Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Newsday
Les rires enregistrés sont le défaut majeur du premier épisode. Disney devrait être placé en détention pour faire passer une telle plasticité sonore, nuisant injustement à la réputation de la sitcom en direct. En dehors de ça, Girl Meets World remplit son contrat, modernisant pour les pré-adolescents la série familiale dans les années 2010.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Los Angeles Times
On sent, particulièrement dans le pilote, un désir de creuser un peu plus en profondeur, d’obtenir quelque chose de plus réaliste qu’une sitcom de Disney Channel le permettrait.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Pittsburg Post-Gazette
Il y a un personnage à fort potentiel susceptible de prendre de l'importance : un camarade de classe geek et excentrique, Farkle (Corey Fogelmanis), qui se réfère à lui-même à la troisième personne, et peut devenir le 'Steve Urkel' de cette série.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
The A.V. Club
Le succès de Girl Meets World repose sur sa capacité à retrouver l’esprit de L’Incorrigible Cory pour s’en inspirer. Tout comme ses personnages principaux, la série aspire à s’émanciper.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Washington Post
Girl Meets World est sans aucun doute une série sur et pour les adolescents. Comme le dit Cory à la fin du pilote, c’est au tour de sa fille de briller.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Entertainment weekly
Girl Meets World s’améliore significativement après le pilote, mais la série ne retrouve pas encore l’esprit chaleureux de L'incorrigible Corry.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
New York Times
La nouvelle série des créateurs de L’Incorrigible Cory est davantage destinée aux 6-14 ans qu’aux adultes. Girl Meets World est plus proche d'une comédie familiale traditionnelle que des séries de Nickelodeon qui accumulent les blagues lourdes. L’humour reste accessible, et l’intrigue très simple pour ceux qui n’appartiennent pas à la tranche d’âge visée.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Philadelphia Inquirer
M. Feeny le professeur et mentor de Cory, était la cause de mon admiration pour L’Incorrigible Cory. C’était la première comédie à respecter le métier d’enseignant. Du coup, voir Cory faire le clown devant sa classe ne m’inspire guère.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
Variety
La série créée par Michael Jacobs et April Kelly (L'incorrigible Corry) se permet un retour en arrière à la moindre occasion, et pas seulement parce que Jacobs (qui a écrit le pilote) s’amuse avec des répliques entre le père et la fille du genre, "J’ai déjà rencontré le monde. C’est ton tour".
La critique complète est disponible sur le site Variety
Newsday
Les rires enregistrés sont le défaut majeur du premier épisode. Disney devrait être placé en détention pour faire passer une telle plasticité sonore, nuisant injustement à la réputation de la sitcom en direct. En dehors de ça, Girl Meets World remplit son contrat, modernisant pour les pré-adolescents la série familiale dans les années 2010.
Los Angeles Times
On sent, particulièrement dans le pilote, un désir de creuser un peu plus en profondeur, d’obtenir quelque chose de plus réaliste qu’une sitcom de Disney Channel le permettrait.
Pittsburg Post-Gazette
Il y a un personnage à fort potentiel susceptible de prendre de l'importance : un camarade de classe geek et excentrique, Farkle (Corey Fogelmanis), qui se réfère à lui-même à la troisième personne, et peut devenir le 'Steve Urkel' de cette série.
The A.V. Club
Le succès de Girl Meets World repose sur sa capacité à retrouver l’esprit de L’Incorrigible Cory pour s’en inspirer. Tout comme ses personnages principaux, la série aspire à s’émanciper.
Washington Post
Girl Meets World est sans aucun doute une série sur et pour les adolescents. Comme le dit Cory à la fin du pilote, c’est au tour de sa fille de briller.
Entertainment weekly
Girl Meets World s’améliore significativement après le pilote, mais la série ne retrouve pas encore l’esprit chaleureux de L'incorrigible Corry.
New York Times
La nouvelle série des créateurs de L’Incorrigible Cory est davantage destinée aux 6-14 ans qu’aux adultes. Girl Meets World est plus proche d'une comédie familiale traditionnelle que des séries de Nickelodeon qui accumulent les blagues lourdes. L’humour reste accessible, et l’intrigue très simple pour ceux qui n’appartiennent pas à la tranche d’âge visée.
Philadelphia Inquirer
M. Feeny le professeur et mentor de Cory, était la cause de mon admiration pour L’Incorrigible Cory. C’était la première comédie à respecter le métier d’enseignant. Du coup, voir Cory faire le clown devant sa classe ne m’inspire guère.
Variety
La série créée par Michael Jacobs et April Kelly (L'incorrigible Corry) se permet un retour en arrière à la moindre occasion, et pas seulement parce que Jacobs (qui a écrit le pilote) s’amuse avec des répliques entre le père et la fille du genre, "J’ai déjà rencontré le monde. C’est ton tour".