Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
San Francisco Chronicle
Cela ne vaut pas des productions comme Borgias et Les Tudors, mais elle possède un Irons, qui, avec le reste du casting, fait de The White Queen un divertissement sur une période de l'histoire anglaise compliquée et fascinante.
La critique complète est disponible sur le site San Francisco Chronicle
Boston Globe
Situé durant les tensions politiques de l'Angleterre du 15ème siècle, The White Queen s'embourbe trop dans le mélodrame. Par moments, l'ensemble ressemble à un condensé réchauffé des relations entre têtes couronnées et courtisans qui discutent politique à leurs voisins - ou, plus précisemment, comme il s'agit de Starz, la chaîne de Spartacus, leurs voisins dans le lit.
La critique complète est disponible sur le site Boston Globe
TV Guide
Tel un classique de la littérature sous stéréoïdes, la série historique de Starz en dix parties The White Queen se compose d'intrigues royales et romantiques, alourdies par l'ampleur d'un programme de chaîne cablée.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
Washington Post
La minisérie en dix parties retrace la bataille pour le pouvoir dans l'Angleterre de 1464, quand les maisons de Lancaster et d'York s'affrontaient pour le trône. Même si la série traîne en longueur lorsqu'elle traîte les aspects politiques de la bataille, elle se révèle également distrayante grâce à ses coups dans le dos, et également ses coups de couteaux, entre des gens supposément proches.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Miami Herald
La série s'incrit dans un genre qu'on pourrait appeler "Coucher & Décapiter", dans lequel des costumes luxueux et membres divers volent dans toutes les directions pendant que de belles têtes couronnées couchent ensemble et s'étripent les uns les autres, pas forcément dans cet ordre. Les Tudors, les Borgias, et même (...) Game of Thrones, la télévision en est remplie. Et dans cette catégorie, on peut faire pire que The White Queen.
La critique complète est disponible sur le site Miami Herald
New York Times
Une bataille générale sans fin pour un trône dans un pays pré-moderne, mais sans les batailles et la perversité. Voilà comment décrire The White Queen (...). De quoi en conclure qu'il fallait un Game of Thrones plus distingué pour que les femmes regardent ?
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Philadelphia Inquirer
Le problème avec The White Queen, c' est son rythme, ralenti par une exposition lourdingue et trop de complots sanglants (...) Mais les splendeurs royales et les intrigues de jeunes nobles peuvent vous emporter.
La critique complète est disponible sur le site Philadelphia Inquirer
Variety
La mini-série comporte plus qu'il n'en faut de scènes dénudées et de trahisons, tout en insistant sur la pression reposant sur les femmes de produire des héritiers mâles. Ceci étant dit, il s'agit d'une élégante acquisition pour Starz, même si l'imposante galerie de personnages a tendance à se réduire lors des derniers épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Los Angeles Times
Il y a beaucoup de scènes puissantes dans The White Queen, des moments qui illustrent l'époque et notamment comment le corps d'une femme est à la fois son plus grand outil et sa propre prison; un homme peut contrôler son destin grâce à son esprit ou son épée, une femme ne peut le faire qu'en couchant. (...) Malheureusement, elles sont accompagnées par des clichés médiévaux brouillons.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Pittsburg Post-Gazette
Même si ce style de programme n'est pas très frais, cela ne le rend pas pour autant sans intérêt; mais là où certains téléspectateurs ressentent de la lassitude après un énième dérivé des Experts, les gens qui aiment les drames costumés peuvent ressentir de l'exaspération avec cette nouvelle série dans la veine des Tudors.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
San Francisco Chronicle
Cela ne vaut pas des productions comme Borgias et Les Tudors, mais elle possède un Irons, qui, avec le reste du casting, fait de The White Queen un divertissement sur une période de l'histoire anglaise compliquée et fascinante.
Boston Globe
Situé durant les tensions politiques de l'Angleterre du 15ème siècle, The White Queen s'embourbe trop dans le mélodrame. Par moments, l'ensemble ressemble à un condensé réchauffé des relations entre têtes couronnées et courtisans qui discutent politique à leurs voisins - ou, plus précisemment, comme il s'agit de Starz, la chaîne de Spartacus, leurs voisins dans le lit.
TV Guide
Tel un classique de la littérature sous stéréoïdes, la série historique de Starz en dix parties The White Queen se compose d'intrigues royales et romantiques, alourdies par l'ampleur d'un programme de chaîne cablée.
Washington Post
La minisérie en dix parties retrace la bataille pour le pouvoir dans l'Angleterre de 1464, quand les maisons de Lancaster et d'York s'affrontaient pour le trône. Même si la série traîne en longueur lorsqu'elle traîte les aspects politiques de la bataille, elle se révèle également distrayante grâce à ses coups dans le dos, et également ses coups de couteaux, entre des gens supposément proches.
Miami Herald
La série s'incrit dans un genre qu'on pourrait appeler "Coucher & Décapiter", dans lequel des costumes luxueux et membres divers volent dans toutes les directions pendant que de belles têtes couronnées couchent ensemble et s'étripent les uns les autres, pas forcément dans cet ordre. Les Tudors, les Borgias, et même (...) Game of Thrones, la télévision en est remplie. Et dans cette catégorie, on peut faire pire que The White Queen.
New York Times
Une bataille générale sans fin pour un trône dans un pays pré-moderne, mais sans les batailles et la perversité. Voilà comment décrire The White Queen (...). De quoi en conclure qu'il fallait un Game of Thrones plus distingué pour que les femmes regardent ?
Philadelphia Inquirer
Le problème avec The White Queen, c' est son rythme, ralenti par une exposition lourdingue et trop de complots sanglants (...) Mais les splendeurs royales et les intrigues de jeunes nobles peuvent vous emporter.
Variety
La mini-série comporte plus qu'il n'en faut de scènes dénudées et de trahisons, tout en insistant sur la pression reposant sur les femmes de produire des héritiers mâles. Ceci étant dit, il s'agit d'une élégante acquisition pour Starz, même si l'imposante galerie de personnages a tendance à se réduire lors des derniers épisodes.
Los Angeles Times
Il y a beaucoup de scènes puissantes dans The White Queen, des moments qui illustrent l'époque et notamment comment le corps d'une femme est à la fois son plus grand outil et sa propre prison; un homme peut contrôler son destin grâce à son esprit ou son épée, une femme ne peut le faire qu'en couchant. (...) Malheureusement, elles sont accompagnées par des clichés médiévaux brouillons.
Pittsburg Post-Gazette
Même si ce style de programme n'est pas très frais, cela ne le rend pas pour autant sans intérêt; mais là où certains téléspectateurs ressentent de la lassitude après un énième dérivé des Experts, les gens qui aiment les drames costumés peuvent ressentir de l'exaspération avec cette nouvelle série dans la veine des Tudors.