Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
USA Today
par Robert Bianco
Dans toute adaptation littéraire, il y a un risque. Il y a le respect trop servile des scénaristes par rapport à l’œuvre originale, les effets spéciaux excessifs ou encore la tentative d’étirer l’histoire en trois actes jusqu’à épuisement. Mais pour le moment The Strain réussi à passer du papier à l’écran sans réelle difficulté et avec succès. Alors allumez vos téléviseurs et préparez-vous pour le grand frisson !
La critique complète est disponible sur le site USA Today
Uncle Barky
par La rédaction
A la fin de l’épisode 4 intitulé « It’s Not For Everyone », la série fait ses preuves à la manière d’une guerre macabre dans laquelle le vainqueur ne sortira pas indemne…
La critique complète est disponible sur le site Uncle Barky
Hitfix
par Alan Sepinwall
La série est tellement remplie d’imageries macabres et d’idées ingénieuses qu’elle ne donne pas l’impression d’être la réanimation d’un genre fatigué, mais plutôt du lancement de quelque chose de nouveau et divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Hitfix
Los Angeles Times
par Mary McNamara
Pas de connotation littéraire à la Penny Dreadful ni de scénario post-apocalyptiques comme dans The Walking Dead ; the Strain est une série à l’ancienne, adaptée du roman écrit par Guillermo Del Toro et Chuck Hogan, qui met en scène une bande de guerriers improbables tentant de vaincre une créature maléfique indicible avant qu’il ne soit trop tard. Une quête horrifique efficace.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Wall Street Journal
par Dorothy Rabinowitz
Un travail intelligent alimenté par une énergie imaginative et un casting de qualité ; The Strain est un divertissement explosif !
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Entertainment weekly
par Melissa Maerz
C’est culte, classique et méticuleusement conçu. La série respecte l’univers et la mythologie des comic book pour le plus grand bonheur des fans de l’ouvrage horrifique. C’est alors une grande déception lorsque le show propose une intrigue sentimentale parallèle.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
New York Times
par Mike Hale
Le premier épisode est synonyme de flânerie, de dialogues prévisibles et de personnages en carton. Heureusement, une fois que le décor est planté, les épisodes suivants rehaussent le niveau.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
The Strain n’est pas une super série télévisée mais elle offre assez de moments inattendus pour passer l’été devant sa télévision à manger du popcorn.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
The A.V. Club
par Zack Handlen
Il y a des signes annonçant une crise imminente et il se pourrait bien qu’une fois l’arrivée de celle-ci, le show se débarrasse de ses éléments les plus ennuyeux pour laisser place à quelque chose d’intéressant. Pour le moment, la série prouve qu’elle se situe au même niveau que son équivalent littéraire : quelques idées fraîches et un lot entier d’ordures.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Huffington Post
par Maureen Ryan
Malgré beaucoup d'effort visible, les quatre premiers épisodes de la série ne réussissent jamais à faire du personnage de Corey Stoll un épidémiologiste convaincant. Malheureusement, la plupart des autres personnages sont encore plus superficiels et prévisibles, ce qui fait qu'il est presque impossible de rester captivé lorsqu’ils commencent à faire les imbéciles. La seule véritable lueur d’espoir dans ce show est la performance de David Bradley.
La critique complète est disponible sur le site Huffington Post
USA Today
Dans toute adaptation littéraire, il y a un risque. Il y a le respect trop servile des scénaristes par rapport à l’œuvre originale, les effets spéciaux excessifs ou encore la tentative d’étirer l’histoire en trois actes jusqu’à épuisement. Mais pour le moment The Strain réussi à passer du papier à l’écran sans réelle difficulté et avec succès. Alors allumez vos téléviseurs et préparez-vous pour le grand frisson !
Uncle Barky
A la fin de l’épisode 4 intitulé « It’s Not For Everyone », la série fait ses preuves à la manière d’une guerre macabre dans laquelle le vainqueur ne sortira pas indemne…
Hitfix
La série est tellement remplie d’imageries macabres et d’idées ingénieuses qu’elle ne donne pas l’impression d’être la réanimation d’un genre fatigué, mais plutôt du lancement de quelque chose de nouveau et divertissant.
Los Angeles Times
Pas de connotation littéraire à la Penny Dreadful ni de scénario post-apocalyptiques comme dans The Walking Dead ; the Strain est une série à l’ancienne, adaptée du roman écrit par Guillermo Del Toro et Chuck Hogan, qui met en scène une bande de guerriers improbables tentant de vaincre une créature maléfique indicible avant qu’il ne soit trop tard. Une quête horrifique efficace.
Wall Street Journal
Un travail intelligent alimenté par une énergie imaginative et un casting de qualité ; The Strain est un divertissement explosif !
Entertainment weekly
C’est culte, classique et méticuleusement conçu. La série respecte l’univers et la mythologie des comic book pour le plus grand bonheur des fans de l’ouvrage horrifique. C’est alors une grande déception lorsque le show propose une intrigue sentimentale parallèle.
New York Times
Le premier épisode est synonyme de flânerie, de dialogues prévisibles et de personnages en carton. Heureusement, une fois que le décor est planté, les épisodes suivants rehaussent le niveau.
Pittsburg Post-Gazette
The Strain n’est pas une super série télévisée mais elle offre assez de moments inattendus pour passer l’été devant sa télévision à manger du popcorn.
The A.V. Club
Il y a des signes annonçant une crise imminente et il se pourrait bien qu’une fois l’arrivée de celle-ci, le show se débarrasse de ses éléments les plus ennuyeux pour laisser place à quelque chose d’intéressant. Pour le moment, la série prouve qu’elle se situe au même niveau que son équivalent littéraire : quelques idées fraîches et un lot entier d’ordures.
Huffington Post
Malgré beaucoup d'effort visible, les quatre premiers épisodes de la série ne réussissent jamais à faire du personnage de Corey Stoll un épidémiologiste convaincant. Malheureusement, la plupart des autres personnages sont encore plus superficiels et prévisibles, ce qui fait qu'il est presque impossible de rester captivé lorsqu’ils commencent à faire les imbéciles. La seule véritable lueur d’espoir dans ce show est la performance de David Bradley.