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    Sense8
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    alchimissste
    alchimissste

    13 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2018
    une série hors norme qui dépasse les limites, chaque épisodes on se demande jusqu'où les freres wachowski (matrix,v comme vendetta, cloud atlas) euh les soeurs wachowski vue qu'elles devenue des femmes vont arriver leurs buts choquer les spectateurs avec des scènes osées, du jamais vu dans les séries.
    Coté histoire, oui j'avoue que c'est originale et tres inventifs, mais malheureusement cela manque de rythme, l'histoire avance pas il faut attendre dernier épisode pour que cela bouge un peu,
    Je reste sur ma faim, je vais regarder d'autres séries et peut être un jour je regarderais la saison 2 mon verdict 10.5/20
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 juin 2019
    un série d'homosexuel tous simplement je suis très déçu par la manipulation sociale qu'ils présentent.
    Kev T
    Kev T

    39 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2019
    Malgré une bonne intrigue, quelques dialogues longs et des scènes qui trainent ralentissent l’avancement. Aussi, sous certains aspect l’ensemble est convenu. Il y a trop d’épisodes je pense. Le côté « mystère » de cette série est bien présent mais n’est pas assez alimenté à mon goût. Ça me fait penser à lost dans une moindre mesure.
    Les personnes sont très attachant.
    julien2222
    julien2222

    33 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2023
    C'est une série très haletante et passionnante et extrêmement novatrice. Mon ennui avec cette série c'est que certaines scènes, ralenties ou non, sont interminables et c'est très désagréable je trouve. Ce sont surtout les tranches de vie qui sont trop longue au détriment de l'intrigue.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 juin 2015
    Il y a peu de séries qui nous fassent voyager à travers le monde et découvrir l'humanité dans ce qu'elle a de meilleure et de plus odieux. Sense8 m'a personnellement bouleversée par moment et fait rire à d'autre. Les personnages sont tellement différents mais tous, de part leurs histoires, leurs vies, leurs pays nous démontrent que la vie, l'amour, la peur, la mort, la cruauté touchent chacun d'entre nous de la même façon. Bref, j'espère et j'attends avec impatience l'annonce d'une seconde saison.
    gthe
    gthe

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2021
    Une série qui met du temps à démarrer, mais compte tenu le synopsis, il en est difficile de faire autrement. Contrairement à d'autres avis, je pense que ça n'aurait pas été plus constructif de faire un personnage par épisode. Il n'en demeure pas moins que la série donne des indices très progressifs si bien qu'il faut lutter pour tenir les deux-trois premiers épisodes. Heureusement, parmi ces moments "d'ennui" ou de "doute", sont présentes des scènes qu'on pourrait presque qualifier d'anthologie ( spoiler: la chanson que tout le monde chante
    ). La série réussit toutefois à maintenir suffisamment de suspens (ce qui est son point fort car on arrive jamais trop à savoir où on va) et à fournir des personnages quand même bien travaillés et même humains. Je veux dire par là qu'on s'y attache, et c'est un tour de force de cette série vu la difficulté qu'elle éprouve à démarrer son histoire. Même si les personnages font quand même "un peu clichés" (surtout pour certains), il n'en reste pas moins qu'ils sont attachants et qu'on se surprend à ne pas vouloir que du mal leur soit fait. L'introduction de certains personnages dont les intentions sont ambigües est bienvenue, elle permet de réduire cette manie de tomber dans le manichéen, j'aime bien. Néanmoins, quand les intentions sont dévoilées, cette impression subsiste. De manière générale, la série est de plus en plus intéressante à regarder au fur et à mesure que l'intrigue avance... Mais qu'est-ce que c'est long au début !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 août 2020
    Je dois avouer que je ne comprends pas vraiment l'engouement des critiques sur cette série. Elle est pas mal, on s'attache à certains personnages, les intrigues connexes sont prenantes mais..... l'intrigue principale est trèèèèèèèèès lente à avancer, le rythme est monotone : bagarres, conversations niaises, et sexes.

    J'ai apprécié cette première saison pour toutes ces tranches de vie, ponctuées par l'intervention des uns et des autres, qui en font des scènes cocasses. J'ai d'autant plus apprécié cette série qui montre des histoires d'amour, qu'importe le genre ou le sexe. spoiler: Bémol la scène du gode ceinture ne m'a pas enchanté : bordel on l'a aspergé d'eau, c'était un peu ridicule.
    Quelques scènes sont vraiment bien travaillées : la connexion sexuelle des membres qui se transforme en partouze, les différents accouchements, les plans de la fête indienne, le voyage à travers le monde, ...
    Malheureusement tout cela ne cache pas les défauts d'une série qui souhaite rester grand public à tout prix. Des combats à 1 contre mille où le héros ou héroïne s'en sort "fingers in the nose", des discussions entres personnages qui sont proches d'une récitations de morales que d'une vraie conversation, et des scènes de sexe où au départ, on se réjouit de leurs diversités mais qui, très vite, deviennent presque voyeuristes. En effet elles se concentrent sur le couple de Nomi et Amanita.

    En bref une série qui se laisse regarder sans avoir besoin de se prendre la tête.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2015
    Une série innovante, passionante, époustouflantes une oeuvre rare que les washowskis montre leurs imagination créative n'a pas de limite. J'espère qu'il vont en créer d'autres et pourquoi pas continué cette aventure sense8, car on s'attache de plus en plus à ces personnages.
    Del phine
    Del phine

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 août 2021
    Une tellement bonne critique que j'y suis allée les yeux fermés.
    C'est lent
    Ça blablate.
    J'attendais que ça avance...pendant 9 épisodes...mais non. On dirait qu'en 9 épisodes on n'en est qu'à l'intro.
    Les personnages sont attachant mais je n'ai toujours pas vu le but de leur connexion, mise à part pour s'aider entre eux à se battre et parler de leurs problèmes.
    J'abandonne...et c'est pourtant rare de ma part
    Cette série avait une bonne idée de départ qui à mon avis n'a pas su être exploité...en tout cas pas en 9 épisodes ...sur 24 ! C'est beaucoup quand même pour faire avancer les choses.
    Peut-être la 2ème saison est plus prenante...mais je n'aurai pas le loisir de le savoir
    virg68
    virg68

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2015
    Premier commentaire sur Allociné depuis mon inscription, donc c'est peu dire à quel point cette série est exceptionnelle. Quelle claque !
    Et pourtant je n'avais pas accroché au premier épisode. Mais ensuite, cela va crescendo et la série vous emporte dans son univers. Les acteurs sont tous excellents et extrêmement attachants, les paysages captivants, la bande son sublime... Bref, vivement la saison 2 !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 décembre 2015
    J'ai bien fait de ne pas m'attarder à lire les critiques . Cette série est tout simplement extraordinaire, originale et les acteurs sont excellents . Il y a des fans de Once Upon A Time ( que je trouve archi nul ) et des fans se Sens8 ( dont je fais partie ) . Un conseil : ne jamais lire les critiques et regarder le pilot ( ou le premier épisode ) pour se donner une idée de la dite-série
    Yagami Raito
    Yagami Raito

    8 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mai 2018
    On m'a conseillé à plusieurs reprises cette série, pour laquelle les adjectifs ne manquaient pas. Mon intérêt et ma curiosité étaient donc piqués, et je me suis finalement laissé tenter.

    Je n'attends rien des frères Wachowski depuis Matrix, "one-hit-wonder", et je pars sans a priori sur la sexualité hétéro ou gay. Chacun fait ce qu'il veut de ses fesses après tout. Pourtant, le premier épisode nous noie sous les multiples personnages dans de courtes scènes. On n'a pas le temps d'accrocher, de faire connaissance avec les personnages. Dans ce genre de série où il y a de multiples personnages, certaines amènent très bien chaque chapitre, en consacrant un épisode à un personnage (ex: Lost), en annonçant bien les chapitres (ex: Heroes) ou en jouant sur l'atmosphère, les décors et les personnages attachants (ex: Game of Thrones). Ici, rien du tout. Une femme se suicide dans une église et a des visions de Naveen Andrews (Sayid dans Lost) et un vieux bonhomme; ils sont apparemment ennemis. A l'épisode 6 on n'en saura toujours pas plus que ça.

    L'épisode 1 noie l'auditeur sous les informations, passant d'un personnage à l'autre sans prendre le temps de souffler. L'accent est bien mis sur leur sexualité, à tel point qu'on pourrait lire en sous-texte "vous allez accepter les LGBT oui !". Ca pourrait être le sujet de la série mais j'ai vu que ça ne l'était pas. D'ailleurs on m'a vendu cette série comme une série "SF". Je n'ai pas vu beaucoup de SF dans la moitié de cette première saison, hormis lorsque les personnages se voient, se parlent, sans être là mais en étant là. C'est clair ? Non, bien sur que ce n'est pas clair. Et c'est ainsi dans cette série. On ne sait pas pourquoi, ni comment, ni où ça mène, mais les personnages sont - dixit le synopsis - "connectés". Oui, on le remarque à leurs fréquentes et aléatoires rencontres. En fait, le premier thème semble être leur sexualité; le tout teinté de stéréotypes plus lourds qu'un semi-remorque.

    On a donc les lesbiennes aux cheveux colorés plein de tatouages de piercing etc (si c'est pas stéréotypé je n'y comprends rien),
    la DJ qui se drogue et qu'un mec veut se taper mais elle le repousse,
    la coréenne Ninja Samurai Nindo Naruto-kun sans amant puisqu'il n'y a pas eu de casting de pieuvre apparemment,
    les allemands à poil tout le temps (on a le visuel sur tout l'attirail, merci les saucisses de Francfort),
    les Kényans (qui pour leur part ont une histoire relativement intéressante, contrairement aux autres),
    L'indienne qui doit se marier et qui ne veut pas vivre dans ses traditions parce que bof,
    L'acteur mexicain homosexuel qui doit vivre dans le mensonge sur sa sexualité,
    Et le flic, heu... le héros je suppose puisqu'il sauve un enfant noir.

    Bon tout ça c'est une belle brochette de stéréotypes, on les voit errer et se plaindre d'avoir des visions (les uns des autres), personne ne sait pourquoi, sauf Naveen Andrews qui intervient de temps à autre comme par magie pour leur dire qu'ils sont en danger et qu'en fait ils se voient et que tout ça est parfaitement normal. En fait, ça n'a évidemment pas le moindre sens.

    Alors il doit y avoir deux camps en opposition, puisqu'à un moment le lesbien (Mickael/Nomi) doit se faire décérébrer à l'hôpital et que Naveen Andrews prévient le flic (à l'autre bout du pays) que Michael est en danger. Finalement c'est sa copine lesbienne qui le sauve, ouf. Si ça n'a toujours pas de sens, c'est parce que je décris le peu d'histoire qu'il y a (entre deux scènes de sexe brut) telle qu'elle est. On finit par s'habituer aux personnages mais quant à retenir leurs noms, c'est une autre histoire. S'y attacher, sûrement pas ! On n'a pas le temps, ils doivent se plaindre d'avoir des visions et faire une orgie géante de 10 bonnes minutes.

    Bref, l'histoire est manquante, la trame est lente et longue, il y a trop de sexe pour trop peu d'introduction aux personnages (non sérieusement, on voit les personnages principaux nus avant de pouvoir retenir leur nom, c'est dingue, et pourtant j'ai vu Game of Thrones et Dexter). L'aspect "SF" (Science-Fiction) est absent, ça pourrait tout aussi bien être des hallucinations qu'on ne verrait pas la différence. J'ai l'impression de me faire une idée de la vie des frères Wachowski, la fête sur une musique tambourinante, dans une foule serrée, du sexe du sexe du sexe, de la drogue et de l'alcool, bref, tout ça c'est intéressant mais... Ah non, en fait ça ne l'est pas.

    Passez votre chemin, l'idée de connecter 8 humains ensemble aurait pu être intéressante si elle avait été écrite de façon intéressante.
    julien L.
    julien L.

    7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2017
    Futur série culte? Elle en prends la direction. Il y a un bon fil conducteur, une histoire crédible tout comme les personnages (le méchant aussi). Quelques longueurs sur des scènes gay notamment qui n'apportent rien mais tout le reste est excellent. Comme quoi on n'a pas besoin de plein d'effets spéciaux pour faire une super série fantastique. J'attends vivement la suite car je ne sais pas du tout où vont nous mener les Washowski mais c'est justement ce qui me plait.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 février 2016
    Je ne suis pas sérivore d'habitude mais là c'était plus fort que moi.. je ne dis pas que c'est la meilleure série et tout , mais c'est ma série préférée.. j'ai beaucoup aimé la façon dont les réalisateurs se sont occupé de chaque personnage de manière équitable et le sujet est sympas ! La diversité des personnages permet à chacun de se reconnaître un peu dans au moins l'un des 8.
    Franchement bravo , et hâte à la saison 2 <3
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2015
    Pour ceux qui me suivent un peu, il n’y aura pas de mystère si je vous dis que les Wachowski et moi, c’est un petit peu les montagnes russes. Au cinéma, je peux tout aussi bien m’extasier face à des « Bound », Matrix » ou autres « Cloud Atlas » que je peux rejeter en bloc les « Speed Racer », « Matrix Reloaded » et autre « Jupiter’s Ascending ». Du coup, pour cette entrée dans le monde de la série, j’étais curieux, mais méfiant. Première bonne surprise dès le générique : la participation au projet de quelques noms que j’ai été heureux de retrouver là. D’abord Joe Michael Straczynski, créateur de « Babylon 5 » et co-créateur sur cette série là. Ensuite je me suis amusé de retrouver quelques habitués des productions Wacho comme Tom Tykwer à la réalisation, Joe Pantoliano et Doona Bae au casting, le tout mélangé avec des apparitions inattendues comme celles de Darryl Hannah, Anupam Kher ou bien encore celle du duo allemand révélé à l’international par le film « La Vague » : Max Riemelt et Max Mauff. Bref, voilà des associations alléchantes pour une série qui, dès le premier épisode, pose énormément de promesses. C’est propre, c’est beau, c’est malin et ça annonce une sacrée richesse en termes de propos. Oui, très rapidement, tous les éléments des « bons » Wachowskis sont là. Rigueur esthétique ; certains dialogues posant des réflexions très intéressantes sur la société ou sur l’humain ; mise en place de dispositifs narratifs très originaux et très travaillés. D’ailleurs, c’est ce dernier point qui, pour moi, fait la différence concernant cette série. Un peu à la manière d’un « Cloud Atlas », des intrigues au départ diamétralement opposées se mêlent de manière astucieuses pour rentrer en écho les unes aux autres, l’élément fantastique au cœur de l’intrigue permettant des scènes de mélange et de contacts d’univers que j’ai trouvé vraiment parlante ( spoiler: parmi les bons moments, la reprise à huit du tube de 4 Non Blondes est particulièrement réussie ; tout comme la gigantesque partie de jambes en l’air par simple transmission de pensée : des belles incarnations de la démarche globale des Wachowski
    ). En cela « Sense 8 » assure vraiment le spectacle… jusqu’à la fin de l’épisode 6. Parce que oui, c’est dommage, mais le dispositif est presque victime de sa propre inertie, peinant à se développer. C’était certes un moindre mal au départ tant les univers proposés étaient variés et riches, et tant surtout les Wachowski étaient parvenus à jongler habilement entre posture mystique, discours militant et autodérision correctement calibrée (les problèmes de Lito sont pour moi d’ailleurs les plus réussis dans ce domaine là), mais pour moi tout s’écroule à partir de l’épisode 7 où la série commence à trop solliciter les clichés du genre et à sombrer dans un schéma plus classique. Et voilà qu’on nous sort des gros méchants qui luttent contre des gentils seuls contre tous ; mais aussi des explications vaseuses dignes de « Star Wars Episode One » ( spoiler: psycellium, médichlorien : même combat
    ) et des prises de liberté du scénario avec sa propre logique qui sont plus que discutables ( spoiler: Parmi les trucs qui tâchent : Whispers ; le méchant en carton qui, à la manière d’un Sylar de « Heroes » est capable d’entrer dans tous les cercles d’un simple regard. Autre souci : les systèmes d’entraides qui fonctionnent quand ça chante aux scénaristes : Will peut aider Nomi à se détacher de son hôpital, même sous sédatif, et à distance, mais ne peut plus le faire pour Riley lors du dernier épisode ; tout comme Sun peut déchiqueter des brigades entières pour le compte de Capheus mais n’est pas foutue de le faire contre quatre médecins qui tiennent cette même Riley prisonnière. Etrange…
    ) Et c’est dommage, car cette mise en branle de l’intrigue sur la deuxième partie de la saison, loin de dynamiser l’ensemble, contribue au contraire à l’appauvrir. Par des soucis de compréhension, les auteurs limitent les interactions entre personnages (les réduisant presque exclusivement à des couples sur la deuxième moitié), stéréotypent les rebondissements et orientent pour le coup cette série qui aurait pu être un « Cloud Atlas » développé vers un « Heroes » trendy au militantisme finalement superficiel et parfois lourd. Alors après, certes, le plaisir ne s’est pas totalement estompé sur la fin de cette saison 1, mais je dois bien avouer que la magie des premiers épisodes s’est par contre, quant à elle, progressivement évaporée pour ne plus laisser grand-chose derrière elle. Netflix a tardé avant d’annoncer le renouvellement de la série. Espérons que ce soit un signe comme quoi davantage sera exigée pour la saison 2. En tout cas, moi, j’espère. Autant prendre son pied au début pour au final estimer avoir fait le tour à la fin, c’est quand même frustrant comme sentiment. A voir donc comment les choses vont évoluer…
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