Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Washington Post
Cela me fait mal de le dire mais avec The 100, la CW lance avec brio ce nouveau programme, calqué selon les caractères de production de la chaîne, et s’inspirant de séries d’aventures à gros budgets comme Lost, Terra Nova et Revolution, avec un soupçon de Hunger Games. A ceci près que les personnages sont plus intéressants que dans Terra Nova et Revolution. Peut-être est-ce dû au fait que j’attendais avec impatience une série de science-fiction qui ne soit pas idiote, mais le fait est que j’ai regardé les premiers épisodes de The 100 avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Pittsburg Post-Gazette
The 100 n’est pas aussi fouillée et aboutie que certaines séries du câble (The Americans, Mad Men, Breaking Bad) mais si on la compare aux actuelles nouveautés des différentes chaînes, comme Resurrection, Believe et Crisis, on constate que The 100 s’avère bien plus réussi que la plupart d’entre elles.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Huffington Post
Pour me convaincre de continuer à regarder (ce que je compte faire pour le moment) The 100, il va falloir que la série continue à développer des personnages complexes confrontés à des conflits moraux. Plusieurs éléments jouent déjà en sa faveur : elle a fière allure, les personnages sont confrontés à des choix difficiles à prendre et les dangers qu’ils rencontrent sont crédibles.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
The Detroit News
The 100 ressemble à une production typique de la CW, avec des adolescents chevelus dans des intrigues de science-fiction. Mais pourtant, la série, basée sur un livre de Kass Morgan, lorgne plutôt du côté d’œuvres comme Sa majesté des mouches et Battlestar Galactica avec des emprunts à Hunger Games, Lost et 1984.
La critique complète est disponible sur le site The Detroit News
Télé Loisirs
par Philippe Guedj
La série post-apocalyptique (…) déjoue les pronostics et s'avère bien loin de la nullité redoutée (…) Jason Rothenberg, créateur de la série, a su pirater une formule hyper-commerciale pour fignoler une série beaucoup plus sombre et cruelle que prévue. On ne crie pas au chef-d'oeuvre mais le pire est évité.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Critictoo
par Carole
Si on ne peut pas encore dire que les scénaristes ont trouvé comment bien intégrer ou traiter les romances, ils ont su faire progresser de façon parfois drastique les situations des personnages pour créer du danger, étoffer l’univers et soulever diverses questions morales.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Télérama
par Pierre Langlais
Efficace, The 100 multiplie dès le premier épisode les tensions dramatiques, et nous fait comprendre que personne n’y est en sécurité. Ni ces jeunes, atterris sur une planète hostile et capables de s’entretuer, ni ces adultes, coincés dans une station en fin de vie et menacés par un régime totalitaire. Rebondissements, dangers, aventures, on n’a guère le temps de s’ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
San Francisco Chronicle
La complexité des personnages, les effets spéciaux et l’attention portée aux détails placent The 100 dans le haut du panier dans le classement des séries de la CW.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
New York Post
Le jeu des comédiens est bon, si on tient compte du format des contraintes. Et, bien entendu, puisqu’il s’agit d’une production de la CW, il y a des scènes sexy complètement gratuites (pas de nudité, mais assez pour titiller la libido des ados de 14 ans qui regarderont). Je ne peux cependant m’enlever l’idée que j’ai déjà vu ça auparavant et que The 100 n’est rien de plus qu’un autre exemple calqué sur le modèle des autres programmes de la CW.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
Washington Post
Cela me fait mal de le dire mais avec The 100, la CW lance avec brio ce nouveau programme, calqué selon les caractères de production de la chaîne, et s’inspirant de séries d’aventures à gros budgets comme Lost, Terra Nova et Revolution, avec un soupçon de Hunger Games. A ceci près que les personnages sont plus intéressants que dans Terra Nova et Revolution. Peut-être est-ce dû au fait que j’attendais avec impatience une série de science-fiction qui ne soit pas idiote, mais le fait est que j’ai regardé les premiers épisodes de The 100 avec plaisir.
Pittsburg Post-Gazette
The 100 n’est pas aussi fouillée et aboutie que certaines séries du câble (The Americans, Mad Men, Breaking Bad) mais si on la compare aux actuelles nouveautés des différentes chaînes, comme Resurrection, Believe et Crisis, on constate que The 100 s’avère bien plus réussi que la plupart d’entre elles.
Huffington Post
Pour me convaincre de continuer à regarder (ce que je compte faire pour le moment) The 100, il va falloir que la série continue à développer des personnages complexes confrontés à des conflits moraux. Plusieurs éléments jouent déjà en sa faveur : elle a fière allure, les personnages sont confrontés à des choix difficiles à prendre et les dangers qu’ils rencontrent sont crédibles.
The Detroit News
The 100 ressemble à une production typique de la CW, avec des adolescents chevelus dans des intrigues de science-fiction. Mais pourtant, la série, basée sur un livre de Kass Morgan, lorgne plutôt du côté d’œuvres comme Sa majesté des mouches et Battlestar Galactica avec des emprunts à Hunger Games, Lost et 1984.
Télé Loisirs
La série post-apocalyptique (…) déjoue les pronostics et s'avère bien loin de la nullité redoutée (…) Jason Rothenberg, créateur de la série, a su pirater une formule hyper-commerciale pour fignoler une série beaucoup plus sombre et cruelle que prévue. On ne crie pas au chef-d'oeuvre mais le pire est évité.
Critictoo
Si on ne peut pas encore dire que les scénaristes ont trouvé comment bien intégrer ou traiter les romances, ils ont su faire progresser de façon parfois drastique les situations des personnages pour créer du danger, étoffer l’univers et soulever diverses questions morales.
Télérama
Efficace, The 100 multiplie dès le premier épisode les tensions dramatiques, et nous fait comprendre que personne n’y est en sécurité. Ni ces jeunes, atterris sur une planète hostile et capables de s’entretuer, ni ces adultes, coincés dans une station en fin de vie et menacés par un régime totalitaire. Rebondissements, dangers, aventures, on n’a guère le temps de s’ennuyer.
San Francisco Chronicle
La complexité des personnages, les effets spéciaux et l’attention portée aux détails placent The 100 dans le haut du panier dans le classement des séries de la CW.
New York Post
Le jeu des comédiens est bon, si on tient compte du format des contraintes. Et, bien entendu, puisqu’il s’agit d’une production de la CW, il y a des scènes sexy complètement gratuites (pas de nudité, mais assez pour titiller la libido des ados de 14 ans qui regarderont). Je ne peux cependant m’enlever l’idée que j’ai déjà vu ça auparavant et que The 100 n’est rien de plus qu’un autre exemple calqué sur le modèle des autres programmes de la CW.