Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Obs
par Nathalie Guillot
Sale, crasseuse, pourrie jusqu’à la moelle, parfois insoutenable, cette série, sous la plume de son auteur (, ), parvient à sublimer la misère humaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre Langlais
La série soigne chaque plan, travaille à l'excès la lumière, multiplie les cadrages originaux, sublime ses personnages aux gueules théâtrales, s'imposant à chaque nouvelle scène comme une des œuvres télévisuelles les plus formellement remarquables de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critictoo
par Fabien
Un drame historique de qualité à la beauté plastique égale à la maîtrise de l’écriture et qui est porté par un casting de haut vol.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Le Monde
par Pierre Serisier
Sans rivaliser avec de , Peaky Blinders se distingue clairement par une grande qualité visuelle. Les plans sont soignés. Certains ressemblent à des tableaux de peinture et donnent un sentiment de forte stylisation de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par Claire Lavarenne
Dès les premières images, le travail léché sur l’éclairage et la reconstitution solide et précise d’une époque sautent aux yeux. C’est aussi une autre façon de montrer la ville, à travers ses recoins sombres et ses lieux insolites. Peaky Blinders offre à la fois une fresque historique – le récit étant basé sur des faits réels – sociale et familiale.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Ceux qui soupirent déjà devant l’idée de subir une énième série d’époque naphtalinée peuvent ranger les flingues. Peaky Blinders a beau déployer ses ailes en 1919, rien ou presque ne la rattache à la tradition des drames compassés dont la télé anglaise s’est faite une spécialité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Isabelle Hanne
Peaky Blinders est avant tout un drama familial, montrant ces liens du sang qui ligotent et protègent. Les frères Shelby incarnent le prolétariat urbain de ce western industriel terrible et fantasmé. Ils s’enrichissent mais restent vivre dans ces cités ouvrières noircies et boueuses, dans cet air irrespirable mais dans ces tableaux grandioses qui compensent un scénario parfois gourd.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
Sale, crasseuse, pourrie jusqu’à la moelle, parfois insoutenable, cette série, sous la plume de son auteur (, ), parvient à sublimer la misère humaine.
Télérama
La série soigne chaque plan, travaille à l'excès la lumière, multiplie les cadrages originaux, sublime ses personnages aux gueules théâtrales, s'imposant à chaque nouvelle scène comme une des œuvres télévisuelles les plus formellement remarquables de ces dernières années.
Critictoo
Un drame historique de qualité à la beauté plastique égale à la maîtrise de l’écriture et qui est porté par un casting de haut vol.
Le Monde
Sans rivaliser avec de , Peaky Blinders se distingue clairement par une grande qualité visuelle. Les plans sont soignés. Certains ressemblent à des tableaux de peinture et donnent un sentiment de forte stylisation de la violence.
Télé Loisirs
Dès les premières images, le travail léché sur l’éclairage et la reconstitution solide et précise d’une époque sautent aux yeux. C’est aussi une autre façon de montrer la ville, à travers ses recoins sombres et ses lieux insolites. Peaky Blinders offre à la fois une fresque historique – le récit étant basé sur des faits réels – sociale et familiale.
Les Inrockuptibles
Ceux qui soupirent déjà devant l’idée de subir une énième série d’époque naphtalinée peuvent ranger les flingues. Peaky Blinders a beau déployer ses ailes en 1919, rien ou presque ne la rattache à la tradition des drames compassés dont la télé anglaise s’est faite une spécialité.
Libération
Peaky Blinders est avant tout un drama familial, montrant ces liens du sang qui ligotent et protègent. Les frères Shelby incarnent le prolétariat urbain de ce western industriel terrible et fantasmé. Ils s’enrichissent mais restent vivre dans ces cités ouvrières noircies et boueuses, dans cet air irrespirable mais dans ces tableaux grandioses qui compensent un scénario parfois gourd.