande forme (Dominic West, que l'on prend plaisir à retrouver après "Sur écoute", Ruth Wilson, aussi sensuelle que fragile mais aussi Maura Tierney, Joshua Jackson ou encore John Doman), voilà une série qui s'impose comme un beau drame et dont la seconde saison se fait attendre, surtout vu le cliffhanger un peu facile de fin de saison.
je viens de terminer la saison 3, saison très mouvementée, truffée de rebondissements.
Les actrices et acteurs sont toujours aussi bons.
De nouveaux personnages qui agrémentent cette saison.
Une très grande réussite.
Les actrices et acteurs sont toujours aussi bons.
De nouveaux personnages qui agrémentent cette saison.
Une très grande réussite.
Xavi_de_Paris
Une deuxième saison que j'ai encore préféré à la première. L'éventail des sujets traités est large, des relations entre hommes et femmes au rôle de parent, en passant par le système judiciaire ou la célébrité. Et sur la famille d'une manière générale. La perdition du personnage principal, interprété avec brio par Dominic West, est très significative. La mise en scène, sobre mais efficace, et la narration, se positionnant sur le point de vue de plusieurs personnages, sont deux points forts de la série qui perdurent ici. Plus de personnages concernés (plus seulement Noah et Alison), et des allers retours entre New York et Montauk permettent de diversifier le récit, et donc de réveiller l'intérêt du spectateur. Avec réussite.
Love, sex and série
« The Affair » est au palmarès des Golden Globes 2014 comme « meilleure série », devant « True Detective ».
Les deux séries ont des similitudes : la même histoire racontée sous deux angles différents et des flash-back depuis une salle d’interrogatoire lors d’une enquête en cours, enfin on suppose.
Deux très bonnes cuvées 2014, quoiqu’il en soit, avec pour « Affair » un côté passionnel plus marqué, on explore les méandres du désir. Pas si puritain que ça, finalement les américains.
Un scénario deux en un, où deux versions se croisent, entre de Noah et Alison, c’est le jeu des erreurs. Des comédiens inspirés et une bonne partie des épisodes au plumard… C’est la valse des hésitations et de la culpabilité.
Dominic West est Noah avec conviction et Ruth Wilson est Allison avec sensibilité.
L’adultère et ses pulsions ravageuses sur 8 semaines. Noah est juste un homme, avec sa crainte de tout perdre : femmes et enfants. Alison est plus entière, son deuil l’a fragilisé et elle tombe amoureuse de Noah.
Au delà d’une simple histoire extra-conjugal, on constate les dommages collatéraux. D’un épisode à l’autre l’intrigue se construit autour d’un drame, difficile à identifier avant l’épisode n° 5. C’est admirablement bien construit entre romance et mystère, passion et raison, on alterne sans répit.
Les époux respectifs donnent de la dimension à cette drôle d’histoire d’amants, ils sont l’envers d’un décor passionnel et bancal.
Maura Tierney est Helen avec panache et Joshua Jackson est Cole avec générosité.
Une fin frustrante, comme inachevée, et même si c’est le principe d’une série, c’est agaçant, trop de questions sans réponse et pas forcément la patience d’une saison 2.
Une première saison écrite à quatre mains, Sarah Treem et Hagai Levi, un homme et un femme qui nous racontent la même histoire, un peu, comme Alison et Noah.
« The Affair » est au palmarès des Golden Globes 2014 comme « meilleure série », devant « True Detective ».
Les deux séries ont des similitudes : la même histoire racontée sous deux angles différents et des flash-back depuis une salle d’interrogatoire lors d’une enquête en cours, enfin on suppose.
Deux très bonnes cuvées 2014, quoiqu’il en soit, avec pour « Affair » un côté passionnel plus marqué, on explore les méandres du désir. Pas si puritain que ça, finalement les américains.
Un scénario deux en un, où deux versions se croisent, entre de Noah et Alison, c’est le jeu des erreurs. Des comédiens inspirés et une bonne partie des épisodes au plumard… C’est la valse des hésitations et de la culpabilité.
Dominic West est Noah avec conviction et Ruth Wilson est Allison avec sensibilité.
L’adultère et ses pulsions ravageuses sur 8 semaines. Noah est juste un homme, avec sa crainte de tout perdre : femmes et enfants. Alison est plus entière, son deuil l’a fragilisé et elle tombe amoureuse de Noah.
Au delà d’une simple histoire extra-conjugal, on constate les dommages collatéraux. D’un épisode à l’autre l’intrigue se construit autour d’un drame, difficile à identifier avant l’épisode n° 5. C’est admirablement bien construit entre romance et mystère, passion et raison, on alterne sans répit.
Les époux respectifs donnent de la dimension à cette drôle d’histoire d’amants, ils sont l’envers d’un décor passionnel et bancal.
Maura Tierney est Helen avec panache et Joshua Jackson est Cole avec générosité.
Une fin frustrante, comme inachevée, et même si c’est le principe d’une série, c’est agaçant, trop de questions sans réponse et pas forcément la patience d’une saison 2.
Une première saison écrite à quatre mains, Sarah Treem et Hagai Levi, un homme et un femme qui nous racontent la même histoire, un peu, comme Alison et Noah.
Au plumard mais pas que…
Bluffée par la première saison de The Affair, je m’attendais à une déception, le sujet n’étant pas exploitable à l’infini. Au contraire, les personnages prennent de l’intensité et nous déroutent .
Alison joue l’ambigüité mais Noah aussi, on est surpris voir manipulé.
Cole prend plus d’importance, son personnage est attachant parfois troublant.
Helen s’exprime plus, avec douceur, colère et mélancolie.
Quant à Dominic West, si intègre sur la première saison, il joue à nous décevoir. Ruth Wilson devient parfois inquiétante, Maura Tierney est la tendre désoeuvrée et Joshua Jackson sait se faire aimer.
De la bonne série, tendre, sexy mais jamais vulgaire.
La performance est de nous présenter l’histoire sous quatre angles différents, on réalise à quel point les ressentis varient d’un caractère à l’autre.
L’intrigue sur ce crime non résolu monte en puissance, on s’emballe, on s’accuse, on doute. Bref encore plus que la première saison on s’impatiente sur l’issue de ce drame plus que conjugal. Le tout reste encore très sexe et plumard mais avec un gout de polar plus prononcé.
De la série intelligente et sensuelle qui sait nous rendre addicts.
Sarah Treem et Hagai Levi ont trouvé le bon rythme avec les bons réalisateurs et des scénaristes inventifs.
Bluffée par la première saison de The Affair, je m’attendais à une déception, le sujet n’étant pas exploitable à l’infini. Au contraire, les personnages prennent de l’intensité et nous déroutent .
Alison joue l’ambigüité mais Noah aussi, on est surpris voir manipulé.
Cole prend plus d’importance, son personnage est attachant parfois troublant.
Helen s’exprime plus, avec douceur, colère et mélancolie.
Quant à Dominic West, si intègre sur la première saison, il joue à nous décevoir. Ruth Wilson devient parfois inquiétante, Maura Tierney est la tendre désoeuvrée et Joshua Jackson sait se faire aimer.
De la bonne série, tendre, sexy mais jamais vulgaire.
La performance est de nous présenter l’histoire sous quatre angles différents, on réalise à quel point les ressentis varient d’un caractère à l’autre.
L’intrigue sur ce crime non résolu monte en puissance, on s’emballe, on s’accuse, on doute. Bref encore plus que la première saison on s’impatiente sur l’issue de ce drame plus que conjugal. Le tout reste encore très sexe et plumard mais avec un gout de polar plus prononcé.
De la série intelligente et sensuelle qui sait nous rendre addicts.
Sarah Treem et Hagai Levi ont trouvé le bon rythme avec les bons réalisateurs et des scénaristes inventifs.
J'ai beaucoup aimé la saison 1 mais la saison 2 ne répond vraiment pas à mes attentes. Le scénario est cousu de fil blanc à l'image des extraits du livre minable que le personnage Noah vend en best seller.
Et la fin ! on bascule dans le script des feux de l'amour .... quel gâchis !
Et la fin ! on bascule dans le script des feux de l'amour .... quel gâchis !
J'adore cette série trop hâte de voir la saison sur Canal+ Series