Des acteurs au top, un scénario qui a l'air de tenir la route, des questions qui restent en suspens, mais surtout une production assez réaliste tant dans les sentiments, les jeux d'acteur ou encore l'histoire tout simplement.
2 fois que j'essaie de regarder cette série, et là, j'abandonne au milieu du cinquième. Aucun rythme, aucune histoire, les acteurs principaux pathétiques et pas crédibles. Nul pour moi
J'ai arrêté cette série après 4 épisodes... Cette histoire d'adultère entre une nympho en deuil et un écrivain s'ennuyant dans une vie de famille trop bien rangée, sur fond d'une légère intrigue policière sensée nous tenir en haleine, m'a laissé de marbre. Les épisodes se résument à une tension sexuelle exaspérante entre ces 2 protagonistes; parfois ils cèdent, d'autres fois la morale les rattrape. C'est intéressant pendant un temps, mais cela devient vite ennuyant, malgré une forme originale nous offrant la vision des 2 personnages principaux à chaque épisodes. La série mérite une étoile pour le jeu d'acteur et le charisme de Dominic West.
Les conséquences d'une relation extra-conjugale sont explorées selon la vision de l'homme, qui a tendance a idéalisé sa maîtresse et à la rendre aguichante, alors que la vision de la femme est plus douce (promenade en vélo, sentiments amoureux naissants) et terne. Les 3 premiers épisodes sont intéressants, mais la série se détériore rapidement et devient tout à fait agaçante. Le point de rupture a lieu avec le 4ème épisode, centré exclusivement sur les acteurs Ruth Wilson & Dominic West, non, c'en est trop ! Tout simplement car ces 2 acteurs ne sont pas du tout à la hauteur de leur rôle. Quel curieux casting. Pourquoi avoir donné les rôles principaux à des acteurs de seconde zone ? Le problème est qu'on ne croit pas du tout à leur prestation. Ruth Wilson est une sorte d'Ingrid Chauvin locale (vous imaginez !) qui semble avoir passer beaucoup trop du temps en chirurgie esthétique. Et ça, désolé, cela nuit à la véracité de l'action. Quant à Dominic West, il ne va pas du tout dans le rôle. Il manque de finesse, et on se demande comment peut-il former un couple avec le personnage interprété par Maura Tierney ? The Affair est une série surestimée avec tout de même des points positifs grâce aux acteurs Maura Tierney et Joshua Jackson (des seconds rôles qui volent la vedette à Ruth Wilson et Dominic West). L'intrigue policière rappelle dans sa forme la saison 1 de True Detective. Je ne vois aucune utilité à suivre la saison 2 ? Pour se supporter encore Ruth Wilson et Dominic West, non merci !
Lorsque j'ai lu le synopsis, j'ai pensé que cette série pouvait être intéressante, j'ai donc commencé et les deux premiers épisodes m'ont plu, assez prenant, avec l'envie de connaître la suite, et une structure originale: chaque épisode est séparé en 2 parties, racontées du point de vue de chacun des 2 protagonistes. Mais finalement, après avoir visionné le 4e épisode, je trouve ça beaucoup trop lent, ça n'avance pas, on ne sait pas du tout où l'auteur veut en venir, (vous me direz, c'est normal, pour une intrigue de série), mais là ça en devient barbant.
« The Affair » fait partie de ces séries télévisées qui glacent le sang et qui pétrifient le corps. Impossible de rester insensible face à ce scénario qui intrigue, bouleverse, surprend. Pourtant, l'histoire n'est pas nouvelle : deux individus mariés tombent passionnément amoureux l'un de l'autre se précipitant alors dans une relation aux conséquences désastreuses pour eux et leurs proches. Le scénario est banal à première vue et en rappelle certainement d'autres, mais la qualité de la réalisation, l'atmosphère qui en découle et le formidable jeu des acteurs lui sont bien propres.
Une saison 4 qui relève le niveau après la précédente qui s'était avérée un peu décevante. La série creuse au plus profond des personnages, en mettant à nu leurs failles intimes. L'apport, avec parcimonie, de nouveaux personnages fait beaucoup de bien à la série qui s'en trouve enrichie. Même si le concept de base semble complètement disparu, "The Affair" a su se réinventer pour le meilleur, et ça marche aussi.
Coup d'essai, coup de maître autour de la notion de subjectivité du point de vue !!! C'est un sujet d'autant plus passionnant qu'on nous fait pénétrer l'intimité d'un couple adultérin… Ne dit-on pas que les affaires privées de couple sont la dernières chose dans laquelle fourrer notre nez ? Quoi de plus obscur, irrationnel, irréductible à toute rationalisation ?
L'intelligence de The Affair vient d'abord du traitement : une construction alternée offrant au compte gouttes des témoignages centrés sur les mêmes moments mais où par d'invisibles glissements, le vertige opère, avance, nous saisit, nous trahit, nous file entre les doigts. Le père de famille victime de ses pulsions serait-il un sociopathe en puissance ? La jeune femme endeuillée par la mort de son fils serait-elle aussi fragile et manipulable qu'elle en a l'air ?
Autant de questions stimulantes légitimées par le deuxième point fort de The Affair : les raisons de cette construction alternée. Très vite l'on comprend qu'il y a autre chose à la clé qu'une simple relation passionnelle… Et cela transcende la lecture et la compréhension des enjeux de cette série. Bref, pour moi du grand oeuvre et deux acteurs absolument parfaits. J'attends donc la saison 2 avec une certaine impatience...
Alors bien évidemment, pour qui à lu le pitch de la série, je pense que son principal attrait apparaitra assez évident : je parle bien sûr de cette narration scindée en deux morceaux. Pour le coup c’est vrai que c’est particulièrement bien foutu. A voir les mêmes séquences, mais selon deux points de vue différents, on en vient à jauger les divergences entre les deux versions, on cherche à les expliquer et les comprendre… Et le dispositif fonctionne d’autant mieux que, d’une part, cette narration en deux temps évite judicieusement l’impression de répétition. Parce que oui, notre connaissance de l’histoire continue d’avancer, même quand le récit retourne au point de départ, et là franchement c’est un bon point. Mais d’autre part, ça marche encore mieux du simple fait qu’on soit dans une « Affair », qui est à la fois amoureuse, mais aussi policière. Est-ce que quelqu’un ment ? Les deux ? Qui cache quoi et dans quel intérêt ? L’intrigue fonctionne très bien et d’autant mieux qu’elle ne se limite pas qu’à un simple artifice narratif. Il y a une vraie histoire là-dedans. Personnellement, j’y ai d’autant plus vite accroché qu’elle sait à la fois aborder un thème classique (la lassitude de la vie de couple à l’épreuve du quotidien et de l’usure) mais d’une manière suffisamment délicate – et donc aussi astucieuse – pour qu’on comprenne que, là, pour le coup, on ne va pas nous ressortir les mêmes poncifs que d’habitude. Le quatuor Dominic West / Ruth Wilson / Maura Tierney / Joshua Jackson fonctionne très bien (surtout quand un merveilleux John Doman rode dans les parages !) et la réalisation est juste parfaite. Douce et délicate, la photo et la mise en scène parviennent remarquablement bien à reconstituer ce cadre posé et doux dans lequel chacun se laisse endormir alors que, pourtant, rien ne va. Et comme cette douceur et ce gentil postulat bien simple est contrebalancé par une narration très originale et très efficace dans sa manière de générer du mystère, eh bien la machine roule pour le mieux. Après, cette saison a pour seule faiblesse d’avoir voulu laisser trop de choses en suspens trop longtemps afin de jouer au mieux sa carte du cliffhanger final. Alors je ne vais pas m’en plaindre : c’est le jeu. Mais j’espère que, pour le coup, la saison 2 saura être à la hauteur des attentes qu’elle pose. A voir… En attendant, belle découverte que voilà…
Etonnamment j’avais un peu peur de cette seconde saison alors que, pourtant, la première m’avait vraiment convaincu. C’est que, pour être honnête, malgré ma satisfaction lors de mon premier visionnage, j’avais quand même eu l’impression que la série avait fait le tour de son concept et qu’elle n’avait peut-être pas les moyens scénaristiques pour tenir sur la longueur. C’est qu’en plus, ce double-prisme romance/polar est certes amusant quand on le découvre, mais il charrie aussi son petit lot de codes – voire de clichés – qui peuvent se transformer en de véritables obstacles pour développer des personnages et / ou une situation. Eh bien pourtant – ô surprise – je trouve que cette saison 2 parvient à faire des choix vraiment très intéressants pour à la fois rester fidèle à son esprit d’origine tout en apportant les innovations indispensables à son dynamisme. Premier coup gagnant : l’intégration de Cole et d’Helen dans le jeu des points de vue. C’est simple mais il fallait y penser quand même. Ainsi, presque mécaniquement, l’intrigue s’enrichit forcément de deux dimensions supplémentaires. Autre coup gagnant : le changement d’atmosphère. A se focaliser davantage sur New-York plutôt que sur Montauk, l’univers de ce « The Affair » abandonne l’esthétique du polar rural tranquillou OKLM typique de France 3 à un cadre plus noir, voire presque plus cynique et froid. Après, d’autres changements se révèlent à double tranchant, comme par exemple les libertés que prennent certains épisodes avec la grammaire bipolaire propre à la série. Très rapidement, les deux histoires finissent par ne plus se chevaucher quand parfois – carrément – on se décide exceptionnellement à l’abandonner. Alors certes, j’avoue que certaines fois, ce choix permet clairement à l’intrigue d’avancer et de gagner en rythme, ne subissant pas ces nécessaires retours en arrière. Mais bon, d’un autre côté ce qu’on gagne en dynamisme, on le perd forcément en ambigüité et nuance de regard sur les situations. D’ailleurs, le dernier épisode revient au tout dernier moment aux fondamentaux, et je pense que c’était indispensable pour ne pas perdre ce qui faisait la subtilité de la série. Au final, je dois avouer que je suis quand même assez séché par la qualité de la démarche fournie. Certes, le simple fait que je ne monte pas au « cinq étoiles » révèle quand même les limites qui peuvent se poser me concernant par rapport à l’artificialité de l’intrigue ou à la dimension archétypale des personnages, mais d’un autre côté le scénario est quand même suffisamment malin et – surtout – l’interprétation du carré West – Wilson – Tierney – Jackson suffisamment convaincante pour que la mayonnaise prenne sans souci me concernant. D’ailleurs – je l’avoue – je suis assez curieux de voir ce que la saison 3 va me proposer… L’avenir nous le dira…
Les amateurs de coucheries pourront se régaler! si le jeu des acteurs est correct, il faut attendre le dernier épisode pour voir une évolution de la série. Il ne se passe rien qui accroche. Le fil rouge, c'est l'addiction de l'acteur principal au sexe, Très lassant!
Une Excellente Surprise. Les Créateurs Sarah Treem et Hagai Levi et la chaîne Showtime nous livre une nouvelle pépite télévisuel qui nous montre d'un point de vue inédit les dessous des relations extraconjugales. Grace a une Mise en Scène de qualité tout en étant trés soignée avec au passage un sublime générique qui correspond parfaitement a l'ambiance de la série et qui est servi par une BO envoûtante qui accompagne magnifiquement la série. Ensuite les Scénaristes nous fournissent des Intrigues Complexes et Passionnantes tout en osant en nous montrer d'un coté un point de vue Masculin et de l'autre Féminin dont le rythme prend amplement son temps au fil des épisodes pour ensuite monter sur les chapeau de roues en parvenant a combiner les intrigues Sentimentales et Policières avec maestria durant toute la Saison 1 mais qui parvient a frapper trés fort avec la Saison 2 qui monte d'un cran d'une manière impressionnante tout en nous maintenant en haleine, ajouter a cela des séquences de sexe particulièrement sulfureuses en passant par une histoire d'amour belle et tumultueuse mais qui parvient pour autant a y insuffler une touche Dramatique qui parvient a nous toucher en plein cœur a travers quelques moments forts de certains épisodes sans jamais entrer dans la surenchère.Enfin les protagonistes de cette série possèdent une Psychologie trés Ambiguës et Intéressant au fil de l'évolution de la série grâce notamment a son Casting de qualité mener entre autres par le couple déchirant et passionnée former par Dominic West qui joue merveilleusement le mari infidèle et écrivain Noah Solloway et de l'autre la ravissante Ruth Wilson qui prete ses traits a la Sensuelle et Intrigante serveuse Alison Lockhart dont l'alchimie qui se nouent entre ces deux personnages fonctionne a la perfection a l'écran, aux cotés de notre couple on retrouve leurs deux conjoints respectives camper parfaitement par l'excellent Joshua Jackson et la talentueuse Maura Tierney qui livrent une trés belle performance d'acteurs tout comme les autres seconds roles qui assurent énormément dans leurs interprétations. En Conclusion The Affair est une réussite incontestée comme la chaîne Showtime arrive a avoir le secret avec ce subtile mélange de Thriller et de Drame Psychologie qui se revele a la fois Brillant,Sensuel,Envoûtante et Poignant dont les deux Saisons sont d'une grande qualité qui ravira avant tout les amateurs de Drame Passionnée ainsi que les fans de Polar dont on espéré que la Saison 3 prévue prochainement sera a la hauteur de ces aînées.
Une série dont on parle peu mais qui est vraiment très très bien joué, j'adore tous les acteurs et leur composition est vraiment remarquable de justesse et d'interprétation !!